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    J. Edgar
    Note moyenne
    3,4
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    1 195 critiques spectateurs

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    didou65
    didou65

    1 abonné 80 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 février 2012
    Clint Eastwood nous ennuie avec ce film qui manque d'action et de dynamisme. La realisation est trop attendue et ne surprend a aucun moment.
    Di Caprio est excellent dans ce personnage complexe mais n'arrive pas à sauver le film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 février 2012
    Fan de la première heure d’Eastwood, force m’était de constater que le grand monsieur semblait s’égarer, dans ses derniers opus, dans un mysticisme un peu niais. Pour 2012, il nous propose un film sur la vie de J. Edgar Hoover, grande figure mystérieuse et capitale de l’histoire américaine puisque ce dernier fut le créateur et le directeur du FBI jusqu’à sa mort, pendant pas moins de cinquante ans.

    Connaissant le style d’Eastwood, on pouvait s’attendre à un biopic hollywoodien en bonne et due forme, avec fresque monumentale et grands instants mémorables à la clé mais surprise, Eastwood prend le contre pied du spectaculaire et s’intéresse à la sphère privée d’Hoover. On est alors en droit de se sentir flouté, de trouver le film inintéressant et ennuyeux. En effet, où sont les arrestations spectaculaires, la lutte contre le communisme, la seconde guerre mondiale … ? Et bien, tout y est mais de manière biaisée, soit par la voix off d’Hoover qui détourne la vérité lors de scènes d’actions très rapides, soit par l’intermédiaire de manchettes de journaux, discours télévisés et interviews prestement expédiés. Comme si l’histoire de l’Amérique n’était qu’un fond de plan sur lequel l’empreinte d’Hoover semblerait agir de très loin.

    Elle est en fait prétexte à mettre en relief la partie passionnante du film ou comment pouvait vivre un homme comme Hoover, raciste, asocial, effrayé par le sexe, écrasé par la présence d’une mère sévère et impitoyable et tiraillé par son homosexualité. C’est alors assez fou de voir Eastwood, que l’on pensait réac, puritain, fier du mythe américain, filmer avec autant de subtilité et de tendresse une histoire d’amour impossible entre Hoover et son bras droit, Clyde Tolson. Deux scènes de dispute, l’une alors qu’ils sont jeunes et l’autre alors que la vieillesse les ont tous deux épuisés suffisent à élever le film au rang d’œuvre romantique et à confirmer DiCaprio comme l’un des acteurs les plus doués de sa génération.

    Le film se révèle également très intéressant sur le temps qui passe, lorsque tous les personnages, momifiés à l’extrême dans des maquillages incroyablement ratés (celui de Tolson en tête), semblent exécuter les mêmes gestes, répéter les mêmes rengaines que cinquante ans auparavant, comme s’ils n’étaient plus que des vestiges d’une époque révolue, souverains agonisants d’une Amérique qui vit, insouciante, sa période la plus faste.

    Plusieurs passages de pur cinéma émaillent également J. Edgar, notamment lorsque Hoover, debout sur son balcon, recueille silencieusement les applaudissements de la foule destinés aux présidents ou lorsqu’il ment à ses biographes et que sa voix vient contredire ce que l’on voit à l’écran. C’est finalement un film très complexe et subtil que nous livre Clint Eastwood, exigeant, ardu, mais passionnant de bout en bout.
    Philippe Olsina
    Philippe Olsina

    17 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 février 2012
    2 etoiles pour le trio d acteurs. le film est long et ennuyeux. decevant par rapport a ce que nous avons lu.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 février 2012
    Film intéressant dans son ensemble pour comprendre la complexité et la dominance du service du FBI, élevé à ce rang par un homme dominé par des tics/tocs de toutes sortes dû à sa dépendance matrimoniale.. Effectivement DiCaprio est excellent dans ce rôle, et c'est sans doute par son expérience personnel (avec sa propre mère) qu'il tire aussi bien les traits de Hoover.
    Cependant, le scénario est plutôt mal conçu, des interfaces temporelles trop récurrents nous perd dans un déchaînement de malversations politico-sentimentale (typé chasse aux sorcières).
    Il faut sans doute le voir pour se faire sa propre opinion sur le personnage et sur ce qu'il a crée, mais aussi bien regarder les méthodes utilisés et méditer là dessus.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 février 2012
    Eastwood est génial meme si son film est trop long on remarque une mise en scène splendide intimiste et un Léo en grande voire très grande forme meme si je ne suis pas son plus grand fan ici je lui tire mon chapeau
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 février 2012
    Vraiment un film incontournable. Le jeu des acteurs est parfait, le maquillage bluffant. Au départ je pensais que je m'ennuierai mais les plans, l'enchevêtrement du passé et du présent, la force du personnage nous happent complètement. Encore un chef d'oeuvre de Clint Eastwood.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 février 2012
    Votre enfant a mange trop de sucreries ou ne s'est pas brosse les dents et vous voulez lui infliger une sévère sanction? Posé le devant J.Edgar ça le calmera.

