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Il ne fait pas bon vivre pour un aveugle dans ce trou perdu! Ajoutez y des tueurs, du gore à outrance pour un western sushi sans intèrêt où un loup solitaire sans yeux traque sans relâche l'assassin qui a tuè sa femme et sa fille! Une quête grotesque vers le pays du diable à ne surtout pas prendre au sèrieux! Ne cherchons pas à comprendre comment ce « Samurai Avenger » est nè! On imagine le fou rire de Quentin Tarantino devant la vision de cette purge qui plagie bien plus que son oeuvre! Justice sera faite avec au final très peu d'invention! Vivez votre vie par le sabre si ça vous chante mais voir une tueuse les seins à l'air se faire hara-kiri devant un aveugle et son disciple tout de cuir vêtu (le sosie de Grègory Fitoussi, à moins que ça ne soit lui !) , ça fait un peu beaucoup!
spoiler:
Et vous n'avez pas tout vu avec cette sorcière enceinte et ses morts-vivants sortis de nulle part!
0,5 pour le camèo de Amanda Plummer...
0,5 pour le camèo de Amanda Plummer...
Alors comment dire... ce film est une lie visuelle, on peut même pas appeler ça un film tellement c'est nauséabond et ridicule à chaque scène ! 0,5/5 car on peut pas mettre 0 ;)
Bel essai un peu à la "Kill Bill" mais, malheureusement, non transformé! il manque du dinamisme et de la tension dans ce film, les personnages sont pas assez travaillés, et ça reste très léger pour pouvoir créer une certaine intensité comme dans Kill Bill... dommage car ça aurait fait un très très bon film! Car mine de rien y a de bonnes idées et une histoire pas si complexe, une histoire de vengeance (tout comme son ainé), voilà donc à regarder pour se faire une idée, sinon on ne s'ennui pas tellement, c'est juste qu'il manque un petit quelque chose...
en un mot : dommage. le scenario donne envie le style du film est enorme MAIS rien n'est vraiment travaillé ... helas. on sent une influence de tarantino qui aurait du etre mieux exploité. ca se laisse regardé mais en bonne condition !
On conclura (ouf...) ces hommages au cinéma bis des années 60/70 avec « Samurai Avenger », un mélange western/chanbara qui tente un hommage poussif à Zatoichi ou Baby Cart. Pas grand chose à signaler si ce n'est que ça se laisse suivre sans difficultés par rapport à d'autres mais que ça reste fondamentalement mauvais. Le réalisateur/acteur principal Kurando Mitsutake fait ce qu'il peut avec de la bonne volonté mais le manque de budget se fait ici gravement ressentir. Trop linéaire, trop avare en scènes d'action vraiment remuantes, des acteurs peu inspirés (pourtant le méchant du tout début, malgré sa simplicité, permet de bien démarrer le film), des dialogues assez fades mais le sujet reste globalement traité avec tous les ingrédients propres à l'hommage (sang, nibards, photo crade...). Anecdotique donc. Mon podium final de ces hommages « Grindhouse », de qualités éparses, sera donc le suivant : « Hobo with a shotgun » (Jason Eisener), « Boulevard de la mort » (Quentin Tarantino) et « Black Dynamite » (Scott Sanders), Rodriguez, malgré 3 films, est détrôné par 2 quasi amateurs. Comme quoi...
Manque de nibs, manque de perversité, manque de gore, manque de charisme du vengeur, manque de langage ordurier bref n'est pas assez grindhouse pour le genre.
Un film déjanté, qui rappelle par moment "Kill Bill".
C'est aussi drôle que gore (enfin pas trop tout de même), bref un bon moment !
C'est aussi drôle que gore (enfin pas trop tout de même), bref un bon moment !
Chanbara amateur et sans le sous aux accents tarantinesques (on pense tout de suite à Kill Bill pour le scénario et la mise en scène), "Samurai Avenger" est un film consternant de nullité même en l'abordant au 1000ème degré. Dommage, sur le papier, ce long métrage avait tout pour me séduire mais le réalisateur nippon n'a pas le talent d'un Tarantino ou d'un Rodriguez. On peut néanmoins relever quelques bonnes idées par-ci par-là et une BO agréable typée western qui colle bien avec l'image.
