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Votre avis sur Velvet Goldmine ?
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Un film envoutant et très habile, à la bande son excellente. Todd Haynes nous emmène tout droit dans une époque dont on sent qu'elle fut un tournant de sa vie, une étape si importante de son parcours, qu'elle transpire par tous les pores de ce film. Sans l'accord des protagonistes, il parvient pourtant à ressortir l'essence du souffle de liberté de ce mouvement musical unique, à la fois totalement factice et d'une grande profondeur pour toute une génération. C'est la rencontre entre la vacuité de cette tendance et la profondeur des personnages qui rend le film très touchant et parfois plutôt troublant (mais dans le bon sens du terme). Le personnage principal sera finalement celui qui restera cette image glacée sans profondeur, alors que tous les secondaires nous resteront en mémoire un bon bout de temps. L'interprétation est sublimissime, la bande originale est 5 étoiles, la mise en scène à la fois élégante et sans esbroufe. Une vraie réussite.
Film assez spécial mais plutôt réussi sur le glam rock !! Le début est excellent, les acteurs sont époustouflants mais arrivé à la moitié du film, on finit par s'ennuyer et certains passages un peu kitsch finissent par lasser !! Dommage car le sujet du film m'attirait mais le côté homosexuel/bisexuel des personnages n'est pas assez creusé !! Petite déception...
"Velvet Goldmine" est un film-hommage à l'âge d'or du Glam Rock et à ses musiciens androgynes. Il n'y a rien à redire sur la BO et sur la reconstitution des années 70 qui nous immerge facilement dans cette époque. Le problème vient avant tout du scénario. L'intrigue, à mi-chemin entre le biopic et le documentaire fictif, demeure bien trop faible pour nous captiver durant 2h. Faute d'un peu plus de mordant, l'ennuie s'installe assez régulièrement. A réserver aux fans de ce genre musical avant tout, les autres peineront à y trouver leur compte.
On peut considérer Velvet Goldmine comme un biopic fiction (ça existe?) car il n'y a aucune ambiguïté sur le fait que Rhys Meyers est David Bowie et que McGregor est Iggy Pop, dans un univers 70' pop glam rock majestueux ! La reconstitution est exceptionnelle, les musiques sont un pur bonheur pour les oreilles et l'histoire est plus que crédible (on s'est même poser la question pour Mickael Jackson lors de sa mort..). J'approuve et je recommande !
Je me souviens encore de mon état la première fois que j’ai vu Velvet Goldmine. Je n’arrivais pas à comprendre qu’un film puisse me toucher à ce point. Etant moi-même une grande fan des Stooges et de Bowie, cela aurait pu paraître naturel, mais Velvet Goldmine est bien plus qu’un simple film sur le Glam Rock des seventies : c’est une œuvre d’art bouleversante de par sa beauté visuelle et poétique. Ce film en est presque surréel tant les émotions animent le spectateur. Les prestations des acteurs sont sublimes : un Ewan McGregor torturé (cf. en particulier son interprétation de « Gimme Danger » et ses "I wanna FEEL it !"), un Jonathan Rhys-Meyers détruit par son succès, une Toni Collette blessée par une réalité trop dure et un Christian Bale dérouté par son propre passé. Velvet Goldmine est une magnifique œuvre d’art retraçant l’évolution d’une époque musicale et un changement de mœurs plus que passionnants. La BO est renversante, les acteurs bouleversants et les dialogues sublimes : "A real artist creates beautiful things and... puts nothing of his own life into them. Okay? - Is that what you did? – No."
Loïck G.
