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    Impardonnables
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    2,1
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    101 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 19 août 2011
    Oui, un peu tiré par les cheveux, thème un peu bateau sur la vie de couple, enfin deux grands du cinéma valent que l'on aille voir ce film
    traversay1
    traversay1

    3 560 abonnés 4 859 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 août 2011
    Téchiné adaptant Djian ? Pas évident sur le papier (c'est une commande), bien que quelques thèmes leurs soient communs, l'entrecroisement des destins, notamment. Impardonnables, le livre, avait un ton automnal, dans un Pays basque fouetté par les vents, avec une introspection de plus en plus douloureuse pour l'écrivain qui en était la figure principale. Un roman sur la trahison et la solitude des êtres, d'un pessimisme intégral, accompagné de cette ironie typiquement "djianesque". D'emblée, le film trahit le bouquin en plaçant l'action à Venise. C'est d'ailleurs l'un des points forts de ce Téchiné, une façon de filmer la ville, et surtout sa lagune, hors des clichés touristiques, comme un personnage à part entière. Là où ne suit plus le cinéaste, c'est dans sa structure narrative, éclatée entre plusieurs intrigues, aucune d'entre elles ne prenant le dessus. Cela donne un climat flottant, à peine sordide, qui semble ne mener nulle part. Il y a des lacunes dans la lagune. A un moment où à un autre, il aurait fallu resserrer les boulons, arrêter de baguenauder d'une histoire à une autre. Non que Djian n'ait pas cette habitude, mais cela passe mieux dans une oeuvre romanesque et fait partie de sa "cuisine". Il a des qualités, pourtant, ce film : un montage trépidant, une interprétation hors pair, avec un Dussolier royal, une Bouquet impériale et des seconds rôles italiens al dente (seule Mélanie Thierry paraît complètement à côté de plaque). Impardonnables a le charme des films ratés avec style. A l'image de sa fin, brutale, et à contre-courant de la tonalité générale. Comme Djian est capable de le faire, avec cet art du plaquage de lecteur, qui est l'une de ses spécificités.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 août 2011
    La B.A. laissait penser à un certains suspens, que toute la sale attend jusqu'au générique de fin. Une pure arnaque !
    Bref, un film sur un écrivain en panne d'inspiration, qui ressemble fort à la panne d'inspiration du réalisateur. Plat comme la lagune de Venise (le seul intérêt du film).
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    43 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 août 2011
    Romance plate et fade, intrigue artificielle et embrouillée, personnages dénués de tout intérêt psychologique, rythme languissant, mise en scène qui se réduit aux cartes postales de la cité des doges, tout est réuni pour donner un spectacle long et ennuyeux. André Dussollier fait de son mieux dans un rôle de séducteur sexagénaire peu crédible, face à Carole Bouquet toujours aussi inexpressive. Les autres, français et italiens, semblent perdus dans un scénario qui a du mal à justifier leur présence. Une petite tache dans la belle filmographie d’André Téchiné.
    John Henry
    John Henry

    103 abonnés 707 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 août 2011
    Mais mais, de quoi ça parle ?

    Et cette fin...alors que rien n'a débuté !

    Au diable ce téchiné...
    Guiciné
    Guiciné

    161 abonnés 1 240 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 août 2011
    Un film passionné, engagé, qui arrive a souffler le chaud et le froid et qui arrive à nous retourner le cerveau pour mieux retomber et nous bouleverser. Un cinéma qui m'émeut et que j'aime. Un grand film.
    belo28
    belo28

