Mon compte
    J. Edgar
    Note moyenne
    3,4
    11094 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur J. Edgar ?

    1 195 critiques spectateurs

    5
    68 critiques
    4
    266 critiques
    3
    431 critiques
    2
    297 critiques
    1
    92 critiques
    0
    41 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Danny N.
    Danny N.

    101 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 janvier 2012
    Depuis TITANIC en 1998 qui m'avait hanté pendant des mois et que j'avais vu 17fois en salles, je suis la carrière de DiCaprio en salles,
    je collectionne tout le concernant : notamment toute la presse internationale, les dvd, les émissions-tv, les livres, objets divers et je gère le forum français de DiCaprio. J'ai été voir ce film à tâtons, uniquement pour lui, car le sujet vieillot que je ne connaissais pas du tout ne m’intéressait pas. Je croyais même que c'était sur le président Hoover à un moment ...

    Le film est un gros échec surprise aux Usa avec environ 36millions de $ même si DiCaprio a joué pour 2 millions de $ seulement contre 20 qu'il demande habituellement tellement il voulait que se fasse le film.
    Les critiques Usa étaient assez mauvaises car on accepte pas la révélation publique de l'homosexualité du personnage étant donné que ce ne sont à la base que des rumeurs et témoignages plus ou moins crédibles.
    Les critiques sont bien meilleures en France même LE PARISIEN n'a pas aimé sauvant juste la prestation de DiCaprio et TELERAMA publie un dossier avec du pour et du contre car ils ont encore un de leur sbires blasé de cinéma qui fait du zèle et chipote. JEDGAR a de très beaux dossier de fond dans CINEMA TEASER , POSITIF et LES CAHIERS DU CINEMA notamment.

    Pour la seconde fois, ce n'est pas Damien Witecka qui double DiCaprio en français mais Damien Ferrette qui lui est désormais préféré pour la VF. J’ai mieux supporté ce changement que lors d'INCEPTION.

    J'ai mis longtemps avant de réussir à entrer dans le film, car beaucoup de scènes historiques qui traitaient d'affaires au FBI me sont passées au dessus de la tête : souvent je ne comprenais pas de quoi on parlait tellement c'était bavard et complexe.
    Je n'ai pas apprécié le fait qu'on passait sans arrêt de la fin de la vie de Hoover, c'est à dire les années 70 à des flash-back. Je perdais le fil des histoires dépeintes. c'était très déconcertant de se balader sans arrêt entre les époques...

    Le film est heureusement pour ma sensibilité plus orienté sur la vie personnelle de Hoover et là j'ai été très touché. J'ai été bouleversé par sa relation fusionnelle avec sa mère avec laquelle il aura vécu jusqu'à ses 40ans. On ne dit d'ailleurs pas dans le film de quoi elle meurt. J'ai même éclaté en larmes plusieurs fois, notamment lorsqu'il perd sa mère et enfile sa robe ! Oui car DiCaprio ose tout ainsi que le baiser sur la bouche à son amant dans une scène déchirante. Mais ce film sur la manipulation manipule aussi le spectateur car à la fin on nous sous entend que beaucoup d'images vues dans le film seraient un mensonge finalement.

    Et puis la musique lors des moments d'émotion et du final est très belle
    et m'a ému.

    Les maquillages des personnages âgés sont spectaculaires mais onn' y croit pas totalement, surtout pour DiCaprio malgré tous ses efforts.
    Mais après AVIATOR, il montre une fois de plus qu'il peut incarner tous les âges d'un personnage à travers 50ans de l'histoire américaine !
    Je n'avais pas reconnu Naomie Watts en tant que secrétaire si touchante dans sa fidélité et droiture jusqu'à la mort de Hoover.
    Je ne vois pas comment le GOLDEN GLOBE puis l'Oscar pourraient échapper à DiCaprio cette fois car sa performance est dans la droite lignée de celles qu'aiment récompenser les votants. Oui enfin sauf si Jean Dujardin qui est omniprésent grâce à une campagne marketing très efficace, gagne...
    Quoiqu'il arrive, J.EDGAR démontre que DiCaprio est un des acteurs les plus hallucinant de la planète ! voilà une pierre de plus qui construit sa filmographie phénoménale. Ce garçon est tout simplement extraordinaire....

    7 / 10


    Secrets de tournage J. Edgar
    http://www.allocine.fr/film/fichefilm-178870/secrets-tournage/
    Elthib7
    Elthib7

    72 abonnés 1 287 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 août 2013
    Film moyen, un peu long et ennuyeux je lui met juste la moyenne : 2,5/5
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 janvier 2012
    C’était un des films les plus attendus de l’année, voire LE plus attendu pour beaucoup. Le croisement entre l’une des personnalités américaines les plus controversées du XXème siècle, et le dernier grand réalisateur classique du même pays. Poudrant, après la volée de bois vert publique et critique que le film a essuyé outre-Atlantique, le doute s’était progressivement installé. Au vu de cet objet profond et curieux, on comprend mieux la déception d’une partie du public américain devant cette grande fresque longue et compliquée, qui s’attache avant tout à la vie intime de John Edgar Hoover avant de chercher à reconstituer dans les détails sa vie et son œuvre.

