Mon compte
    La Permission de minuit
    Note moyenne
    2,7
    531 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Permission de minuit ?

    113 critiques spectateurs

    5
    3 critiques
    4
    15 critiques
    3
    36 critiques
    2
    36 critiques
    1
    12 critiques
    0
    11 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Fabrice Deabrassart
    Fabrice Deabrassart

    17 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 mars 2011
    non desoler scenario bof plat , lent , et v lindon qui commence a enerver son peuple dans ses roles comme sa vie ,plate , depressive ,.... ou est lev lindon de " tout ca pour ca " ??,
    hamasiblan
    hamasiblan

    26 abonnés 449 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 mars 2011
    trop mou et le jeune est insupportable. Dommage car j'aime bien lindon !
    daldeb74
    daldeb74

    2 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2011
    Très bon film, excellente interprétation avec un Vincent Lindon assez mal dans sa peau de rôle de médecin était plus le père.Enfin un film qui nous montre une maladie sur les enfants lune.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 mars 2011
    Plutôt bon film de Delphine Gleize, qui porte son attention sur une maladie rare, et ce du point de vue d'un malade, donc, Romain, enfant de la lune parmi quelques rares autres, impossibilité lui étant de vivre sous le soleil et ses UV. Le scénario est absolument original, et tout est là pour bien faire : partir d'une singularité négative, d'une exception, d'un phénomène rare pour aborder comme latéralement des problèmes plus généraux, ceux de la vie courante, de l'amour, de la sexualité, de l'adolescence, des liens parentaux... Parce que quand même, cette maladie des enfants XP offre, sur le plan des idées, quelque chose d'intéressant, je veux dire un pur renversement de polarités : tout le quotidien habituel, polarisé par la lumière, le jour, le soleil, la vie sociale en somme, tout cela est valorisé à l'envers, en négatif : l'enfant de la lune est contraint à la nuit, à l'obscurité et à la solitude. Et tout ça de manière non choisie, évidemment, rien à voir avec une sorte de romantisme lyrique ou encore avec un satanisme gothisant. Ici, la nuit ce n'est pas le fruit poétique qu'un sujet créateur et souverain viendrait goûter librement, c'est la Loi, c'est la Règle, c'est le seul espace-temps envisageable. Le soleil, s'il n'est pas contourné, s'il n'est pas refroidi par astuce ou technique, c'est la mort. Et la permission de minuit, c'est un titre absolument mal fondé, ou ironique, mais alors assez triste : parce que l'enfant de la lune n'a pas la permission, mais l'obligation de minuit. Sur tout ça, cependant et outre le titre, le film voit juste, et ne donne pas dans l'exagération, en explicitant bien cette singularité avec des scènes très simples et très justes.
    Au-delà de ça, La permission de minuit décide de traiter du lien médecin-malade, dont on sait quelle importance il a dans toute prétention thérapeutique, psychiatrique, médicale ou psychanalytique. Là encore, je crois, le film aborde bien le renversement auquel il veut parvenir : alors que depuis plus d'un siècle la relation médecin-malade est condamnée et critiquée pour tout le réseau de pouvoir qu'elle représente, symbolise et fait perdurer (critique classique de l'institution médicale doublée de l'asymétrisme de droit entre le médecin et le malade), le film décide de contourner cette critique habituelle et de rentrer, là encore, de biais : entre le médecin, David (Lindon) et le malade, s'instaure non pas une asymétrie du côté du médecin, mais presque du côté du malade : c'est Romain qui aide davantage David, que David Romain (puisque bien sûr, Romain est incurable). Le film développe donc une sorte de relation affective entre les deux persos, jusqu'à une substitution partielle du lien paternel, puisque le père bio de Romain s'est barré. Et là encore, je trouve, le film n'en fait pas des couches, en montrant (mais peut-être un peu trop) davantage les embarras et les craintes de David face à Romain, que les peurs de Romain face à la mort. Cela dit, tout cela est bien nuancé, donc ça passe (notamment par la très bonne prestation de Lindon et de Quentin Challal, le gamin). Mais ce fait que David paraisse plus dépendant de Romain que l'inverse, c'est pas mal du tout.
    Bon maintenant les points noirs du film, parce que faut pas déconner, j'ai pas mal creusé pour trouver du bon : d'abord, des débuts de réflexion pas assez poussées, notamment sur la lumière, avec quelques efforts de faits, mais pas assez (après tout, c'est une maladie de la lumière : on aurait pu avoir un gros travail sur les jeux de lumières, sur les obscurités, je ne sais pas moi), aussi sur l'espace, puisque la maladie en question oppose aussi le cloisonnement aux grands espaces. On a l'impression que tout ça est posé, certes mais sans vraiment d'application... Et puis, tout de même, un rythme loin de passionner les foules, et de faire adhérer le spectateur. C'est un sujet grave, si on veut, c'est un film français, si on veut, mais ça n'empêche pas de ne pas être mou... Et puis, je n'ai pas du tout aimé Devos, qui nous ressort son jeu habituel, son rire bêtasse et ses yeux ovins... Et puis côté son, rien de bien palpitant. Bref, comme d'hab, aucune folie, on veut nous faire comprendre la gravité du monde avec la lenteur et la sobriété de l'image... Pfff
    Bref, tout juste la moyenne, dans la lignée d'Angèle et Tony... Dommage, avec un sujet pareil, il y a moyen d'arracher une petite larme. Mais enfin... 11/20.

