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Votre avis sur Le gamin au vélo ?
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Bon film, sensible, avec de bons acteurs. Mais il tend par moments vers le téléfilm et le déjà vu.
Le sujet n'est pas joyeux mais une certaine forme d'espoir ressort de ce film...
Le sujet n'est pas joyeux mais une certaine forme d'espoir ressort de ce film...
Les frères Dardenne ont leur truc pour donner de l’intérêt à des scènes de la vie qui ailleurs pourraient être fades, sans vie, voire lassantes. Un garçon à la recherche de son père, l’achat et le vol d’un vélo, la souffrance de ne pas être aimé, ne pas savoir l’exprimer, c’est délivré avec un souci de réalisme teintée de fiction dramatique qui délivre une émotion dénuée de toute ambigüité, et sans tomber dans le mélodrame superflu. Bon, c’est vrai qu’à un moment j’ai eut envie qu’ils le mettent dans les centres pour jeunes délinquants chers à Ségolène Royal, ce gosse, mais le propos n’est pas là. Ce garçon insupportable et perturbant, est instable, et ce que les mots ne disent pas, les gestes et la caméra suffisent à l’exprimer. Cécile De France est sobre et solide comme un rock, et c’est le point d’ancrage autour duquel tourne le gamin à vélo, dans une course folle qui m’a presque donnée le tournis, qui se termine par un petit miracle. Le travail sur les couleurs est visuellement réussit, rappelant les couleurs pures liées à l’enfance, (bleu, jaune, rouge), contrastant et contredisant la dureté des situations, ce rouge corrosif, ce vert acide, comme une sucette à l’anis, menthe, banane, fraise, avec une grosse amande amère au milieu.
Film émouvant, touchant ... le garçon joue admirablement bien ! j'ai été soufflée ! Le film est vraiment bien, la seule chose que je peux reprocher au film c'est sa durée, j'ai cru que le film avait duré 30-40 pas plus, j'aurais voulu que l'histoire se termine, aie une fin ... MAis la beauté de ce film rattrape ce vilain défaut ;) , Encore un chef d'oeuvre des Dardennes !!
Du ciné réalité par les frères des Ardennes, un très beau et dur moment. Ce gamin au vélo n'avale pas d'amphétamines...
Je ne suis pas un adepte des frères Dardenne, mais après avoir vu Le Gamin au vélo, je n'ai qu'une seule envie : découvrir rapidement leur filmographie.
Rarement un long métrage m'aura autant touché par son histoire, sa musique, ses personnages, son réalisme.
Le film dégage une puissance qui nous prend aux tripes, et Thomas Doret y est grandement pour quelque chose.
Ce môme est absolument éblouissant de justesse.
Grâce à une utilisation minutieuse de la caméra, on a les yeux rivés sur lui à chaque instant.
Aucune psychologie de bas étage, les réalisateurs se contentent de filmer simplement et sincèrement ce petit morceau de vie, où un môme tente de renouer les liens avec son père.
Une histoire sans concession qui ne lorgne jamais dans le pathos, les deux frères n'hésitent pas à afficher la cruauté de la vie.
Ainsi, grâce à son déroulement fluide et sans temps morts, le film provoque chez le spectateur plusieurs émotions à la fois, entre crainte, colère, joie et peine envers le petit garçon.
Les Dardenne ont réussi leur pari haut la main : c'est bien la première fois que je suis aussi attendri par un sale gosse à la gueule d'ange.
Rarement un long métrage m'aura autant touché par son histoire, sa musique, ses personnages, son réalisme.
Le film dégage une puissance qui nous prend aux tripes, et Thomas Doret y est grandement pour quelque chose.
Ce môme est absolument éblouissant de justesse.
Grâce à une utilisation minutieuse de la caméra, on a les yeux rivés sur lui à chaque instant.
Aucune psychologie de bas étage, les réalisateurs se contentent de filmer simplement et sincèrement ce petit morceau de vie, où un môme tente de renouer les liens avec son père.
Une histoire sans concession qui ne lorgne jamais dans le pathos, les deux frères n'hésitent pas à afficher la cruauté de la vie.
Ainsi, grâce à son déroulement fluide et sans temps morts, le film provoque chez le spectateur plusieurs émotions à la fois, entre crainte, colère, joie et peine envers le petit garçon.
Les Dardenne ont réussi leur pari haut la main : c'est bien la première fois que je suis aussi attendri par un sale gosse à la gueule d'ange.
Admirable ! Cécile de France est parfaite, mais je n'ai jamais vu un gamin jouer aussi juste.