Cette période me passe un peu au-dessus, mais son histoire revient très vite en pointillé, en comprenant que cette plongée dans l’inconnue allait me procurer bien des émotions rétrospectives, nostalgiques, mélancoliques. Sexe et décadence, délire psychédélique sur scène, tout un pan de la société musicale des années soixante-dix s’ouvre pour parler d’une période musicale intense, celle du glam rock, avec des titres dans leur intégralité, le plus souvent sur scène, mais aussi en représentation (on dirait des clips aujourd’hui). L’interprétation est assez magistrale dont celle de Erwan McGregor rocker désincarné et de Toni Collette, l’ex-femme du héros, qui porte la mélancolie dans son regard. Merveilleux.
Avis bonus Un making of qui se rapporte plutôt à l’histoire du film et à l’époque qu’il relate. Quelques images ou vidéos d’archives, des interviews de l’époque, ça complète parfaitement le film
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Avis bonus Un making of qui se rapporte plutôt à l’histoire du film et à l’époque qu’il relate. Quelques images ou vidéos d’archives, des interviews de l’époque, ça complète parfaitement le film
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blacktide
"Velvet Goldmine" est un film assez déroutant sur une époque et une musique révolues: le glam rock. Je ne suis pas particulièrement fan de cette musique très particulière et surtout de ses pratiques (costumes extravagants, travestis...) mais le réalisateur retranscrit très bien cette époque. Ça aurait été mieux de retrouver les vrais musiques de David Bowie, Lou Reed... mais le réalisateur a voulu composer lui même les musiques du film. Les acteurs en font un peu trop mais leur prestation est tout à fait acceptable en particulier Jonathan Rhys Meyer et Ewan McGregor. On retrouve également Christian Bale. Résultat: un film divertissant bien qu'un peu étrange et délirant visuellement!!!!!!
soniadidierkmurgia
En 1998 Todd Haynes, réalisateur militant de la cause homosexuelle propose avec "Velvet Goldmine" le film musical de référence sur le courant glam rock qui a illuminé une partie des seventies (de 1971 à 1976) principalement en Europe. Courant paradoxal proposant tout à la fois un retour à des sons plus dépouillés et brutaux en réaction au rock progressif des Genesis, King Crimson ou Pink Floyd qui tiennent le haut du pavé depuis la fin des sixties et une extravagance vestimentaire complètement débridée surfant sur l'androgynie affichée de ses chanteurs emblématiques comme David Bowie ou Marc Bolan. Vaguement basée sur l'enquête d'un ancien fan (Christian Bale) chargé par son journal de suivre la piste de Brian Slade, une ex-star du glam disparue de la circulation depuis son faux suicide alors qu'il était au sommet de sa gloire. A partir des témoignages des proches de la star (petite amie, producteurs,...), Todd Haynes opère un retour dans cette époque complètement folle, dernier soubresaut inventif du rock avant qu'il ne soit emporté par la vague disco elle-même recouverte par la très courte mais violente réaction anti-système du mouvement punk qui ouvrira la porte au recyclage formaté qui sévit depuis lors dans le ciel musical hormis le passage de la météorite grunge désintégrée le jour même de la mort de son héros , Kurt Cobain. Sans fil directeur bien précis, Todd Haynes qui un court temps laisse entrevoir une pure fiction se lance dans une hagiographie certes parfois brillante mais souvent brouillonne et surtout dépourvue d'un réel intérêt musical hormis une superbe reprise de "20th Century boy" de T Rex par Brian Molko le chanteur charismatique de Placebo. Pour un hommage où planent les ombres tutélaires de Marc Bolan, David Bowie, Iggy Pop, Brian Ferry ou Lou Reed, les fans auraient souhaité entendre les musiques originales et non pas des compositions qui aussi méritoires soient-elles ne pourront pas réellement nous transporter dans l'époque. Haynes a sans doute commis l'erreur de sacrifier la musique au délire visuel. C'est un fan du glam rock qui vous parle.
etant un grand fan du glam rock et de la periode pop rock seventies ce film m'a compltement dèçu , c'est vraiment un navet dommage les musiques sont vraiment bien faites mais prendre la vrai histoire des bowie des Iggys pour servir le lobby Gays c'est vraiment du n'importe quoi avec une propagande tout le monde est bi LOL heu non je crois pas ...
etant un grand fan du glam rock et de la periode pop rock seventies ce film m'a compltement dèçu , c'est vraiment un navet dommage les musiques sont vraiment bien faites mais prendre la vrai histoire des bowie des Iggys pour servir le lobby Gays c'est vraiment du n'importe quoi avec une propagande tout le monde est bi LOL heu non je crois pas ...
