AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,4
11094 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur J. Edgar ?
5
68 critiques
4
266 critiques
3
431 critiques
2
297 critiques
1
92 critiques
0
41 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Film assez mauvais sur la vie d'un psychopate qui n'a même pas été capable d'empêcher l'assassinat d'un des président qu'il était sensé protéger ! La nationalisme débridé de Eastwood l'empêche de porter un regard critique sur les 50 ans de règne de ce personnage, hé oui 50 ans, période presque aussi longue que la durée de ce film inutile.
Il faut persévérer pour aller au bout de ce biopic sans complaisance qui relate la dérive progressive d'un homme de pouvoir américain. Animé d'intentions louables pour combattre le crime, le créateur et directeur du FBI va s'éloigner de la légalité au fur et à mesure de sa trop longue carrière à la tête de cette agence gouvernementale. Il y a tellement à dire sur ce personnage historique qu'il est difficile d'en faire le tour. Le réalisateur Clint Eastwood en dresse un portrait ni à charge ni à décharge. Il a cherché, sans racolage, à dévoiler tous les côtés professionnels et personnels. A l'aide de très nombreux flash-back, un peu trop nombreux à mon avis, il campe un homme qui veut s'élever, qui veut dominer et se venger des humiliations qu'il ressent ou a ressenti C'est la performance époustouflante de DiCaprio qui donne à ce film sa dimension remarquable. Alors qu'il n'a que 37 ans, celui-ci incarne tous les âges de la vie adulte de J. Edgar Hoover avec une grande palette d'émotions. Pour ceux qui aiment cet acteur d'exception, le film est à voir. Pour les autres, cela semblera long, voire ennuyeux
Un aperçu des péripéties du créateur du FBI, J Edgar Hoover qui s'est battu pour en faire la première police confondant les criminels sur la base de méthodes scientifiques. Son charisme et sa rigueur, comme ses coups fourrés et ses contradictions sont ici magistralement interprétés par Leonardo Di Caprio. On comprend bien comment Hoover a influencé pendant 48 ans d'une main de fer la politique américaine sous 8 président et ce malgré ses contradictions, ses démons intérieurs et son manque de confiance en lui à cause de son éducation maternelle. Le mode voix off et les incessants aller-retour entre ses débuts et sa fin de carrière sont parfois pénibles. Une narration chronologique aurait sûrement permi un peu plus d'actions et de rythme.
C Eastwood s’est un peu égaré avec ce nouveau scénariste. La vie de Hoover est complexe et riche, il fallait donc choisir : l’angle d’attaque principal choisi est celui de l’homosexualité. Pourquoi pas ? Mais toute l’ambigüité du personnage n’est pas développé (la lutte publique contre les homos est passée sous silence : Est-ce parce que c’est une évidence dans l’imaginaire américain) ?
J’avais lu récemment La maladie d’Edgar, de Marc Dugain, j’ai eu donc peu de surprises quant à l’histoire de ce règne sans partage, mais je me demande si le spectateur moins au fait parviendra à comprendre le jeu continuel entre Hoover et les Présidents en place ?
Ni son attitude vis-à-vis de la mafia. L’homme a certes emporté dans la tombe un certain nombre de ses secrets spoiler: (Thank you Miss Gandy, la fidèle secrétaire…)
, mais ses manipulations sont connues, tout comme d’ailleurs sa modernisation du FBI. Sa lutte dans ce sens est d’ailleurs bien expliquée.
La séquence autour de l’enlèvement chez Lindberg est longuette, alors que le thème principal est comme JE Hoover apprend à utiliser les médias avant tout le monde.
Di Caprio trouve là une interprétation digne du Parrain. Et la musique au piano de Clint himself est délicate et pas envahissante. En revanche, le vieillissement exagéré de Clyde Tolson (joué par A. Hammer) peine à convaincre. Cinéma Janvier 2012
J’avais lu récemment La maladie d’Edgar, de Marc Dugain, j’ai eu donc peu de surprises quant à l’histoire de ce règne sans partage, mais je me demande si le spectateur moins au fait parviendra à comprendre le jeu continuel entre Hoover et les Présidents en place ?