Le dernier film des frères Dardenne est un petit bijou de simplicité. Un long métrage à la fois dur et sensible. Les Dardenne nous racontent, un peu à la façon d'un documentaire, l'histoire d'un jeune adolescent, Cyril, qui a été placé provisoirement dans un foyer par son père. Ses deux objectifs: retrouver son vélo et son paternel. Enfant turbulent, il va croiser sur sa route Samantha, une coiffeuse, qui va se prendre de sympathie pour lui. Accumulant les bêtises, Cyril va finir par s’apercevoir que son père ne veut plus de lui et qu'il a besoin de Samantha pour apaiser toute sa colère. Ce film est très bien réalisé. On plonge dans la réalité des gens "d'en bas" et on est ému et parfois bouleversé par ceci. Sans trop tomber dans le mélo drame, Le gamin au vélo reste divertissant. La prestation du jeune Thomas Doret est parfaite et extrêmement crédible. Cécile de France apporte beaucoup de douceur non négligeable au film et signe elle aussi une jolie performance. Mes points négatifs: trop court à mon goût et déçue par la fin qui n'en est pas vraiment une. A voir malgré tout!
Un très beau film, avec des bons acteurs et un "gamin au vélo" très attachant et convaincant. Petite déception cependant quant la fin du film, qui n'en est pas vraiment une...
Une narration brute et épurée, qui enchaîne sans rupture de style les scènes narratives et les moments forts : la « patte » Dardenne fait mouche une fois encore. C’est à la fois un film social (le thème de l’abandon paternel) et un film à suspense (le « gamin au vélo », remarquablement interprété, est tiraillé entre ce qui pourrait être un ange et un démon). La dernière péripétie du scénario est superflue à mon avis, c’est ma seule (petite) réserve sur ce film irréprochable par ailleurs.
Une histoire émouvante mais aussi très dure que celle de ce gamin à vélo qui se bat pour être reconnu par son père. Vraiment brillant.
Nouveau film social, un genre dans lequel se complaise les deux frangins Dardenne, vraiment nul. Je n'ai pas aimé, je n'ai pas adhéré à leur film. Autant "Rosetta" était magnifique que là c'est pas terrible du tout.
Un drame social emouvant,au scénario simple et extrémement bien joué. La réalisation est trés sobre mais les émotions sont présentes.On pourra , cependant, regretter un certain manque de clarté dans le role de Cécile de France, pourquoi s'attache t'elle sans raison à cet enfant?
Le final reste aussi assez expéditif meme semble inachevé.
Malgré tout, on appréciera l'ensemble, qui nous rammene à une dure réalité et le jeu de l'enfant.
Le final reste aussi assez expéditif meme semble inachevé.
Malgré tout, on appréciera l'ensemble, qui nous rammene à une dure réalité et le jeu de l'enfant.
Comme toujours chez les frères dardenne, une grande justesse de ton dans ce nouveau drame social où se succèdent chagrins, espoirs, déceptions, violence des gestes et des sentiments. Un film sans concession qui va droit au coeur.
Une comédie dramatique plus drame que com-drame assez fade avec une CdF très en retenue (aie !). Un gamin qui joue son jeu mais bien trop dirigé, des seconds rôles plutôt en dedans. Une histoire peu originale où, heureusement, le thème : "La Responsabilité de ses actes" est assez bien exposée. Un film toutefois trop court pour développé (1h20) avec l’absence, dans le scénario, des comportements et des préoccupations psychologiques face a cela. Juste la moyenne, pouvait mieux faire, surtout en ne restant pas uniquement sur le gamin. 2.5/5 pas plus !!!
Si la réputation de Jean-Luc et Pierre Dardenne est,je trouve,surestimée,il faut tout de même leur reconnaître la puissance naturaliste et l'âpreté de leur cinéma.Dardenne rime généralement avec dureté.Sauf que pour "Le gamin au vélo",ils ont décidé d'insuffler une lueur d'optimisme à un parcours chaotique.Un jeune garçon de 12 ans,échappé du centre éducatif où il est retenu est accueilli par une coiffeuse,qui le prend sous son aile,alors que lui ne cherche qu'à retrouver un père aux abonnés absents.Le petit Thomas Doret,avec son air buté et sa fuite en avant perpétuelle est insaisissable.Il a besoin d'amour,c'est évident,mais ne cherche pas le bon.Son vélo symbolise cette agitation corporelle et la tempête sous son crâne.Plusieurs scènes sont éprouvantes,mais il y a toujours des indices qui prouvent qu'un avenir radieux est possible.La mise en scène,solaire et précise met en avant la Belgique estivale de la cité.Cécile De France fait une entrée remarquée chez les Dardenne avec un personnage dont on ne sait rien,mais à la souffrance égale à la compassion.Le déroulé narratif est assez peu réaliste,mais l'émotion finit par affleurer,tranquillement,creusant le sillon d'un cinéma des Dardenne toujours sans concessions,mais désormais plus optimiste.
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