Velvet Goldmine nous fait suivre les aventures de deux stars du rock, une version glam, l'autre version punk, leur ascension et leur déchéance. Les fantômes de David Bowie et d'Iggy Pop ne sont jamais bien loin dans ce film plutôt sympathique.
Vraiment pas mal, avec des personnages et des histoires intéressantes !
« Baby's on fiiiiireeeeeee... », rien que pour cette chanson juste magique, avec sa ritournelle hypnotique et son solo de gratte grasse psychédélique, « Velvet Goldmine » vaut le détour. Il faut préalablement passer 10/15 minutes d'intro un peu chiante puis après c'est la plongée. Plongée dans l'univers fantasmagorique du Glam Rock, fait d'une succession de clips et de « lives », n'oubliant pas de s'arrêter sur le côté « star system » et sur la décadence de ces artistes. Hommage à peine voilée à Bowie et consorts ? On s'en fout. On apprécie la musique, la mise en scène et surtout le jeu du trio Rhys Meyer - Bale (Christian pas Gareth) - McGregor, absolument bluffant.
Un hommage sur l'époque du glam rock avec Ewan Mcgregor et Jonathan Rhys Meyers ça peut paraître alléchant mais avec une mauvaise réalisation et un scénario peu développé ça deviens vite un film très moyen. Pourtant au lieu de faire un simple biopic sur Bowie, le film ose réinventer l'histoire de cette période en changeant la réalité et inventant une liaison amoureuse entre un faux Bowie et un faux Iggy Pop . A part le rôle de Christian Bale trop présent dans le scénario et étant toujours ailleurs, le jeu d'acteurs est excellent. On voit bien que Mcgregor s'est appliqué pour rendre son personnage le plus proche d'Iggy Pop idem pour JRM avec Bowie. Le film est surtout un véritable fourre-tout fourmillant d'incohérence en essayant de lier alien, Oscar Wilde, et
spoiler:
un Bowie qui se réinvente en un nouveau artiste que seul Bale réussi à démasquer.
.. De plus les faiblesses scénaristiques provoquent un rythme très lent au film qui alterne scènes de concerts et de sexe sans grand intérêt. Il aurait été plus judicieux de créer une rivalité entre Bowie et Marc Bolan joué par Brian Molko et de faire intervenir Lou Reed qui a joué un rôle très important à cet époque. Pour achever le tout les décor sont affreux, irréaliste avec l'époque avec ses antichambres rococo, le CBGB apparait comme un gentil bar sympathique. Finalement Velvet Goldmine est un véritable gâchis sauvés de peu de ses deux acteurs principaux.
.. De plus les faiblesses scénaristiques provoquent un rythme très lent au film qui alterne scènes de concerts et de sexe sans grand intérêt. Il aurait été plus judicieux de créer une rivalité entre Bowie et Marc Bolan joué par Brian Molko et de faire intervenir Lou Reed qui a joué un rôle très important à cet époque. Pour achever le tout les décor sont affreux, irréaliste avec l'époque avec ses antichambres rococo, le CBGB apparait comme un gentil bar sympathique. Finalement Velvet Goldmine est un véritable gâchis sauvés de peu de ses deux acteurs principaux.
Bale avant d'etre Batman avec parfois une coiffure de merde ,Mc Gregor montre son kiki,(Obiwan Kenobitte?,du cul (pas trop),des pailettes et du un film musical que tout autre le depaysement est la.
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