Derniers Avis : Le gamin au vélo - Page 17

Film plat , scénario tiré par les cheveux qui nous empeche d'avoir de l'empathie pour les personnages. Le scénario part dans tous les sens mais n'approfondie aucune piste, de plus la fin est vraiment à la hauteur d'un film primé à Cannes.....

Ils m`ont encore eu ! Je suis pourtant allergique aux frères Dardenne, mais à chaque fois le pitch du film me fait envie ! Et cette fois c`est digeste grace à un très bon scénario, une histoire qui mérite d`être racontée. Malheureusement l`ennui pointe très vite le bout de son nez, comme souvent chez les frangins. Les scènes trainent en longueur et ne s`enchaînent pas toujours logiquement. Mais Cécile de France contribue à rendre ce film agréable. On se laisse facilement emporter par sa relation avec le

Un gamin sublime, des personnages autour de lui finalement pas très intéressant à suivre, des Dardennes un peu attendus.

Plutôt que de soutirer nos larmes à grands renfort d'effets de pathos, les Dardenne misent sur la retenue et sur leurs acteurs. Thomas Doret, dans le rôle titre, laisse pantois de naturel et de maturité. Rares sont les enfants acteurs qui ne donnent pas l'impression d'être de gentils singes savants. Cécile de France, elle, paraît parfaitement à l'aise dans les fringues un brin cheap de cette coiffeuse de la province wallonne. Et le lien qui se noue, sous nos yeux, entre les deux personnages semble une évidence. Ce qui frappe dans ce film c'est aussi la gestion du rythme. Tout va très vite, à l'image de Cyril qui fend le vent sur son vélo. Aucune fioriture ne vient ralentir l'intrigue. De fait, l'histoire nous est contée en moins d'une heure et demi, sans que l'on ait eu le temps de voir poindre l'ennui.

Le Gamin au vélo n'est peut-être pas le chef d'œuvre auquel certains ont crié dans un élan d'enthousiasme mais sa vivacité fait plaisir à voir. Avec ce petit gars qui prend des coups -au propre, comme au figuré- mais se relève toujours les Dardenne ont (presque) signé un feel-good movie.
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Plutôt ennuyeux, une histoire banale dans laquelle on aurait aimé en savoir un peu plus sur le père et ses raisons. Cécille est comme toujours une excellente actrice mais son coté bonne soeur agace un peu dans ce film. Quand au gamin il est vrai qu'il est bon acteur mais il en fait un peu trop, et si j'étais sa famille d'accueille je l'aurai depuis longtemps renvoyé dans sa pension d'origine avec une bonne fessé pour lui remettre les idées en place.

Du beau cinéma des frères Dardenne , a n'en pas douter . Un seul souci , c'est que le film par un peu dans un desorde dans son déroulement .

Où essaient de nous emmener les deux frères réalisateurs? Peu d'intérêt dans la vie perturbée de ce gamin. Et une fin qui n'en est pas une...
Heureusement il reste Cécile de France...

Du beau Cinéma que nous proposent les frères Dardenne. Un film simple et sincère. Le jeune acteur nous subjugue pas son interprétation maitrisée de bout en bout. Bravo.

Ce qui marque en premier lieu ici c'est la façon dont le film nous immerge au coeur de son histoire, en un rien de temps, il nous retient en haleine, nous prend d'affection pour ses personnages et leurs mésaventures. Le Gamin au vélo (2011) est empreint d'un tel réalisme, qu'il nous surprend plus d'une fois. L'histoire est d'une grande simplicité, on y découvre un jeune garçon de 12 ans, abandonné par son père et qui se retrouve dans un foyer pour mineurs. Ce dernier va tout tenter pour retrouver la trace de son père, mais lorsqu'il finira par comprendre que ce dernier ne veut plus de lui, il tentera d'assouvir son manque d'amour en se trouvant une mère de substitution (avant de sombrer dans la délinquance en se liant d'amitié avec un dealer). Sa quête perpétuelle d'amour et d'amitié donne l'impression de ne jamais vouloir s'arrêter. Le tandem formé par Cécile de France & Thomas Doret est touchant et sincère, le jeune (et prometteur) Thomas Doret porte le film sur ses épaules et en impose pour son si jeune âge (d'un naturel et d'une présence physique impressionnante), sans oublier aussi la participation de Jérémie Renier. Les frères Dardenne séduisent une fois de plus et on est pas surprit de les voir remporter (ex-aequo avec "Il était une fois en Anatolie" de Nuri Bilge Ceylan) le Grand Prix du jury lors du 64ème Festival de Cannes.

