Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
"The We and the I", huitième long métrage de Michel Gondry – et de toute évidence son meilleur, son plus pur, son plus enlevé.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Critikat.com
par Fabien Reyre
Léger en apparence, "The We and the I" se cache derrière ses faux airs de teen movie malin pour mieux émouvoir : un beau et grand petit film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Héléna Villovitch
Ce projet nous émeut par sa spontanéité, son enthousiasme et l'humour de ces jeunes acteurs (...) du grand Gondry.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Parisien
par Alain Grasset
Réaliste, joyeux, parfois touchant, cet exercice cinématographique est superbement réalisé par un Gondry qui fourmille d'idées.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
On retrouve ainsi, dans "The We and the I", tout ce qui fait la "marque" Gondry, sans avoir pour autant la moindre impression de déjà-vu
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
par Caroline Vié
Autrefois maltraité à l'école, il ne cède en rien à un côté revanchard. "The We and the I" n'est pas un film de vieux con, mais une ode à la jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ecran Large
par Nicolas Thys
"The We and the I" est un entre-deux perpétuel, une envie de montrer qu'on peut encore renouveler le cinéma grâce aux technologies les plus récentes et produire naïvement des histoires avec trois fois rien et en allant vers la simplicité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Eric Libiot
C'est à la fois amusant et passionnant (...). Un drôle de film entre fiction, impro et quasi docu qui colle parfaitement au travail de Gondry, lui qui, cinéaste singulier, explore la singularité de ses personnages. Il n'y a pas de hasard.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Emile Breton
Qu'on prenne d'abord ce film qui se donne les allures d'un documentaire pour ce qu'il est vraiment : une fiction.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Rythmé et énergique, ce huis clos n'a quasiment pour cadre que l'habitacle en mouvement (...) "The We and the I" impressionne par la justesse de ton de ses acteurs, tous amateurs, qui portent à l'écran le même prénom que dans la vie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
"The We and the I" réunit deux qualités jusqu'ici incompatibles, l'énergie propre au déchaînement hormonal et la clairvoyance. (...) "The We and the I" parvient alors à une espèce de sérénité, dans laquelle il n'est pas interdit de trouver un peu de nostalgie pour ce cruel moment de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Fantaisiste sans rien rogner de sa justesse, théorique mais profondément humain, "The We and the I" est un film d'une beauté folle, où Gondry peaufine son art du récit gigogne et creuse son obsession du rapport de l'individu à la collectivité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Gérard Lefort
La trouvaille, c'est que toutes ces personnes gagnent leurs galons de personnages, c'est à dire de fiction, par la mise en scène de récits autobiographiques pour le moins fantasques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yann Tobin
(...) Gondry nous propose cet exercice de style à la trame rigoureuse et à la forme libre, ce croquis social en faux "temps réel".
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jacques Morice
Ce trajet à travers les rues de New York, qui donne l'impression heureuse d'avoir été filmé en temps réel, tient, mine de rien, du voyage initiatique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Michel Gondry se fait sociologue. Ambitieux mais anecdotique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Marianne
par Danièle Heymann
(...) le dispositif devient lassant. Mais peu à peu, au fil des arrêts, on abandonne la chorale désaccordée pour s'attacher à quelques solistes touchants. On s'approche de leur vie, pas toujours gaie, de leurs désirs, de leurs espoirs.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Jennifer Lesieur
Gondry change complètement de genre avec ce film qui colle au plus près de l'adolescence écorchée, avec ses blagues de gamin, ses obsessions sexuelles et ses premières préoccupations d'adultes.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
Il y a, dans un style presque documentaire, tout le vrai de situations pleines de vitalité. (...) Une toute nouvelle émotion s'installe alors à l'écran. Vibrante de sincérité.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Frédéric Foubert
Au départ plein comme un oeuf, saturé d'idées et d'énergie hip-hop, le film (...) perd beaucoup de sa vigueur au fil du parcours. Reste un bel éloge de la communauté et de l'art brut.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Cette progression linéaire - exercice de style oblige - n'est pas inintéressante mais elle se révèle un peu artificielle, surtout dans la dernière partie. (...) L'ensemble tient le cap, d'autant que les acteurs, avec leur physique passe-partout et leur présence naturelle, sont particulièrement de bonne compagnie.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Si la Gondry's touch est parfois forcée (les trucages bricolos, ici superflus), elle met malignement la culture YouTube au service du récit (les saynètes filmées au téléphone portable).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Quand enfin un point de fixation se crée, il est bien tard, le bus a atteint enfin son terminus.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Bref, c'est une vraie cour de récré sur roues, bruyante et désordonnée. Qui finit par donner mal à la tête. Dommage qu'il faille attendre que le bus se vide pour que le film offre enfin un peu de profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Cahiers du Cinéma
"The We and the I", huitième long métrage de Michel Gondry – et de toute évidence son meilleur, son plus pur, son plus enlevé.