    Eastwood ne répond donc pas à toutes les attentes, et livre un film fleuve qui n’est pas virtuose, mais reste passionnant. Pour s’attaquer au mythe, et à ses cinquante ans de règne sur le FBI, Clint et son scénariste Dustin Lance Black ont choisi de fonctionner par flash-backs, en partant du vieil Hoover qui dicte sa vie à des agents venus taper à la machine sa biographie, éditée pour étouffer les zones d’ombre et les controverses que font naître des journalistes libéraux.

    Car c’est surtout cela qui intéresse le réalisateur : la construction d’un mythe et l’image qui en reste. Au crépuscule de sa vie, J.Edgar se retourne et regarde ce qu’il a laissé derrière lui. Et le film se demande à la fois comment cela a été possible, et ce qu’il en reste. Ce qui l’a poussé, comment il s’est construit, comment un pays a parfois basculé dans l’irrationnel, dans le sang, et cela tout au long du XXème siècle, de Roosevelt à Nixon en passant bien sur par les Kennedy. Et il a pour cela deux points d’accroche particulier : la mère de J.Edgar et son compagnon Clyde Toslon. On ne passera donc que peu de temps sur le terrain ou dans les dédales de la politique américaine, mais le film s’arrêtera dans les moindres détails sur la relation particulière qu’entretenait le directeur du FBI avec ces deux personnes. Homosexuel refoulé à une période de tolérance minimale, Hoover aura passé sa vie à cacher ce penchant, tout en cherchant de manière inflexible à découvrir ceux des autres.

    L’angle est donc inattendu, souvent frustrant, mais pas pour autant inintéressant. Il est même percutant quand Eastwood trace avec finesse et doigté les lignes d’écart entre la légende qu’Hoover a contribué et construire et la réalité, jusqu’à un moment où l’on se demande si même lui ne croit pas ses propres mensonges. Il parvient aussi à distiller une belle émotion et une grande mélancolie dans les rapports pudiques, complexes et pourtant déchirants avec Clyde Tolson, incroyable amant éconduit et pourtant tellement amoureux de son mentor. Avec ses aller-retours fréquents dans le temps et sa reconstitution impeccable, Eastwood dessine petit à petit une toile qui prendra toute sa signification dans l’épilogue du film. Ce parti pris a du mal a remplir les 2 heures et demi du film, qui souffre inévitablement de baisses de rythme, rendant l’exercice encore plus frustrant pour quiconque s’attendait à une œuvre intense, rythmée et politique.

    J.Edgar confirme aussi, s’il en était encore besoin que Leonardo Dicaprio est devenu un immense acteur, un très grand interprète capable d’incarner derrière les postiches un homme complexe et dur. La difficulté d’accès ne doit pas être une raison de se passer de ce grand film, un peu malade, souvent bancal, et loin de la perfection que l’équipe réunie pouvait laisser entrevoir. Mais qui restera un objet complexe, déroutant le plus souvent, passionnant parfois.

    .
    http://dh84.over-blog.com/
    SmEuG
    SmEuG

    44 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2012
    J. Edgar s'impose dans la carrière de Clint Eatswood comme le parfait contre-pieds à ses deux films précédents; l'anti-Invictus en somme. Là où dans le Biopic de Nelson Mandela, Eastwood affichait avec clarté ses positions, mettait en valeur la sagesse de son personnage et traitait l'ensemble avec une patte moralisatrice très pesante, dans J. Edgar, il ne tombe pas dans la facilité du film politique partisan auquel ont pouvait s'attendre et étudie son protagoniste Edgar Hoover avec distance et méticulosité. En fait, le pourquoi prend le pas sur le comment. Le portrait importe plus que le pamphlet.
    Ainsi, les différentes facettes d'Edgar, ses vices, ses complexes, sont présentés au fil du récit, apparaissent plus clair au fur et à mesure de la croissance de sa création (L'institution FBI). On décèle même une touche de sympathie émanant du cinéaste pour cet homme prisonnier de sa cage émotionnelle, dont l'expectative violente de la mère n'y est certainement pas étrangère.
    Car en effet, derrière cet homme fort en apparence, ce véritable pionnier de la police criminelle jouissant d'une puissance inimaginable, se cache un bègue un peu lâche, abominé par son homosexualité, dont l'arrogance cache en vérité de terribles frustrations. Face à la honte qu'il éprouve, Edgar n'a de choix que d'ériger cette façade rigide destinée à éviter toute humiliation malvenue et surtout à assouvir sa soif d'auto-valorisation. En cela, le film lui rend honneur ne manquant pas de rappeler la perception de l'homosexualité à une époque pas si lointaine, qui rendait impossible une telle ascension sociale.