Moment sympathique, je ne savais pas trop à quoi m'attendre en fait, donc je n'ai pas pu être déçue!
quelques longueurs mais bon ensemble.

Rien de bien nouveau dans la triste Belgique des Dardenne. Les personnages et leurs relations sont intéressantes, d'autant plus que les deux frères savent les filmer sans jamais les laisser sortir du champ. En même temps, rien dans ce film n'a pas déjà été vu, et certaines scènes virent franchement au ridicule (un gamin de douze ans qui met deux mecs K.O avec une batte de base-ball, mouais...) Thomas Doret est en revanche prometteur ; quand à Cécile de France, elle a l'air bien plus à l'aise que chez Eastwood. Contrairement à ce qu'en disent les mauvaises langues, les films des Dardenne ne sont pas mauvais. Ils sont plutôt quelconques, certains étant même plutôt bons. Il n'empêche qu'à la fin du film, on se dit "Oui, et donc ?". Plus que les Dardenne eux-mêmes, c'est la fascination qu'ils suscitent chez les critiques qui a tendance à me laisser sceptique...

euh ben franchement de toute facon j'y suis allé par defaut voulant me détendre dvt very bad trip 2 complet et etant illimité je me suis dit allez allons voir le gamin au velo primé a cannes, "tout de même", mais bien svt cannes recompense des navets ou films on ne peut plus ennuyeux... bon ben le verdict est que ce film est plat, les dialogues sont nuls, les acteurs cecile de france pas a son top le gamin joue bien mais n arrive pas a nous entrainer avec lui la longueur des scenes de velo alors ca aussi ca va on a compris il sait pedaler, la pauvre crédibilité du caid de la cité un gringalet !... bref je ne recommande pas ce film même si les freres dardennes sont sympathiques !! je vais aller voir three of life à reculons maintenant ...

Les frères Dardennes me sortent par les yeux.. Ils sont pour moi sur évalué et sur adoré... Toujours le même style de mise en scène, aucune inventivité et surtout aucune vrai présence et marque de fabrique. Le Gamin Au Vélo est un représentant parfait. Sur évalué à mon goût. L'enfant joue parfaitement bien son rôle de gamin tête à claque et au bord du gouffre qui passe son temps à courir après un piliers sur lequel il peut s'appuyer. Oui mais voilà, même si l'histoire est forte, il est servie avec tellement de froideur et sans émotion qu'on est pas du tous emmené dans le film. Il faudrait que Cécile De France apprenne à pleurer et surtout a joué. Le montage est raté dont certains séquences sont d'une immense connerie : Pourquoi, alors que tous le film est centré uniquement sur l'enfant (et heureusement), d'un seul coup les Dardennes nous sort une séquence entre De France et leurs Jérémie "Navet" Renier hors contexte !! De plus, mettre le même thème musical a des moments mal choisit est très peu judicieux, autant ne pas en mettre s'aurait été beaucoup mieux... Certains scènes sont également en trop. Bref, dommage car l'histoire était forte et intéressante surtout que le gamin est parfaitement choisit mais le reste est mal fait...

les frères Dardenne ont tapé fort. un film dur, oppressant à travers un jeu de scène qui paraît simple. le gamin est sublime de vérité qu'en à Cécile de France, le temps et l'âge l'embellissent, elle est d'un naturel extraordinaire. leur récompense aux réalisateurs et aux acteurs est bien méritée

Il est vrai qu'après avoir vu (et souffert devant) Tree of Life, je me suis estimée contente de voir un film pourvu d'un scénario.
Néanmoins, j'ai trouvé ce film bien "plat" : l'histoire est convenue, certains personnages (le caïd) et certaines scènes (le coup de batte qui fait perdre connaissance alors qu'il est donné dans le ventre) sont ri-di-cu-les, et l'ennui s'installe bien vite.

Pourquoi deux étoiles alors ?
L'une pour Cécile de France qui joue vraiment très bien ce rôle, l'autre pour la durée du film qui permet de se remettre aisément de sa platitude.