    Vous voulez connaitre la sensation d’être dans le coma ou peut être voulez voir le célèbre tunnel blanc avant la mort? Installez-vous devant J .Edgar.

    Vous avez des envies de suicide mais vous n'arrivez pas a passé a l'acte . Regardé J.Edgar cela vous aidera a avancé dans votre démarche.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 février 2012
    Un peu long, un peu soporifique, Clint nous apporte un cinéma parfait esthétiquement peut être même trop propre et froid, on regrettera le scénario porté un peu trop sur la psyché de J.Edgar au détriment du contexte historique et surtout politique des Etats-Unis.
    pitch22
    pitch22

    165 abonnés 682 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 février 2012
    Un biopic pénible, longuet, pesant, orienté sur la personne de John Edgar Hoover (d'où le titre-prénom, qui le distingue en outre du président du même nom). Bavard, répétitif, grisâtre, sans véritable charme, ce biopic pourrait se voir sauvé par son point de vue intimiste majeur s'il ne s'embourbait pas dans un portrait ennuyeux. D'emblée, la voix de Leonardo DiCaprio s'impose, insupportable: une diction détestable, un ton nasillard, disgracieux, déroulant une farouche propagande anti-communiste, nationaliste, une action politique paranoïaque. A défaut d'obtenir un portrait juste de cet ignoble personnage, menteur et manipulateur, on peut apprécier la place accordée aux scènes personnelles (ascendance de la mère sur l'homo castré, drame conjugal, scène de la robe...) Le cinéaste fait le choix de représenter un J. Edgar homosexuel refoulé, qui a plutôt mal vécu sa sexualité (il a dû faire face à des rumeurs de travestissement) mais qui s'est attaché à un amant, Clyde Tolson, devenu une sorte d'alter ego très proche. Puisqu'on le suit au début (la petite trentaine) et à la fin (jusqu'à 77 ans) de sa carrière au FBI, plutôt que de prendre d'autres acteurs, les mêmes se trouvent lourdement vieillis, à coup de masques, de maquillage, de prothèses et d'ajouts divers en matériaux synthétiques. Le résultat est douteux, avec un grimage excessif, repoussant, plutôt irréaliste (quand on compare aux vraies photos d'Hoover vieux). Certains trouveront ça réussi... DiCaprio fait croire qu'il joue bien alors qu'il joue médiocrement; déjà ridé à soi-disant 30 ans, il ne cesse de froncer, de faire la gueule, de jouer les pitbulls, c'est exagéré. Certes, on comprend en gros le rôle controversé du personnage (qui a multiplié le harcèlement de dissidents, les dossiers secrets, les méthodes illégales) mais la charge est clairement insuffisante. On ne saisit pas à quel point il était coriace. Tout un pan de son action est occulté, alors que l'affaire Lindbergh occupe une place centrale. Le film exprime un côté intraitable et radical mais il montre aussi une face cachée, humaine, par un profil empreint de dolorisme, presque victimaire (pov' vieux), le rendant presque compréhensif. On peut donc suspecter les intentions du conservateur Clint Eastwood. À voir pour l'audace de la thèse intimiste, discutable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 août 2013
    Clint Eastwood signe l'un de ses meilleurs films. L'histoire a beaucoup d'intérêt. spoiler: Notons que l'homosexualité de J. Edgar en a choqué plus d'un (je dis cela car des gens dans la salle sont partis lorsque J. Edgar se bat et embrasse ensuite son bras-droit).
    J'ai trouvé cette réaction nulle de la part des spectateurs alors que le film est bon.
    SmEuG
    SmEuG

