film moyen et un peu enniyeux. le casting est bien et le personnage principal n'etait pas tres fréquentable. je l'ai trouvée égoiste et un peu froid. j'ai eu du mal a me concentrer sur le film.
Film soigné certes, direction des acteurs excellente, mais... le scénario manque de nervosité pour être totalement pris par l'histoire de ce personnage important dans l'histoire américaine du XX siècle. Les allées et venues entre passé et présent sont peu convaincantes au début, et puis petit à petit je me suis laisser prendre par l'histoire de ce personnage, ici à nouveau interprété avec force, conviction et justesse par ce magicien psychologue, qu'est Léonardo Di Caprio. Il faut être intéressé par l'histoire américaine et connaître un tant soit peu, le personnage hautement controversé de J.Edgard Hoover. Le film est trop long, la fin retombe, hélas.
J'aime beaucoup Clint Eastwood et Leonardo di Caprio et c'est très bioen joué on ne peut rien dire. Mais qu'est-ce que je me suis interminablement ennuyé. En règle générale, les biographies ça ne fonctionne pas au cinéma et celle-ci ne fait pas exception.
Déçu par ce nouveau Clint Eastwood (dont j'adore la plupart des film récents). Le scénario est confus, le choix de traiter l'histoire par flash back amène beaucoup de confusion. Les maquillages des acteurs sont rapidement grotesques (sauf pour Di Caprio). Les acteurs sont bons et la photo du film excellente. Le piano de Clint Eastwood est comme toujours très (trop ?) présent et répétitif.
Tout bonnement bonifiant, clint eastwood revient au devant après une légère baisse avec au delà et il revient plus fort avec ce film. Et quel performance de monsieur Hammer et monsieur Di Caprio et quel honte de ne pas être nominé aux oscars
Pas terrible, ennuyeux, peu sympathique, rien dans ce film n'apporte du plaisir, même pas le jeu d'acteur et encore moins l'aspect historique de l'histoire ! Sans intéret ni suspens, juste le destin d'un homme peu recommandable !
Dépasser la moyenne en faisant la biographie de quelqu'un que je ne connaissais et qui ne m'a pas intéressé est difficile. Pourtant Di Caprio, Armie Hammer et Clint Eastwood n'ont rien a se reprocher, bien au contraire!
Sur le plan de la technique, du scénario et du jeu des acteurs, c'est un très bon film. Seulement... c'est du déjà vu 100 fois ! et du coup ennuyeux du début à la fin... C'est quand même intriguant qu'avec de si grands moyens Clint Eastwood qui est pourtant un réalisateur dont j'apprécie beaucoup les films en règle générale n'ai pas eu un peu plus d'imagination pour emmener le spectateur dans le film. De plus l'histoire d'amour impossible entre les deux hommes principaux du film tant acclamée par les critiques est pour moi bien trop présente et laisse apparaître des longueurs interminables. Peut-être vais-je un peu fort mais les critiques devraient se recentrer sur leur travail plutôt que de faire l'éloge d'un film décevant par peur de passer pour homophobes ou rétrospectifs.
Un petit mais un bon Clint Eastwood. C'est déjà mieux que Hereafter mais bon ... Leonardo DiCaprio nous livre une très bonne prestation du directeur du FBI John Edgar Hoover. Un film gay-friendly où la tension sexuelle/homosexuelle est constante. Le scénario est bon mais le film est un peu long et ça se ressent (on s'ennuie à quelques moments), alors que Millenium par exemple paraît plus court. La réalisation avec les flash-backs sont beaux et on a l'impression que certains plans sont en noirs et blancs tellement c'est sombre. La musique n'est pas extraordinaire mais ça va. Naomi Watts et Armie Hammer sont très bons. Allez le voir pour Leonardo DiCaprio !
Le film se concentre sur la personnalité du fondateur du FBI, laissant plus de questions ouvertes que de réponses sur le moteur profond de sa motivation imperturbable à monter une police fédérale. Eastwood nous livre un biopic dense, concentré sur les aspects rocailleux et sulfureux de l'époque. Le personnage étant ambigu et pas toujours recommandable, l'identification du spectateur n'est pas garanti lorsque les sentiments et les émotions surgissent d'un monde collet monté et rigide. Di Caprio réincarne de manière sidérante le héros; un travail d'acteur hors catégorie. Globalement, une oeuvre mineure du meilleur réalisateur de la décennie.
Avec "J. Edgar", Clint Eastwood se livre à un biopic relativement classique. Afin de donner plus de dynamisme et d'intérêt à son récit, il mêle comme bien souvent deux périodes de la vie de Hoover, une stratégie qui se révèle payante bien que la partie finale manque de punch. La prestation de Du Carpaccio est remarquable en tout point et éclipse totalement celle d'une Naomi Watts presque transparente. Les principaux "highlights" du FBI sont tous présents à l'appel et permettent de balayer un demi-siècle d'histoire américaine ce qui est fort plaisant. Seulement voilà, la mollesse finale n'est pas la seule épine qui vient se planter dans le pied du spectateur. La demi-teinte du background politique me laisse un peu sur ma faim. Les relations entre le big boss du FBI et la classe politique américaine sont résumées à "J'ai un dossier sur les parties de jambes en l'air de la femme du président, s'il m'emmerde je balance tout". Au final, le spectateur n'apprend pas grand chose sur les rapports de force qui ont émaillé ces décennies. Surtout, la polémique sur le rôle du FBI dans l'assassinat de Kennedy est étrangement balayée du revers de la main. L'affaire prend deux minutes, comme si c'était un détail, et elle fait silence sur l'implication de Hoover. "J. Edgar" serait donc un portrait de complaisance ? A bien des égards, oui. Clint Eastwood semble s'être bridé, pour notre plus grand regret. Les violons de la partie finale n'arrangent rien. Si comme moi vous redoutez l'exploitation du pathos à outrance dans les films, vous regretterez ces dix dernières minutes assassines.