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Votre avis sur Le gamin au vélo ?
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bon pour faire court encore un bon cru des frères dardenne même si ce n'est pas leur meilleur film mais de manière générale j'aime leur cinéma alors je n'ai pas boudé mon plaisir même si ce film n'est pas très gai c'est sùr
Placé provisoirement en foyer pour enfant, Cyril va tout essayé pour retrouvé son père. Lors d'une de ces tentatives, il va rencontré Samantha, qui sans réel raison apparente va mettre la main sur le vélo du gamin, c'est alors qu'entre les l'enfant et cette femme une relation va naître. Mais jusqu'où Samantha est elle prête à aller pour le jeune Cyril ?
Jean-Pierre et Luc Dardenne revienne sur un thème qu'ils affectionnent, la relation enfant/parent. Et au beau milieu de ce film, un objet, le souvenir d'un père à son fils, un vélo, symbole de lien familiaux. C'est l'union, l'espérance, le rêve d'un gosse finalement ...
Incarné par le jeune Thomas Doret, il s'approprie naturellement le rôle de Cyril, enfant turbulent, contre l'autorité, sans repère et surtout en manque d'amour. Renfermé sur lui même, c'est a travers Samantha, interprété part l'excellente Cécile de France qui signe une prestation impeccable, à la fois authentique et touchante. L'entente entre les deux ne fait aucun doute, l'accord est parfait, et la sensation d'amour palpable. Les frères Dardenne se sont concentré sur trois endroit bien distinct, la station service qui sert de tournant, la cité qui représente le père de Cyril et la forêt qui personnifie le mal, le danger, endroit où le gamin va découvrir et nous faire découvrir sa naïveté, son manque de tendresse reçu, mais c'est aussi dans une dernière scène l'endroit du bonheur et de la chance. Eblouie part la lumière d'été et doté d'une musique sublime, "Le gamin au vélo" est un véritable conte moderne réalisé avec une passion pour l'enfant, rempli d'espoir montrant un amour singulier, l'amour dans sa plus simple expression, sans limite, sans barrière ou seule la vie peut donner de vrai réponse a cette union entre un gamin et une femme. Beau, touchant, attendrissant, la force des frères Dardenne est de ne pas tombé dans le mélo, les émotions viennent d'elle même, oscillant entre tristesse et joie.
Jean-Pierre et Luc Dardenne revienne sur un thème qu'ils affectionnent, la relation enfant/parent. Et au beau milieu de ce film, un objet, le souvenir d'un père à son fils, un vélo, symbole de lien familiaux. C'est l'union, l'espérance, le rêve d'un gosse finalement ...
Incarné par le jeune Thomas Doret, il s'approprie naturellement le rôle de Cyril, enfant turbulent, contre l'autorité, sans repère et surtout en manque d'amour. Renfermé sur lui même, c'est a travers Samantha, interprété part l'excellente Cécile de France qui signe une prestation impeccable, à la fois authentique et touchante. L'entente entre les deux ne fait aucun doute, l'accord est parfait, et la sensation d'amour palpable. Les frères Dardenne se sont concentré sur trois endroit bien distinct, la station service qui sert de tournant, la cité qui représente le père de Cyril et la forêt qui personnifie le mal, le danger, endroit où le gamin va découvrir et nous faire découvrir sa naïveté, son manque de tendresse reçu, mais c'est aussi dans une dernière scène l'endroit du bonheur et de la chance. Eblouie part la lumière d'été et doté d'une musique sublime, "Le gamin au vélo" est un véritable conte moderne réalisé avec une passion pour l'enfant, rempli d'espoir montrant un amour singulier, l'amour dans sa plus simple expression, sans limite, sans barrière ou seule la vie peut donner de vrai réponse a cette union entre un gamin et une femme. Beau, touchant, attendrissant, la force des frères Dardenne est de ne pas tombé dans le mélo, les émotions viennent d'elle même, oscillant entre tristesse et joie.
c'est simple et efficace, faut juste adhérer au cinéma des frères dardenne
Le dernier film des frères Dardenne est un petit bijou de simplicité. Un long métrage à la fois dur et sensible. Les Dardenne nous racontent, un peu à la façon d'un documentaire, l'histoire d'un jeune adolescent, Cyril, qui a été placé provisoirement dans un foyer par son père. Ses deux objectifs: retrouver son vélo et son paternel. Enfant turbulent, il va croiser sur sa route Samantha, une coiffeuse, qui va se prendre de sympathie pour lui. Accumulant les bêtises, Cyril va finir par s’apercevoir que son père ne veut plus de lui et qu'il a besoin de Samantha pour apaiser toute sa colère. Ce film est très bien réalisé. On plonge dans la réalité des gens "d'en bas" et on est ému et parfois bouleversé par ceci. Sans trop tomber dans le mélo drame, Le gamin au vélo reste divertissant. La prestation du jeune Thomas Doret est parfaite et extrêmement crédible. Cécile de France apporte beaucoup de douceur non négligeable au film et signe elle aussi une jolie performance. Mes points négatifs: trop court à mon goût et déçue par la fin qui n'en est pas vraiment une. A voir malgré tout!