    68 abonnés 1 130 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 août 2011
    Un film francais classique, trop classique... Un scénario bateau même si celui ci tente de multiplier les intrigues avant de se perdre dans ce méli mélo comme on se perd dans les rues de la majestueuse Venise! Cependant deux acteurs splendides dans des roles tragicomique et une ambition de mise en scène de plus en plus rare dans le paysage cinématographique francais!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 août 2011
    Impardonnable porte bien son nom puisqu'on sort du film en se disant qu'il est impardonnable de nous avoir fait perdre deux heures de notre temps à voir un film où il ne se passe absolument rien !
    La note de 0,5 est usurpée car il n'est pas possible de mettre zéro
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    91 abonnés 406 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 août 2011
    À cet égard, Venise pourrait bien constituer la quintessence de la géographie chère au cœur du cinéaste. C’est une évidence d’énoncer l’omniprésence aquatique, mais ce truisme ne doit pas faire oublier que la Cité des Doges est entourée d’une campagne luxuriante. En trouvant l’endroit idéal, André Téchiné a probablement régénéré son inspiration que nous avions, pour notre part, trouvée en baisse pour La Fille du RER, son précédent opus (2009). En effet, dans le déploiement romanesque et l’enchevêtrement de destins qui font coexister légèreté et gravité – avec un net avantage pour la seconde – le réalisateur tarnais semble synthétiser l’ensemble de ses thématiques. Il est ici question de rapports parents enfants, de filiation, d’amour et de confiance. Comme d’habitude, Téchiné travaille la complexité de ses personnages, révélant les failles et les faiblesses de chacun. L’écrivain à succès venu se réfugier dans la campagne vénitienne peine à gérer la relation avec sa fille, qui préfère prendre la fuite, et sabote sciemment celle qu’il entretient avec la gérante de l’agence immobilière. L’introduction de personnages secondaires multiplie par la même occasion les ramifications et les interactions d’une histoire se rapprochant de plus en plus du tragique et de l’irréversible. Les films du réalisateur des Témoins n’ont jamais été angéliques tant ils mettent à nu les blessures et les désillusions des protagonistes, mais peut-être sentons-nous poindre une noirceur supplémentaire. Adapté du roman de Philippe Djian, Impardonnables, en dépit de la lumière solaire qui le baigne, est au final une œuvre crépusculaire, où la mort est présente ainsi que les échecs des rapports humains délités par la méfiance et les malentendus. Loin des visions de cartes postales, André Téchiné arpente les coins secrets et inconnus de la ville et de la lagune en en faisant la singularité du film. André Dussolier est parfait – cela finit par devenir un pléonasme – alors que Carole Bouquet trouve là son plus beau rôle depuis longtemps. Les amateurs de romanesque y trouveront largement leur compte et malgré l’âge qui vient, le cinéaste continue à croire en la jeunesse (en découvrant toujours de nouveaux acteurs à qui il donne leur chance transformée souvent en rampe de lancement). Au-delà des errements des révoltes et des faux pas, les jeunes gens chez Téchiné se voient toujours offrir un nouveau départ. Preuve que l’optimisme n’a pas encore totalement disparu
    fasskinder
    fasskinder

    27 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 août 2011
    je suis sure que Téchiné va se faire pardonner avec son prochain film,
    il a trop de talent pour s'arreter à ce farfelu exercice de style sans queue ni tete, trop pris comme il l'était par le charme de Venise et des "italiens" (il n'échappe aux clichés sur les ritals, comme si ils étaient restés aux années 1950 - sauf pour cette loi dont on parle sur les propos homophobes, je me suis renseignée les homos n'ont aucun droit en Italie, sur ça ils sont restés aux années 1950 ;)...
    la blondinette un brin vulgaire, dussolier qui semble sorti d'un de ses derniers films d'Agate Christie et la froideur et la rigidité de carole bouquet (même si ici elle joue un peu mieux que d'habitude) n'arrangent pas le manque d'inspiration de notre très bon Téchiné !
    velocio
    velocio

    1 299 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 août 2011
    A 68 ans André Téchiné est un vieux routier du cinéma français. Depuis "Paulina s'en va", son premier long métrage, en 1969, il aligné une bonne vingtaine de films, alternant le bon et, soyons gentil, le moins bon ! Malheureusement, "impardonnables" fait partie des "moins bons". Tiré d'un roman récent de Philippe Djian, roman dont l'action se déroulait au Pays Basque, ce film, présenté à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes 2011, a été tourné à Venise et dans l'île voisine de Sant'Erasmo. On aurait tendance à dire "heureusement", car Venise et cette île sont magnifiques, sont bien filmées et c'est déjà ça de pris ! Le reste ? Une histoire très, très alambiquée : Francis (André Dussollier), un écrivain en manque d'inspiration, espère retrouver celle-ci à Venise. Il y rencontre Judith (Carole Bouquet), ancien mannequin qui tient une agence immobilière. Histoire d'amour. Simple ! Mais voilà : il y a aussi Anna Maria, ancienne maîtresse de Judith et accessoirement détective privée plus ou moins alcoolique, Alice (Mélanie Thierry), la fille de Francis, par ailleurs comédienne, la comtesse, son fils, dealer devenant l'amant d'Alice. Les rapports entre ces différents personnages sont filmés avec une froideur désespérante, le film ne dégageant de l'émotion que lors des 5 dernières minutes. Les comédiens, Carole Bouquet et André Dussollier en tête, font ce qu'ils peuvent, sachons leur en faire gré, mais ...
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