    Et bien sûr, toutes les critiques sur le Tching's cine :
    http://tchingscine.over-blog.com/
    fromagetstephanie
    fromagetstephanie

    4 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2011
    Les 2 acteurs principaux sont très bons. L'histoire est émouvante mais pas assez fouillée à mon goût.
    Thierry M
    Thierry M

    166 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2012
    ce film est une pure merveille, le garçon est tres bon dans ce face a face avec V. Lindon.
    pierrepp
    pierrepp

    14 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 mars 2011
    un peu décu, malgré le talent de vincent Lindon, Emmanuelle Devos, ainsi que l'originalité du sujet, il reste un gout d'inabouti. La direction des autres acteurs parait incertaine (le jeune), et le son est mauvais à certain moment. Dommage...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 mars 2011
    Bâti sur le thème de la relation quasiment paternelle entre un médecin et son jeune patient atteint d'une maladie rare ("enfant de la Lune"), ce film est intéressant dans son analyse des sentiments. Il est cependant beaucoup trop lent et m'a semblé bien long. La présence d'Emmanuelle Devos m'a rappelé "Ceux qui restent" que j'avais beaucoup mieux aimé, parce qu'il m'avait semblé sonner "plus juste".
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 mars 2011
    Une oeuvre poignante , avec des personnages attachants et une histoire plutôt difficile à tourner. Vincent Lindon joue un dermatologue lié d'amitié avec un jeune malade atteint du xeroderma pigmentosum. Une maladie qui interdit toute exposition au soleil. L'amitié crée entre Vincent Lindon et Quentin Challal est très touchante. A cause de sa maladie , le jeune enfant pense que sa vie social est condamnée à rester toujours la même , ne pas avoir de petite copine par exemple. La bande d'annonce est quant à elle très agréable et nous signe un excellent film.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    95 abonnés 425 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mars 2011
    Il faut beaucoup de tact et de délicatesse pour ne pas transformer un tel sujet en une sorte de plaidoyer tire-larmes, à l’émotion facile et convenue. Avouons que Delphine Gleize ne réussit que partiellement à tenir cette gageure, notamment dans la surabondance nuisible des situations hautement symboliques à la résolution prévisible. De la lâche démission du père aux interrogations récurrentes de Romain sur la possibilité ou non de faire un jour l’amour, la réalisatrice multiplie ainsi les moments très lourds, avec un habillage musical ad hoc, comme si elle ne faisait pas confiance à sa thématique, optant pour la surcharge et la fioriture. Ainsi, la scène des adieux, largement annoncée et dont on présuppose à juste titre en quoi elle sera déchirante, semble-t-elle sans cesse ajournée. Et encore elle ne marque pas l’issue du film, auquel est rajouté un épilogue tout aussi mélodramatique, avec l’impression pour le moins désagréable d’un étirement dilatoire.
    De la même manière, appuyée et volontariste, la cinéaste signifie l’importance des lieux avec comme ligne directrice l’opposition entre l’univers hermétique et aseptisé de l’hôpital – souligné également par la combinaison opaque que doit porter Romain – et l’espace de liberté que constitue une route enneigée ou une grotte souterraine, sans parler de l’escapade bruxelloise, certes sympathique mais peu vraisemblable. Le comédien de Welcome et Mademoiselle Chambon continue à appliquer les mêmes recettes du dur au cœur tendre, au doux regard éploré, bourru et taciturne, mais une grande âme au fond.
    Au final, La Permission de minuit ne nous apporte guère d’éclairage singulier sur la relation équivoque et profonde reliant un médecin à son jeune patient, dans laquelle le cadre professionnel vole en éclats pour pénétrer la sphère intime des personnages. La dramaturgie croissante qui empile petits et grands événements pour mieux délayer une narration impropre à son autosuffisance emmène le film aux confins d’un aimable téléfilm, esthétique et message compris.
    BATNICO76
    BATNICO76

    19 abonnés 639 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 mars 2011
    Decevant, le film est mou et certaine scènes sont inutiles! les dialogues entres les ados sont mauvais est scrypté et le film manque d'une cruelle puissance et émotion! Dommage car vincent lindon est très convaincant comme souvent!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 janvier 2012
    Un super beau film, avec de bons acteurs. Vincent Lindon est super dans ce film. Le scénario est très bien écrit et les acteurs jouent juste. Le sujet de ces enfants obligés de se protéger du soleil est très joliment traité.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 mars 2011
    Très beau film, bien réalisé et très bien interprêté. Le sujet est traité avec beaucoup de pudeur et de sensibilité, mais ne laisse malheureusement aucun espoir. V.Lindon est égal à lui -même.
    octopus_fr2002
    octopus_fr2002

    80 abonnés 159 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 mars 2011
    Lamentable. Ennui profond pour ce film gnan gnan qui se traîne de lieux communs en lieux communs. Dialogue inexistant et à peu près inaudible tant il est mal articulé.
    Des yeux de biche éplorée ne font pas un jeu d'acteur.
    A éviter absolument!!!!
    diehard5
    diehard5

    44 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 mars 2011
    Les relations d'un adolescent atteint de la maladie de la lune, qui le contraint à vivre à l'abri de la lumière, avec son médecin traitant devenu comme un deuxième père. Une intrigue, à peu près complètement inepte, qui défie toute logique et toute raison. Des digressions (le tombé de dominos...) comme aucun étudiant à l'IDHEC n'oserait. Des clichés psychologiques, des pantins qui illustrent le dictionnaire des idées reçues (le chef de service qui ne veut pas passer la main...). Et la vulgarité, la pire qui soit : la vulgarité sentimentale, avec ses morceaux de bravoure, bien épais, bien lourds et tous faux (la cérémonie de départ...). Seules valent peut-être le déplacement les prestations d'Emmanuelle Devos et de Vincent Lindon, au titre des curiosités extravagantes, dans des numéros comiques bien involontaires. Et cependant, il reste le sujet : grandiose, éminemment cinématographique, douloureux. A traiter.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top