Vraiment kiffant ce film. Un gros plaisir coupable. Le scénario de Kill Bill avec à la place d'Uma Thurman un japonais aux faux airs de Droopy secondé par un acteur inconnu qui doit passé son tps à la muscu au lieu de prendre des cours de théatre. Les septs cibles sont pas mal non plus :mention spéciale à l'hypnotiseuse topless et la sorcière enceinte. C'est mal joué. Moyennement réalisé. Pas du tout crédible. Complètement bancal. Et c'est çà qui fait tout son charme. Je me suis autant régalé que devant un épisode de San Ku Kaï. Pari réussit que de ressusciter les nanars qu'on adore. Merci à Rodriguez et Tarantino d'avoir relancé le genre.
🎬 RENGER 📼
Il y avait de quoi craindre le pire avec ce film, vendu sous le label "Grindhouse" (un effet de mode remit au goût du jour grâce au tandem Tarantino/Rodriguez).
Prenez un jeune cinéaste (Kurando Mitsutake) amateur de westerns et de films japonais, prenez un script aux multiples références (dont la plus flagrante reste celle de Zatoichi), ajoutez-y une pincée d’hectolitre de sang, de filles dévêtues (poitrines face caméra de préférence), des scènes d’action mal chorégraphiées, des membres coupés au sabre (bras, jambes, etc), ajoutez quelques effets du style "pellicule abîmée" pour faire croire que le film a vieillit, agrémentez-le tout d’une histoire tirée par les cheveux (sans oublier quelques séquences irréalistes mais fun : la césarienne au sabre) et vous obtenez Samurai Avenger (2009), un DTV de 90 minutes qui frise le grand n’importe quoi et qui bien évidemment, est d’une inutilité consternante.
Prenez un jeune cinéaste (Kurando Mitsutake) amateur de westerns et de films japonais, prenez un script aux multiples références (dont la plus flagrante reste celle de Zatoichi), ajoutez-y une pincée d’hectolitre de sang, de filles dévêtues (poitrines face caméra de préférence), des scènes d’action mal chorégraphiées, des membres coupés au sabre (bras, jambes, etc), ajoutez quelques effets du style "pellicule abîmée" pour faire croire que le film a vieillit, agrémentez-le tout d’une histoire tirée par les cheveux (sans oublier quelques séquences irréalistes mais fun : la césarienne au sabre) et vous obtenez Samurai Avenger (2009), un DTV de 90 minutes qui frise le grand n’importe quoi et qui bien évidemment, est d’une inutilité consternante.
On donne dans un le genre merveilleux du film d'exploitation, mais le réalisateur a oublié que nous avons changé d'époque. L'histoire est de bonne facture, mais la réalisation laisse à désirer et n'est absolument pas crédible. Un (très) gros bémol pour un film qui, sans cela, m'aurait conquis.
Depuis quelques années, il n’est pas surprenant de voir ici ou là des films estampillés Grindhouse. Style de marque de fabrique cinématographique, remise au gout du jour par Quentin Tarantino et Robert Rodriguez, dans leur diptyque Boulevard de la Mort / Planet Terror, ou dernièrement avec Machete.Ces deux longs métrages avaient pour buts de rendre hommage à ce genre de cinéma, très en vogue de la fin des 60’s à la fin des 70’s et qui disparut quasi totalement avec l’apparition de la vidéo.
Alors un film Grindhouse, c’est quoi ? Tout simplement un cinéma d’exploitation. Un film dont les qualités artistiques, scénaristiques, d’acteurs, ou d’images sont presque abandonnées, dans un but d’exploitation rapide et peu coûteuse, destiné au seconds ou troisièmes programmes de Drive in américains. Le tout sur fond de mauvais goût, de perversité, de violence, de nudité et de sujets récurrents habituels au genre (blaxploitation, nazixplotation…).