    D'un autre côté, le film parle également d'un rendez-vous manqué. A l'instar de la secrétaire Helen Gandy (Naomi Watts), dont le refus de la vie conjugale pour consacrer sa vie à l'Institution pourrait lui aussi receler un tiroir à secrets, autant le parcours de Hoover que celui de Tolson offrent un sentiment d'inaccompli. Dès leur première rencontre, on sent une fascination mutuelle, qui prendra une dimension supérieure lors de leur premier repas commun au restaurant, où Eastwood filme leur discussion comme il filmerait deux amoureux se déclarant leur flamme, à coup de champ-contrechamp zoomé. Si Tolson communique l'espoir de voir son rêve se réaliser à travers divers gestes explicites, la prison de verre d'Edgar empêchera toujours les deux hommes de donner suite à ces sentiments refoulés, l'image de "l'enfant" de Hoover comptant plus que son épanouissement personnel.
    Seuls les rituels quotidiens nourrissent leur rapport, donnant lieu à des repas qui se suivent dans leur monotonie.
    Le film a donc cela d'hautement tragique et puise dans cet inassouvissement presque pitoyable toute sa puissance dramaturgique.

    Dans un deuxième temps, une autre caractéristique contribue à rendre pathétique cet homme pourtant brillant. Elle réside dans son évolution professionnelle et idéologique. En effet, le Edgar "jeune" fait figure de pionnier dans son domaine. En dehors de leur aspect déontologique potentiellement douteux (Etat hyper sécuritaire, entrave à la vie privée), ses idées dépassent les conventions et comme tout visionnaire il demeure incompris. En outre, sa lutte face au terrorisme et à la mafia fait figure de juste motif pour justifier de telles mesures, à tel point qu'il est devient starisé par la population, à l'image de ses apparitions dans des comics ou de l'éloge policière des films au cinéma. Il atteint presque le mythe.
    En revanche, le Edgar "vieux" semble dépasser par les événements, comme s'il était resté bloqué à l'affaire Lindbergh, comme si la Prohibition était encore d'actualité. Il parait soudainement vétuste dans ses indignations politiques, notamment lorsqu'il accuse Martin Luther King d'être le pire ennemi de l'Amérique, le nouveau communisme à éradiquer.
    Edgar est d'autant plus piteux que spoiler: sa mort n'a rien de digne. Il gît nu sur la carpette au pied de son lit, pâle et bedonnant tel un vieillard décrépi. On apprend également que les exploits dont il a été l'auteur à l'écran, sont en grande partie inventés dans le but de dorer une image jamais assez belle pour lui.


    Par conséquent, le scénario de J. Edgar écrit par Dustin Lance Black, déjà scénariste de Harvey Milk, est certainement le gros point fort du film et pousse Eatswood à la sobriété pour cette histoire extrêmement éloquente.
    Je pose malgré tout quelques réserves quant à l'esthétique travaillée par Clint avec Tom Stern, son chef-opérateur, dont le fameux "noir informe" laisse froid. De même concernant les compositions écrites également par Eastwood, d'une banalité affligeante. Les petites notes de panio disséminées par-ci par-là, j'en ai ma claque. Par ailleurs, l'absence de Di Caprio parmi les nominés aux oscars pour le meilleur rôle principal est regrettable.
    islander29
    islander29

    859 abonnés 2 353 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2012
    J'aime plutot la démarche de Clint Easwood au travers de ce film.....Il arrive à nous conter l'histoire du FBI en nous racontant la vie de J Edgar Hoover....Le film alterne les scènes du présent du narrateur ( 1964 je crois) et du passé (1919, 1930, etc...)...le film respecte une chronologie de l'histoire américaine du 20 ème siècle (attentats communistes, Dillinger, Lindbergh, Nixon) qui même si elle peut sembler austère présente un réel intérêt....les interprétations de DE caprio, Naomi watts, Julie DEnch offrent une perspective sensible du film et c'est d'ailleurs ce que l'on retient, la sensiblité et la vie privée d'un homme qui apporta un socle à la politique américaine, un homme dont l'homosexualité fut une belle histoire d'amour, un homme à la fois fort et sensible.....Pour ceux qui ne refuseront pas cette touchante dualité le film procurera un moment d'émotion (surtout dans sa deuxième moitié) et un beau panorama de l'histoire politique américaine....J'ai aimé...
    PS : ne pas confondre J Edgar Hoover avec un des présidents américains du même nom...
    Laurence G
    Laurence G