Ni son attitude vis-à-vis de la mafia. L’homme a certes emporté dans la tombe un certain nombre de ses secrets spoiler: (Thank you Miss Gandy, la fidèle secrétaire…)
, mais ses manipulations sont connues, tout comme d’ailleurs sa modernisation du FBI. Sa lutte dans ce sens est d’ailleurs bien expliquée.
La séquence autour de l’enlèvement chez Lindberg est longuette, alors que le thème principal est comme JE Hoover apprend à utiliser les médias avant tout le monde.
Di Caprio trouve là une interprétation digne du Parrain. Et la musique au piano de Clint himself est délicate et pas envahissante. En revanche, le vieillissement exagéré de Clyde Tolson (joué par A. Hammer) peine à convaincre. Cinéma Janvier 2012
Métamorphosé, Leonardo DiCaprio joue le rôle de l'ex patron du FBI avec brio. Son interprétation impressionne tout comme le maquillage et les décors dantesques. Du grand Clint Eastwood !
J.Edgar, film de Clint Eastwood raconte l’histoire de Edgar Hoover, ancien directeur du FBI.
L’acteur principal de ce film est l'excellent Leonardo Dicaprio toujours impeccable dans ce film. Déjà le maquillage de ce film est superbe et permet de faire un Dicaprio vieux ressemblant très fortement au vrai Edgar.
Le début de narration du vieux Edgar apporte à plus au film, Edgar retrace finalement son propre parcours.
La production développe l’histoire de Edgar mais aussi sa personnalité car malgré ses nombreux défauts, M.Hoover devient presque attachant avec une certaine empathie envers lui.
La teinte de couleurs est assez austère avec des variations de gris, noir et blanc pour préserver cette ambiance et cette époque des années 1900.
Le film reste un peu trop ennuyeux et pas toujours très intéressant malgré une fin grandiloquente.
Finalement Edgar n’était-il pas simplement, un homme aimant son pays ?
L’acteur principal de ce film est l'excellent Leonardo Dicaprio toujours impeccable dans ce film. Déjà le maquillage de ce film est superbe et permet de faire un Dicaprio vieux ressemblant très fortement au vrai Edgar.
Le début de narration du vieux Edgar apporte à plus au film, Edgar retrace finalement son propre parcours.
La production développe l’histoire de Edgar mais aussi sa personnalité car malgré ses nombreux défauts, M.Hoover devient presque attachant avec une certaine empathie envers lui.
La teinte de couleurs est assez austère avec des variations de gris, noir et blanc pour préserver cette ambiance et cette époque des années 1900.
Le film reste un peu trop ennuyeux et pas toujours très intéressant malgré une fin grandiloquente.
Finalement Edgar n’était-il pas simplement, un homme aimant son pays ?
Quelle déception choquante que ce film. Un réalisateur du calibre d'Eastwood et un acteur de la réputation de DiCaprio nous donnant cette parodie sans jeu de mots de biopic de J.Edgar. C'est un film ennuyeux a mourir. Il n'y a pas un réel aperçu de l'homme ou peut-être plus important de l'époque ou vivait cet homme. Il y a des petits sketchs sans intérêt sur des événements énormes sois disant importants. Je me demande quelle était l'intention derrière cette entreprise. Le vieux maquillage était digne d'un roman photo de série B des années 50 c'est à couper le souffle. J'ai toujours eu l'impression qu'Eastwood le réalisateur laissait les acteurs à leurs propres moyens et que ces moyens donnaient à Gene Hackman ou Sean Penn une performance des plutôt médiocre. Dans cette histoire DiCaprio récite son texte avec cran mais sans conviction. J'avais hâte que le film se termine et j'ai attendu et attendu pour que cela arrive tellement c'est une histoire ennuyeuse...