    44 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2012
    J. Edgar s'impose dans la carrière de Clint Eatswood comme le parfait contre-pieds à ses deux films précédents; l'anti-Invictus en somme. Là où dans le Biopic de Nelson Mandela, Eastwood affichait avec clarté ses positions, mettait en valeur la sagesse de son personnage et traitait l'ensemble avec une patte moralisatrice très pesante, dans J. Edgar, il ne tombe pas dans la facilité du film politique partisan auquel ont pouvait s'attendre et étudie son protagoniste Edgar Hoover avec distance et méticulosité. En fait, le pourquoi prend le pas sur le comment. Le portrait importe plus que le pamphlet.
    Ainsi, les différentes facettes d'Edgar, ses vices, ses complexes, sont présentés au fil du récit, apparaissent plus clair au fur et à mesure de la croissance de sa création (L'institution FBI). On décèle même une touche de sympathie émanant du cinéaste pour cet homme prisonnier de sa cage émotionnelle, dont l'expectative violente de la mère n'y est certainement pas étrangère.
    Car en effet, derrière cet homme fort en apparence, ce véritable pionnier de la police criminelle jouissant d'une puissance inimaginable, se cache un bègue un peu lâche, abominé par son homosexualité, dont l'arrogance cache en vérité de terribles frustrations. Face à la honte qu'il éprouve, Edgar n'a de choix que d'ériger cette façade rigide destinée à éviter toute humiliation malvenue et surtout à assouvir sa soif d'auto-valorisation. En cela, le film lui rend honneur ne manquant pas de rappeler la perception de l'homosexualité à une époque pas si lointaine, qui rendait impossible une telle ascension sociale.

    D'un autre côté, le film parle également d'un rendez-vous manqué. A l'instar de la secrétaire Helen Gandy (Naomi Watts), dont le refus de la vie conjugale pour consacrer sa vie à l'Institution pourrait lui aussi receler un tiroir à secrets, autant le parcours de Hoover que celui de Tolson offrent un sentiment d'inaccompli. Dès leur première rencontre, on sent une fascination mutuelle, qui prendra une dimension supérieure lors de leur premier repas commun au restaurant, où Eastwood filme leur discussion comme il filmerait deux amoureux se déclarant leur flamme, à coup de champ-contrechamp zoomé. Si Tolson communique l'espoir de voir son rêve se réaliser à travers divers gestes explicites, la prison de verre d'Edgar empêchera toujours les deux hommes de donner suite à ces sentiments refoulés, l'image de "l'enfant" de Hoover comptant plus que son épanouissement personnel.
    Seuls les rituels quotidiens nourrissent leur rapport, donnant lieu à des repas qui se suivent dans leur monotonie.
    Le film a donc cela d'hautement tragique et puise dans cet inassouvissement presque pitoyable toute sa puissance dramaturgique.

    Dans un deuxième temps, une autre caractéristique contribue à rendre pathétique cet homme pourtant brillant. Elle réside dans son évolution professionnelle et idéologique. En effet, le Edgar "jeune" fait figure de pionnier dans son domaine. En dehors de leur aspect déontologique potentiellement douteux (Etat hyper sécuritaire, entrave à la vie privée), ses idées dépassent les conventions et comme tout visionnaire il demeure incompris. En outre, sa lutte face au terrorisme et à la mafia fait figure de juste motif pour justifier de telles mesures, à tel point qu'il est devient starisé par la population, à l'image de ses apparitions dans des comics ou de l'éloge policière des films au cinéma. Il atteint presque le mythe.
    En revanche, le Edgar "vieux" semble dépasser par les événements, comme s'il était resté bloqué à l'affaire Lindbergh, comme si la Prohibition était encore d'actualité. Il parait soudainement vétuste dans ses indignations politiques, notamment lorsqu'il accuse Martin Luther King d'être le pire ennemi de l'Amérique, le nouveau communisme à éradiquer.
    Edgar est d'autant plus piteux que spoiler: sa mort n'a rien de digne. Il gît nu sur la carpette au pied de son lit, pâle et bedonnant tel un vieillard décrépi. On apprend également que les exploits dont il a été l'auteur à l'écran, sont en grande partie inventés dans le but de dorer une image jamais assez belle pour lui.


    Par conséquent, le scénario de J. Edgar écrit par Dustin Lance Black, déjà scénariste de Harvey Milk, est certainement le gros point fort du film et pousse Eatswood à la sobriété pour cette histoire extrêmement éloquente.
    Je pose malgré tout quelques réserves quant à l'esthétique travaillée par Clint avec Tom Stern, son chef-opérateur, dont le fameux "noir informe" laisse froid. De même concernant les compositions écrites également par Eastwood, d'une banalité affligeante. Les petites notes de panio disséminées par-ci par-là, j'en ai ma claque. Par ailleurs, l'absence de Di Caprio parmi les nominés aux oscars pour le meilleur rôle principal est regrettable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 juillet 2012
    J'ai eu la chance de pouvoir aller voir le nouvel Eastwood en VOSTFR dans le cadre de mes cours d'Anglais. Ne manquant jamais la sortie d'un des films de cet immense acteur/réalisateur, je suis donc impatiente de le visionner. Je reste finalement un peu sur ma faim, je m'attendais à un peu plus d'action, de punch; et malgré un début qui nous propulse d'entrée dans l'histoire de Hoover, le film tend à s'essoufler par moments.
    Néanmoins, et comme d'habitude, le visuel est parfait, le jeu d'acteur impeccable, ce nouvel Eastwood est beau aussi bien dans les images que dans les dialogues. Beaucoup d'émotions (j'ai manqué de pleurer à plusieurs reprises durant les scènes avec Tolson et que dire de cette magnifique fin ?), j'étais profondément captivée par la personnalité de J. Edgar surtout par sa complexité.
    Malgré tout j'aurais préféré que Clint se focalise un peu plus sur les méthodes et les avancées du directeur du FBI plutôt que sur sa vie personnelle.
    En clair, pas mon préféré du réal, mais un Eastwood reste un Eastwood.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 février 2012
    Navet de Clint
    Une prémisse interréssante mais qui a force d'être explicitée devient lourde et perd de son charme.
    Un maquillage à outrance fait de caprio vieux un amas de latex pas crédible. Les dernières répliques sonne faux et sont creuses d'une émotion empruntée. Un narrateur vient au final clore le tout dans une morale que seul Hollywood sait faire. Comme si nous avions besoin de cette moral explicitée pour se poser des questions pour sa vie!!! Attention Clint ça en fait deux de suite le troisième sera éliminatoire.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 février 2012
    Un film pour la culture ! Voilà c'est le point positif. Bien entendu je ne parle pas du jeu des acteurs excellent, Dicaprio notamment (comme d'hab me direz vous).
    On arrive au point négatif : la lenteur du film. Voilà le rythme est lent, très lent, et peut rapidement devenir chia**.
    C'est tout de même un film à voir, au moins une fois !
    Caine78
    Caine78

    6 688 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2012
    Après un « Au-delà » émouvant mais mineur, Eastwood revient à un sujet dont il semble plus proche : le portrait de J. Edgar Hoover (Leonardo DiCaprio, excellent), directeur « tout-puissant » du FBI de 1924 à 1972. Et s'il y avait sans doute matière à réaliser une œuvre de 4 ou 5 heures, le résultat n'en est pas moins passionnant. Loin des biopics classiques, le réalisateur d' « Impitoyable » s'efforce de montrer les différentes facettes d'une figure ultra-complexe en jouant brillamment avec le temps, faisant passer son héros du passé au présent avec une aisance technique déconcertante. C'était d'ailleurs sans doute la meilleure solution pour cerner un minimum ce personnage insaisissable, à la fois odieux et quasi-fascinant dans sa façon de voir les choses, de très peu douter, de se prendre pour ce qu'il n'est pas... Le grand Clint a beau ne pas être tendre avec lui, Hoover garde toujours quelque chose de mystérieux, d'étrange, de contradictoire, à l'image de cette très probable homosexualité qu'il se sera caché jusqu'à son dernier souffle. Qu'il est triste en effet de voir un homme, aussi peu attachant soit-il, ne jamais évoluer sur nombre d'idées, consacrer 99% de sa vie à un travail qui l'obsède, sans penser le moindre instant à une quelconque possibilité de s'épanouir, d'avoir une vie « normale »... L'image est saisissante lorsque l'on voit à quel point celui-ci embellit sa vie dans ses mémoires, se vantant de nombreux exploits alors qu'il n'était parfois même pas là, toujours à la recherche d'une reconnaissance qu'il semble pourtant conscient de ne pas forcément mériter. Celui-ci en devient quasiment touchant par moments, même si la carapace ne se fendra en définitive jamais vraiment et qu'il emportera la plupart de ses secrets dans sa tombe. Et si Eastwood en fait un peu trop niveau maquillage, son travail, certes classique, n'en est pas moins remarquable, évitant nombre d'écueils inhérents au genre tout en nous intéressant à l'une des personnalités les plus controversées du XXème siècle : chapeau l'artiste.
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