Me voilà réconcilié avec le cinéma des frères Dardenne... Depuis quelque temps je trouvais leur cinéma beaucoup trop contemplatif et morose... Là c'est encore le cas, mais cette fois-ci nous avons une histoire pour nous garder éveillé. Le seul reproche que je trouve à faire, c'est peut-être l'esprit téléfilm qui plane à quelques moments.
Ce nouveau long métrage des frères Dardenne est porté par un duo d'acteurs très talentueux, non connaissait déjà les talents de la première mais le deuxième est une révélation. Un jeu extraordinaire... Le cinéma belge tiens là un jeune espoir qu'il ne faudra pas perdre de vu.
Ce nouveau long métrage des frères Dardenne est porté par un duo d'acteurs très talentueux, non connaissait déjà les talents de la première mais le deuxième est une révélation. Un jeu extraordinaire... Le cinéma belge tiens là un jeune espoir qu'il ne faudra pas perdre de vu.
Rien de bien nouveau dans la triste Belgique des Dardenne. Les personnages et leurs relations sont intéressantes, d'autant plus que les deux frères savent les filmer sans jamais les laisser sortir du champ. En même temps, rien dans ce film n'a pas déjà été vu, et certaines scènes virent franchement au ridicule (un gamin de douze ans qui met deux mecs K.O avec une batte de base-ball, mouais...) Thomas Doret est en revanche prometteur ; quand à Cécile de France, elle a l'air bien plus à l'aise que chez Eastwood. Contrairement à ce qu'en disent les mauvaises langues, les films des Dardenne ne sont pas mauvais. Ils sont plutôt quelconques, certains étant même plutôt bons. Il n'empêche qu'à la fin du film, on se dit "Oui, et donc ?". Plus que les Dardenne eux-mêmes, c'est la fascination qu'ils suscitent chez les critiques qui a tendance à me laisser sceptique...
Présenté comme un film plus lumineux dans l'épatante filmographie des Dardenne, il semblerait que les journalistes se soient quelque peu fourvoyés. Car, bien que peut être moins empreint de lourdeur que d'habitude, Le Gamin au vélo reste un film âpre, à fleur de peau. Dénué, comme à l'accoutumée d'effets de style outranciers -à part quelques accords de violons épars ici et là, petite et finalement secondaire nouveauté-, on suit pas à pas ce gamin au vélo, perpétuellement en mouvement, à la recherche de son père. Vélocité. Un personnages combattif, presque soutenu par l'énergie du désespoir, incarnation du message positif des deux frères, d'un humanisme chrétien. D'une justesse insolente, le jeune interprète incarne une fois n'est pas coutume cette petite boule incandescente, vouée à rouler, en pente raide qu'elle soit ou non inclinée, à toute vitesse.
Quelle déception, je ne vois pas ce que les critiques ont pu lui trouver! Est ce le fait que le film exploite l'histoire d'un gamin sans véritable parent qui s'accroche à une coiffeuse (Cécile de France) pour le "sauver" de sa vie misérable? Même pas, car le film semble tellement long que l'on arrive même plus à discerner l'histoire de ce vagabond. De plus, le jeune acteur est INSUPPORTABLE, constamment à la recherche de son père, on a envie de le secouer et de lui dire une bonne fois pour toute que son père se fout de lui. Ou de lui donner une bonne claque. Ce personnage n'a vraiment pas été recherché ; le petit garçon qui s'obstine à trouver son père, et cela ne nous inspire même pas un minimum de compassion, seulement de l'énervement.