D'une magnificence sans équivoque. Ce film nous touche en plein coeur. Diverses émotions et encore une fois Léonardo DiCaprio joue divinement.
J. Edgar Hoover, directeur vieillissant du FBI se souvient de son parcours au sein du Bureau, de ses premiers mois avec Palmer à ses tentatives de faire changer JFK et Martin Luther King en passant par sa traque des gangsters sous la Prohibition.
"J. Edgar" est un biopic certes très académique, mais maîtrisé, qui mêle habilement l'Histoire et l'histoire. On reconnaît encore une fois le sens de la nuance d'Eastwood, qui brosse le portrait complexe d'un homme pétri de contradictions - idéaliste mais prêt à tout pour arriver à ses fins, égoïste mais capable de la plus grande fidélité à l'égard de son compagnon Clyde Tolson, explicitement apolitique mais activement réactionnaire. Un pan intéressant de l'histoire américaine.
"J. Edgar" est un biopic certes très académique, mais maîtrisé, qui mêle habilement l'Histoire et l'histoire. On reconnaît encore une fois le sens de la nuance d'Eastwood, qui brosse le portrait complexe d'un homme pétri de contradictions - idéaliste mais prêt à tout pour arriver à ses fins, égoïste mais capable de la plus grande fidélité à l'égard de son compagnon Clyde Tolson, explicitement apolitique mais activement réactionnaire. Un pan intéressant de l'histoire américaine.
La ténacité d'un homme, J. Edgar Hoover, se démenant pour créer une police fédérale crédible, s'appuyant sur des hommes sérieux et fiables, et un budget conséquent. Malgré la solide prestation de DiCaprio, le tout se révèle très académique et pas vraiment prenant. De nombreuses scènes tirent en longueur, c'est ultra mollasson. En outre le maquillage n'est pas des plus réussis…
Un thème cher aux américains. Revisiter une figure de leur histoire. Je trouve l histoire intéressante, le sujet bien filmé. Le hic : je n arrive pas du tout à trouver Leonardo Di Caprio crédible dans le rôle. Rien à faire ça n est pas passé ... d ou une note ; pas terrible
Un biopic foisonnant et instructif, à défaut d'être captivant, qui décrypte, malgré des longueurs, avec minutie la psychologie complexe du patron redoutable du FBI pendant 48 ans, porté par l'interprétation magistrale de Leo di Caprio.
Un grand réalisateur, un beau casting, un personnage fort, figure du FBI ne suffisent malheureusement pas à faire un film marquant. Jamais ce biopic n'arrive à passionner : trop politique, bavard, survolant certains aspects, classique sur la forme. La relation pudique entre Edgar et Claude est peut être ce qui est le mieux réussi...
Le biopic est un genre qui a donné des résultats souvent conventionnels. Clint Eastwood s'en sort admirablement, en creusant l'ambiguïté, l'ambivalence d'un homme qui aura régné 48 ans sur le renseignement américain. Avec fluidité, Eastwood joue avec les flashbacks sans perdre un instant le spectateur. Il propose un portrait intime de J. Edgar et non pas de Hoover. Intéressant de voir comment le privé influence le public, comment le fait de cacher quelque chose vous rend suspicieux envers autrui. L'histoire avec Armie Harmer quelque chose de tendre. Dommage que les maquillages ne soient pas toujours réussis et que certains parties soient survolée mais Eastwood réussit ce qui manque à la plupart des biopics, injecter de la vie, des surprises, des paradoxes
Splendide ! Ce film est un film extraordinaire. L'association Clint Eastwood - Di Caprio est incroyable, le portait de l'ancien directeur du FBI est dressé avec justesse. Ce film est tout simplement génial. On ne s'ennuie pas du tout et on y apprend toute sorte de chose.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse