Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Une comédie québécoise teintée d'humour noir nous offre un voyage dans le temps des émotions. (...) Stéphane Lafleur est un styliste de l'apparente simplicité. Du peu qu'il inscrit dans ses cadres, tout fait usage, signalétique poétique de ce que recèlent ses cadres du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film poétique, d'une subtile fantaisie, dérive doucement vers une inquiétude qui emporte le spectateur. (...) Ce réalisateur est un petit génie. (...) Et les acteurs prodigieux dans la retenue.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Stéphane Lafleur, qui réalise ici son deuxième long métrage, témoigne d'une faculté rare à extraire l'étrange du quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
La mise en scène à la fois graphique et poétique joue les cartes de la rupture de ton et du décalage burlesque et sert admirablement un scénario qui mêle social, drame familial et même fantastique.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Entre portrait de famille ironique et road-movie infusé d'esprit Sundance, "En terrains connus" tire un certain relief de sa nature sauvage et taiseuse.
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Le deuxième film du Québécois Stéphane Lafleur réussit convenablement le mélange, aussi agréable qu'éculé, des tonalités réaliste et onirique, censé restituer le goût doux-amer de la vie d'un homme lambda.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce catalogue minimaliste, parfois proche de la peinture (Edward Hopper), parfois décoratif et anecdotique, est de toute façon bien plus stimulant que certains drames lyrico-poseurs (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Alain Masson
Le scénario est à la fois évasif et subtilement organisé ; la réalisation est sobre et précise (...). Mais le ton de constat teinté d'une discrète ironie (...) laisse parfois place à des épisodes plus saillants (...). L'ouvrage perd alors de son originalité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Isabelle Danel
Entre fable existentielle et conte incongru, "En terrains connus" nous entraîne en terre inconnue. Dommage que le rythme languissant et une deuxième partie moins réussie ternissent l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Guillemette Odicino
Avec son humour à froid - moins 20 °C environ - et son remarquable sens du cadrage, Stéphane Lafleur fait surgir l'étrangeté des choses banales (...). Ce réalisateur canadien à suivre rappelle que la vie, finalement, c'est de la science-fiction.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Christophe Carrière
(...) proprement mis en scène (...) [mais] trop cérébral et alambiqué pour captiver.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Libération
par La Rédaction
Stéphane Lafleur navigue entre réalisme et fantastique, pratiquant ce que l'on nomme l''humour en demi-teinte", quand on commence à manquer de pile dans la lampe de poche qui nous sert de cerveau !
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
Une comédie québécoise teintée d'humour noir nous offre un voyage dans le temps des émotions. (...) Stéphane Lafleur est un styliste de l'apparente simplicité. Du peu qu'il inscrit dans ses cadres, tout fait usage, signalétique poétique de ce que recèlent ses cadres du quotidien.
La Croix
Ce film poétique, d'une subtile fantaisie, dérive doucement vers une inquiétude qui emporte le spectateur. (...) Ce réalisateur est un petit génie. (...) Et les acteurs prodigieux dans la retenue.
Le Monde
Stéphane Lafleur, qui réalise ici son deuxième long métrage, témoigne d'une faculté rare à extraire l'étrange du quotidien.
TéléCinéObs
La mise en scène à la fois graphique et poétique joue les cartes de la rupture de ton et du décalage burlesque et sert admirablement un scénario qui mêle social, drame familial et même fantastique.
Cahiers du Cinéma
Entre portrait de famille ironique et road-movie infusé d'esprit Sundance, "En terrains connus" tire un certain relief de sa nature sauvage et taiseuse.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Le deuxième film du Québécois Stéphane Lafleur réussit convenablement le mélange, aussi agréable qu'éculé, des tonalités réaliste et onirique, censé restituer le goût doux-amer de la vie d'un homme lambda.
Les Inrockuptibles
Ce catalogue minimaliste, parfois proche de la peinture (Edward Hopper), parfois décoratif et anecdotique, est de toute façon bien plus stimulant que certains drames lyrico-poseurs (...).
Positif
Le scénario est à la fois évasif et subtilement organisé ; la réalisation est sobre et précise (...). Mais le ton de constat teinté d'une discrète ironie (...) laisse parfois place à des épisodes plus saillants (...). L'ouvrage perd alors de son originalité.
Première
Entre fable existentielle et conte incongru, "En terrains connus" nous entraîne en terre inconnue. Dommage que le rythme languissant et une deuxième partie moins réussie ternissent l'ensemble.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
Avec son humour à froid - moins 20 °C environ - et son remarquable sens du cadrage, Stéphane Lafleur fait surgir l'étrangeté des choses banales (...). Ce réalisateur canadien à suivre rappelle que la vie, finalement, c'est de la science-fiction.
L'Express
(...) proprement mis en scène (...) [mais] trop cérébral et alambiqué pour captiver.
Libération
Stéphane Lafleur navigue entre réalisme et fantastique, pratiquant ce que l'on nomme l''humour en demi-teinte", quand on commence à manquer de pile dans la lampe de poche qui nous sert de cerveau !