traversay1
Beaucoup d'analystes ont noté, à juste titre, que Le gamin au vélo est le film le moins noir, ou le plus tendre, si l'on préfère, des frères Dardenne. En revanche, ce qui est moins souligné, c'est qu'il s'agit de leur scénario le moins abouti et qui pêche, au moins en deux endroits, par des incohérences ou, autrement dit, par des facilités gênantes qui rendent le récit peu crédible dans son déroulement. Primo, quand Cécile de France (impeccable, par ailleurs) accepte d'accueillir ce gosse à problèmes sans l'ombre d'une hésitation. Dans leur cinéma social, le duo belge n'aime généralement pas s'embarrasser de connotations psychologiques, mais là, l'ellipse est un peu grosse. Secundo, quand le gamin en question, démon sympathique et fragile, obnubilé par l'image du père, après avoir commis une grosse connerie, devient soudain un ange sage comme une image voguant vers un happy end pas très convaincant. Pour le reste, on y retrouve l'univers habituel des Dardenne, avec quelques moments de vérité qui renvoient au cinéma de Pialat, avec une image plus que lumineuse que d'ordinaire et une utilisation nouvelle de la musique, surprenante et pas spécialement bienvenue. Paradoxalement, leur film le plus optimiste depuis leurs débuts est peut-être bien également leur moins achevé. La preuve : il n'a pas obtenu la Palme d'or à Cannes, seulement le Grand prix du jury (oups).
Une comédie dramatique plus drame que com-drame assez fade avec une CdF très en retenue (aie !). Un gamin qui joue son jeu mais bien trop dirigé, des seconds rôles plutôt en dedans. Une histoire peu originale où, heureusement, le thème : "La Responsabilité de ses actes" est assez bien exposée. Un film toutefois trop court pour développé (1h20) avec l’absence, dans le scénario, des comportements et des préoccupations psychologiques face a cela. Juste la moyenne, pouvait mieux faire, surtout en ne restant pas uniquement sur le gamin. 2.5/5 pas plus !!!
Ciné2909
Le gamin au vélo s’appelle Thomas Doret et c’est une nouvelle découverte que l’on doit aux frères Dardenne car ce petit garçon est impressionnant d’authenticité dans son rôle. A la recherche d’un père qui refuse de s’assumer, il mène ce film de bout en bout et forme avec Cécile De France un extraordinaire duo. Une nouvelle fois les Dardenne trouve le ton juste ce qui leur a d’ailleurs valu d’être récompensé avec le Grand prix du 64ème festival de Cannes mais ça commence à devenir une habitude pour eux ! Vous savez donc ce qu’il vous reste à faire.
Comme toujours chez les frères dardenne, une grande justesse de ton dans ce nouveau drame social où se succèdent chagrins, espoirs, déceptions, violence des gestes et des sentiments. Un film sans concession qui va droit au coeur.
Mesdames et Messieurs, les frêres Dardenne « assurent »… Ce n’est pas nouveau ! Même si ce dernier opus n’ait pas le meilleur il en demeure pas moins très bon. Le désir ardent d’un gamin de retrouver son père… qui ne le souhaite pas… Tu tombes, tu te fais mal, tu te relève, et tu continu.
Le cinéma des frères Dardenne est souvent intéressant au niveau de l'histoire, mais très froid (limite emmerdant) à regarder. Avec "Le gamin au vélo", le ton change, l'image se fait plus lumineuse et les personnages sont plus ouverts à l'espoir. Ça fait un bien fou ! Pour autant, le parcours de Cyril n'est pas un long fleuve tranquille. Abandonné par son père, un homme paumé et immature, il est alors accueilli les week-end chez Samantha, une coiffeuse qui lui propose son amour, juste comme ça, sans contrepartie. On sent que Cyril est au fond un brave garçon, qui dit bonjour, merci, qui veut se faire des amis. Mais il lui faudra faire encore quelques belles conneries pour se rendre compte que ce chemin chaotique n'est pas pour lui, qu'une autre voie beaucoup plus tendre s'offre à lui et que c'est à lui de faire le choix. Ce film est d'une incroyable finesse : certaines scènes sont absentes ou tout juste suggérées, c'est au spectateur de remplir les "trous" dans l'histoire. D'autres, inattendues, nous tombent dessus sans prévenir, leur donnant un impact d'autant plus fort. Le final, rempli d'espoir, nous gonfle le cœur et nous met les larmes aux yeux. On aimerait bien suivre ces deux-là encore un bout de chemin ! Bravo au jeune Thomas Doret, épatant dans le rôle de Cyril, et à Cécile de France, toujours classe !
On sort de ce film déboussoler grace aux acteurs parfait (le jeune cyrile, sacré bonhomme et C De France)Un sujet qui ne devrait pas exister! l'abandon d'un enfant, avec lequel on joue! cet enfant qui espere tant de son pere et de l'amour recherché. Comment vivre tant bien que mal quand on est rejetté de sa propre famille. Bravo encore pour l'interprétation de ce jeune acteur.
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