En résumé pour faire un bon film Grindhouse, il faut une pellicule dégueulasse, un budget limité, des acteurs pourris, des litres de faux sang qui giclent grâce à des effets spéciaux approximatif et homemade, des filles à gros nichons, des arts martiaux, des flingues ou tout objet contendant disponible et un scénario tournant principalement autour de la vengeance.
Il faut aussi des personnages bien singuliers, avec une prédilections pour les nazis, les samurais, les black de ghetto, les zombies, les putes, les clochards, les bikers…bref, il faut que ce soit crade, dérangeant, pervers, et surtout, faut que ça saigne, faut ça flingue et faut que ça baise…
Emballez le tout dans une jaquette couleur craft avec des grosses lettre rouges, ou par un artwork 70′s un peu douteux, et le tour est joué !
Suite et article complet http://www.mauvais-genres.net/2011/09/13/run-bitch-run-bitch-slap-samurai-avenger/
Alors un film Grindhouse, c’est quoi ? Tout simplement un cinéma d’exploitation. Un film dont les qualités artistiques, scénaristiques, d’acteurs, ou d’images sont presque abandonnées, dans un but d’exploitation rapide et peu coûteuse, destiné au seconds ou troisièmes programmes de Drive in américains. Le tout sur fond de mauvais goût, de perversité, de violence, de nudité et de sujets récurrents habituels au genre (blaxploitation, nazixplotation…).
En résumé pour faire un bon film Grindhouse, il faut une pellicule dégueulasse, un budget limité, des acteurs pourris, des litres de faux sang qui giclent grâce à des effets spéciaux approximatif et homemade, des filles à gros nichons, des arts martiaux, des flingues ou tout objet contendant disponible et un scénario tournant principalement autour de la vengeance.
Il faut aussi des personnages bien singuliers, avec une prédilections pour les nazis, les samurais, les black de ghetto, les zombies, les putes, les clochards, les bikers…bref, il faut que ce soit crade, dérangeant, pervers, et surtout, faut que ça saigne, faut ça flingue et faut que ça baise…
Emballez le tout dans une jaquette couleur craft avec des grosses lettre rouges, ou par un artwork 70′s un peu douteux, et le tour est joué !
Suite et article complet http://www.mauvais-genres.net/2011/09/13/run-bitch-run-bitch-slap-samurai-avenger/
Un croisement des genres entre "Kill Bill" ( en aussi sanglant ), "Zatoichi" ( pour le personnage principal ) et "Kung Pow!" ( mais en moins parodique ). Un divertissement sympathique devant lequel le fan de films de série Z ne s'ennuiera pas ! Il y a pas mal de flash back qui rythment l'histoire ainsi que de brèves explications documentaires qui interviennent au milieu de certaines scènes. Ce film "grindhouse" est une bonne surprise qui devrait ravir les amateurs de nanar gore.
Le film se voudrais être un hommage ou pire un clin d’œil(enfin clin d’œil les scènes sont carrément pompé sur baby cart),a baby cart,zatoichi et autre seulement il manque l'essentiel a ce film gloubiboulga.C'est a dire des gens capables de retransmettre a l’écran ce qu'ils ont pu trouvé de génial dans leurs models.Ici ce n'est qu'une avalanche de situation idiote et de personnage sans intérêt qui sont enfilé tel une brochette les uns derrière les autres.Le montage et les effets visuel quant a eux sont simplement hideux et ringard les passages N&B sont d’une ringardise sans nom.Les séries B des années 70 avaient au moins quelque chose de provoquant ou d'inventivité dans ce quelles proposaient,ce qui n'est pas le cas ici,c'est juste des scènes cliché vide d’âmes mis bout a bout.
Une délicieuse série z qui ravira les amoureux d'un cinéma révolu qui se voulait décalé, brut de décoffrage mais surtout 100% idiot au niveau des dialogues et des trucages.
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