un grand film des frères Dardenne , différents des précédents , avec une star internationale , et de la musique le concerto n°5 de Beethoven , filmé comme d'habitude en longs plan séquence , le jeune garçon est impressionnant , Cécile de France exceptionnelle , , une vision pessimiste de la nature humaine .
Les frères D. font toujours le même film, y en a marre !!! Y avait pas besoin d'aller chercher Cecile de France ! Une actrice en Belgique au chômage aurait été contente de travailler !
Fascination toujours évidente devant la rigueur et l’apparente simplicité de ce récit conté par les frères Dardenne. Le portrait de Cyril, véritable pile électrique sur pattes, l’obstination coulant dans le sang, on peut l’affirmer sans se tromper, demeurera parmi les références cinéphiliques de ces portraits de jeunes enfants marqués par des débuts compliqués dans leur vie. Le choix du jeune interprète, Thomas Doret, y est évidemment pour quelque chose et le mélange de détermination et d’innocence perdue qu’il transmet sur l’écran subjugue le spectateur. Cécile de France possède cette capacité rare de se fondre dans la plupart des rôles qui lui sont confiés : son incursion dans l’univers si particulier des frères Dardenne lui offre l’opportunité de pouvoir composer une Samantha plus vraie que nature. A retenir également une mise en scène au couteau ainsi qu’une photographie lumineuse qui parvient à magnifier un cadre de vie a priori peu photogénique mais tellement inspirant pour ce binôme essentiel du cinéma contemporain. Récompense cannoise grandement méritée.
Une belle histoire somme toute d'amour entre un enfant et une jeune femme. Cecile de France est magnifique dans ce personnage de femme généreuse et courageuse et le petit garçon est excellent tout au long du film. Merci aussi aux réalisateur de ne pas tomber dans un misérabilisme quand les cinéastes filment le "peuple". Là, au contraire de la dignité et du bon sens.
Premier film des frères Dardenne vu au cinéma et une grande réussite. Certes, cela ressemble à un mélodrame, mais une fois dans l'histoire, le temps passe très vite et nous sommes rapidement pris par les personnages. Il y a peut-être un peu de caricature avec le caïd qui recrute le petit gamin au vélo qui viens d'arriver, plein de fougue... En fait, il y a beaucoup d'émotion et, en sortant de la salle, son prix au festival de cannes est bien mérité. Pour une fois, des réalisateurs montre une belle histoire que certains jeunes vivent dans des "banlieues" et cela donne un réalisme assez proche de nous...
Me voilà réconcilié avec le cinéma des frères Dardenne... Depuis quelque temps je trouvais leur cinéma beaucoup trop contemplatif et morose... Là c'est encore le cas, mais cette fois-ci nous avons une histoire pour nous garder éveillé. Le seul reproche que je trouve à faire, c'est peut-être l'esprit téléfilm qui plane à quelques moments. Ce nouveau long métrage des frères Dardenne est porté par un duo d'acteurs très talentueux, non connaissait déjà les talents de la première mais le deuxième est une révélation. Un jeu extraordinaire... Le cinéma belge tiens là un jeune espoir qu'il ne faudra pas perdre de vu.
Je suis allez voir ce film sans savoir ce que c'était vraiment ni par qui c'était réalisé. Plus le film avançait plus j'avais l'impression d'avoir déjà vu ça quelque part. Le générique de fin me donna le fin mot. Jean-Pierre et Luc Dardenne. En fait, Le Gamin Au Vélo ressemble très fortement à "La Promesse" des mêmes réalisateurs. La cadre et le contexte sont les mêmes, les acteurs jouent de façon similaire, difficile de ne pas faire l'analogie. Seul soucis, Le Gamin Au Vélo contient certaines longueurs et est irrégulier dans sont déroulement. Appréciable, mais trop "élitiste" au niveau de la réalisation pour être vu par tous.
Loin du Silence de Lorna, dernier film des frères Dardenne avant celui-ci, ces derniers nous montrent avec brio qu'ils sont capables de varier les genres et nous servent une comédie dramatique réjouissante avec Cécile de France, qui n'a plus besoin de nous prouver quoi que ce soit, et Thomas Doret, un jeune acteur prometteur.
L'histoire est très sympa, un amour incompris d'un enfant pour son père qui l'abandonne lâchement. Heureusement que Cécile de France est là, ça sauve des vies d'avoir une personne telle qu'elle qui croise notre route. Allez le voir ^^
Par une réalisation soignée mais moins ambitieuse, plus accessible et conventionnelle qu’à l’accoutumée, les frères Dardenne se faufilent dans un exercice moins intéressant que lors de leurs derniers métrages. L’interprétation est la dynamique constante du film qui l’empêche dans ces derniers retranchements de tomber dans les affres du téléfilm. Loin d’être honteux, le film est touchant à défaut d’être magnifique et viscéral comme on l’a déjà ressenti chez eux. On considérera que c’est simplement dû à un léger déraillement.
Malgré une prestation impressionante de thomas doret, le film décoit par le manque d'émotion qu'il transmet et par le manque de logique des réactions du personnage nottament samantha elle accepte tout sans rien dire, sans rien faire pourquoi ??? Et la fin un peu trop dommage à mon gout