Critikat.com
Léger en apparence, "The We and the I" se cache derrière ses faux airs de teen movie malin pour mieux émouvoir : un beau et grand petit film.
Elle
Ce projet nous émeut par sa spontanéité, son enthousiasme et l'humour de ces jeunes acteurs (...) du grand Gondry.
Le Parisien
Réaliste, joyeux, parfois touchant, cet exercice cinématographique est superbement réalisé par un Gondry qui fourmille d'idées.
Les Inrockuptibles
On retrouve ainsi, dans "The We and the I", tout ce qui fait la "marque" Gondry, sans avoir pour autant la moindre impression de déjà-vu
20 Minutes
Autrefois maltraité à l'école, il ne cède en rien à un côté revanchard. "The We and the I" n'est pas un film de vieux con, mais une ode à la jeunesse.
Ecran Large
"The We and the I" est un entre-deux perpétuel, une envie de montrer qu'on peut encore renouveler le cinéma grâce aux technologies les plus récentes et produire naïvement des histoires avec trois fois rien et en allant vers la simplicité.
L'Express
C'est à la fois amusant et passionnant (...). Un drôle de film entre fiction, impro et quasi docu qui colle parfaitement au travail de Gondry, lui qui, cinéaste singulier, explore la singularité de ses personnages. Il n'y a pas de hasard.
L'Humanité
Qu'on prenne d'abord ce film qui se donne les allures d'un documentaire pour ce qu'il est vraiment : une fiction.
La Croix
Rythmé et énergique, ce huis clos n'a quasiment pour cadre que l'habitacle en mouvement (...) "The We and the I" impressionne par la justesse de ton de ses acteurs, tous amateurs, qui portent à l'écran le même prénom que dans la vie.
Le Monde
"The We and the I" réunit deux qualités jusqu'ici incompatibles, l'énergie propre au déchaînement hormonal et la clairvoyance. (...) "The We and the I" parvient alors à une espèce de sérénité, dans laquelle il n'est pas interdit de trouver un peu de nostalgie pour ce cruel moment de la vie.
Les Fiches du Cinéma
Fantaisiste sans rien rogner de sa justesse, théorique mais profondément humain, "The We and the I" est un film d'une beauté folle, où Gondry peaufine son art du récit gigogne et creuse son obsession du rapport de l'individu à la collectivité.
Libération
La trouvaille, c'est que toutes ces personnes gagnent leurs galons de personnages, c'est à dire de fiction, par la mise en scène de récits autobiographiques pour le moins fantasques.
Positif
(...) Gondry nous propose cet exercice de style à la trame rigoureuse et à la forme libre, ce croquis social en faux "temps réel".
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
Ce trajet à travers les rues de New York, qui donne l'impression heureuse d'avoir été filmé en temps réel, tient, mine de rien, du voyage initiatique.
CinemaTeaser
Michel Gondry se fait sociologue. Ambitieux mais anecdotique.
Marianne
(...) le dispositif devient lassant. Mais peu à peu, au fil des arrêts, on abandonne la chorale désaccordée pour s'attacher à quelques solistes touchants. On s'approche de leur vie, pas toujours gaie, de leurs désirs, de leurs espoirs.
Metro
Gondry change complètement de genre avec ce film qui colle au plus près de l'adolescence écorchée, avec ses blagues de gamin, ses obsessions sexuelles et ses premières préoccupations d'adultes.
Ouest France
Il y a, dans un style presque documentaire, tout le vrai de situations pleines de vitalité. (...) Une toute nouvelle émotion s'installe alors à l'écran. Vibrante de sincérité.
Première
Au départ plein comme un oeuf, saturé d'idées et d'énergie hip-hop, le film (...) perd beaucoup de sa vigueur au fil du parcours. Reste un bel éloge de la communauté et de l'art brut.
TF1 News
Cette progression linéaire - exercice de style oblige - n'est pas inintéressante mais elle se révèle un peu artificielle, surtout dans la dernière partie. (...) L'ensemble tient le cap, d'autant que les acteurs, avec leur physique passe-partout et leur présence naturelle, sont particulièrement de bonne compagnie.
TéléCinéObs
Si la Gondry's touch est parfois forcée (les trucages bricolos, ici superflus), elle met malignement la culture YouTube au service du récit (les saynètes filmées au téléphone portable).
L'Obs
Quand enfin un point de fixation se crée, il est bien tard, le bus a atteint enfin son terminus.
Le Journal du Dimanche
Bref, c'est une vraie cour de récré sur roues, bruyante et désordonnée. Qui finit par donner mal à la tête. Dommage qu'il faille attendre que le bus se vide pour que le film offre enfin un peu de profondeur.