    24 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2012
    J'ai vu ce film d'emblée car j'adore l'acteur Léonardo Di Caprio et j'ai adoré!! Les critiques sont un peu sévères à mon goût car Léonardo joue à merveille et le scénario est efficace. Certes, il y a quelques longueurs mais peu importe, on est captivé par la prestance de cet acteur admirable et fantastique!
    Et je pense que j'irai le revoir!!!! Bravo Léonardo, c'est mon acteur préféré!!!
    Jånathan P
    Jånathan P

    22 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 février 2012
    Un grand film d'Eastwood nous peignant un portrait teinté de sentiments contradictoires, tantôt de la compassion, tantôt de la haine, tantôt du dégoût, tantôt de l'admiration. Pour moi c'est un film très réussi.
    jspl
    jspl

    23 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2012
    Un film remarquable, captivant, bien tourné, on arrive à la fin sans avoir vu le temps passer. Di Caprio
    est au sommet de son art et vraiment éblouissant. Il n'y a pas à dire le cinéma nord-américain est à des miles au-dessus du français et des navets vus récemment (une vie meilleure, polisse, etc.) Voilà un film qui réconcilie avec le cinéma.
    julien2222
    julien2222

    33 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 septembre 2013
    Film interessant d'un point de vu historique et pour la composition de Leonardo Di Caprio. Le film est incroyablement proche de la vraie vie de Hoover. Félicitation aux historiens qui ont travaillé sur ce film.
    charly5766
    charly5766

    14 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 janvier 2012
    Eastwood est très très bon ! Il sublime le cadre cinématographique. Chacun de ses prises sont très bien pensées, très bien réfléchis ... je ne connaissais absolument pas l'histoire de l'homme qui installa au plus haut le FBI et ce fut très intéressant et surtout très bien interprété par DiCaprio ! Bref, une histoire intéressante et surtout très très bien filmée !
    Mimit_le_vrai
    Mimit_le_vrai

    32 abonnés 504 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mai 2014
    Les acteurs fournissent une bonne prestation dans ce film qui se laisse regarder, un divertissement moyen à mon goût. 10/20
    xsadg
    xsadg

    15 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 mai 2012
    Film ennuyeux. Je me suis forcé à regarder jusqu'au bout. Il n'y a aucune action, rien d'intéressant. Mais après, les acteurs sont bon, c'est juste l'histoire qui est inintéressante.
    Pauline L
    Pauline L

    8 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 janvier 2012
    J'ai luté contre le sommeil pendant tout le long. Je n'ai pas été captivée. Je ne pars jamais de la salle, même si le film est vraiment nul. Mais là, je me suis forcée à rester.
    Aucun intérêt. Au final, on ne connaît rien de sa vie. On a un pseudo aperçu de quelle éducation il a reçu, avec une mère relativement dure avec son fils pour sa réussite.
    L'alternance passé/présent m'a plus que lassée. Et puis cette histoire d'homosexualité n'a absolument pas donné un quelconque charme au film. Au contraire, c'était limite vulgaire.
    Mais DiCaprio est toujours aussi génial, peu importe son rôle.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 juillet 2012
    Un grand film, qui malheureusement ne prend pas part à la course aux oscars cette année, mais qui le mériterait amplement. Clint Eastwood nous propose ici une vision plus mûre que d'habitude de sa patrie qu'est l'Amérique, et on sent que l'âge lui fait voir le monde de façon plus mélancolique que ce à quoi il nous a habitués. Il laisse de côté les valeurs qui lui sont chères, excepté le patriotisme, pour s'attarder sur la vie privée du personnage de John Edgar Hoover. Bien qu'il soit difficile de rentrer dans le film le premier quart d'heure pour qui ne connaît pas l'Histoire des Etats-Unis, on se laisse petit à petit emporter par les ambitions du personnage, et par sa volonté de protéger l'Amérique du communisme et des gangsters, et, malgré la durée du film, on ne voit pas les plus de deux heures passer. Le plus étonnant est sans doute le maquillage, qui défigure les acteurs pour les faire passer de 20 à 70 ans tout au long du film. La musique quant à elle, composée par Clint Eastwood lui-même, accompagne avec douceur et finesse cette œuvre, sans qu'on la remarque, mais donnant une ambiance à chaque scène. Bref, une réussite pour ce réalisateur vétéran qui ne nous a quasiment jamais déçus!
    ml-menke
    ml-menke

    40 abonnés 551 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juillet 2012
    Ce qui fait le charme du film tient dans ses acteurs qui sont renversants de crédibilité. La valse entre les trois âges de J. Edgar, par un montage maîtrisé, montre l'homme caché derrière les yeux noirs. Biopic à voir.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top