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André Téchiné est un cinéaste qui compte dans le cinéma français contemporain. On aime son élégance, sa distance vis-à-vis des personnages dont il confie l'interprétation à des acteurs et actrices toujours bien choisis. Et pourtant cette fois-ci ça ne prend pas - ou du moins pas tout à fait. Pourquoi au juste? Trop de distance précisément? Trop de personnages peut-être auxquels il semble difficile de s'attacher malgré la qualité d'interprétation des uns et des autres. Une des clés de cette imperfection réside dans le fait que le film est une commande. Reste un cadre inédit dans l'oeuvre du maître, Venise, une Venise toujours présentée de loin sans la moindre concession au pittoresque. Et retenons encore une méditation sur le temps qui passe et qui laisse accrochés à la mémoire de jolis pans de vie.
Allez le voir, car vous seul pourrez jurer le film.
Ne tenez pas compte des critiques spectateurs, elles sont souvent écrite par des personnes ne connaissant pas grand chose au cinéma en général, juste un plaisir de se croire juge du travail de quelqu’un (réalisateur ou acteur)
Ce film demande un peu de réflexion, et peux sur certains points nous ramener à nous, sur ce qui pourrai passer pour quelques chose d'impardonnable.
Alors allez si.
Ne tenez pas compte des critiques spectateurs, elles sont souvent écrite par des personnes ne connaissant pas grand chose au cinéma en général, juste un plaisir de se croire juge du travail de quelqu’un (réalisateur ou acteur)
Ce film demande un peu de réflexion, et peux sur certains points nous ramener à nous, sur ce qui pourrai passer pour quelques chose d'impardonnable.
Alors allez si.
La B.A. laissait penser à un certains suspens, que toute la sale attend jusqu'au générique de fin. Une pure arnaque !
Bref, un film sur un écrivain en panne d'inspiration, qui ressemble fort à la panne d'inspiration du réalisateur. Plat comme la lagune de Venise (le seul intérêt du film).
Bref, un film sur un écrivain en panne d'inspiration, qui ressemble fort à la panne d'inspiration du réalisateur. Plat comme la lagune de Venise (le seul intérêt du film).
Qu'est-il arrivé à André Téchiné ? A force de vouloir montrer et démontrer, on ne montre et démontre rien du tout ! Un mot pour définir "Impardonnables" : impardonnable assurément ! Parti pris de montrer Venise non touristique mais em... dante à mourir, parti pris de filmer des corps usés et vieillissants qui se meuvent plus par lassitude (même pas complaisante) que par envie de vivre le moment présent : André Dussolier devrait refuser de se montrer presque nu et Carole Bouquet est quelconque les cheveux courts, n'est pas Jean Seberg qui veut pour être resplendissante le cheveu ras ! Sûr que la vieillesse non assumée devient "un naufrage" ici et qu'on n'a plus envie d'accepter de vieillir ! Que reste-t-il alors à l'être sinon refuser la terrible finitude !
Mais c'est quoi ce film ? Pas d'histoire, d'intrigue.... Je me suis ennuyé comme jamais. Un film plat, sans émotion, qui ne dégage rien, sauf de l'ennui. Fuyez vite.
Mais mais, de quoi ça parle ?
Et cette fin...alors que rien n'a débuté !
Au diable ce téchiné...
Et cette fin...alors que rien n'a débuté !
Au diable ce téchiné...
Lorsque je suis sorti, je me suis demandé quel était le héro du film ? Aucun personnage m'avait invité à lui. Tout était superficiel. Est-ce le roman de Djan (que je ne lirai décidément pas), est-ce la caméra de Téchiné ?. Ce film va vite partir dans l'oubli de ma mémoire mêm si je l'ai regardé avec plaisir.
Impardonnables est un mélodrame qui part un peu dans tous les sens... dommage car il y a de l'idée partout c'est comme un brouillon, pas fini. Heureuesement Venise est bien filmé.
Un film passionné, engagé, qui arrive a souffler le chaud et le froid et qui arrive à nous retourner le cerveau pour mieux retomber et nous bouleverser. Un cinéma qui m'émeut et que j'aime. Un grand film.
Très bien filmé et très bien pis en scène; on peut trouver uinvraisemblabels les "alelrs et retours" sentimentaux des personnages, leurs ruptures/retrouvailles alors que c'est ce qui donne à la fois son authentiticté et son originalité au film. Et à voir pour Venise aussi, of course.
Il paraît que Venise, à cause de son grand âge, ou du va et vient des bateaux, s'enfonce dans la lagune. Là, c'est pareil, en très petite forme, et à force de zapper d'un personnage secondaire (dans tous les sens du terme) à l'autre, André Téchiné s'enlise. André Dussolier et Carole Bouquet font ce qu'ils peuvent, en vain. C'est barbant.
framboise32
« Impardonnables, » est une adaptation très libre du roman éponyme de Philippe Djian. André Téchiné met en scène un drame et une histoire qui se passe dans la belle ville de Venise.
Judith, une femme fatale, rencontre Françis, un écrivain, seul et égoïste, le jour ou il vient dans son agence à Venise pour chercher une location. Françis doit écrire son nouveau roman. Il propose en visitant une maison à Judith de venir vivre avec lui. Judith tente l’aventure. Mais Françis est ne manque d’inspiration quand il est amoureux. L’année suivante, ils ont la visite de la fille de françis, Alice. Celle ci disparait brusquement. Françis met tout en oeuvre pour la retrouver. Cette disparition va faire basculer l »équilibre du couple. Le couple s’éssoufle
Le coup de foudre de cet homme et de cette femme (plus touts jeunes) fait vite place aux agressions extérieurs, aux doutes, aux tromperies.
La jolie ville de Venise et les lumières apportées par Téchiné ont du mal à nous faire oublier les lenteurs et la « mollesse » de ce drame. Et pourtant, Carole Bouquet est lumineuse, Dussollier parfait. Mélanie Thierry en fille et en garce est très bien aussi. Par contre, on se perd dans ce long métrage tantôt drame, tantôt thriller. Les histoires se chevauchent, on est embrouillé dans ce méli mélo. Dommage, on en ressort déçu
Pas convaincue !
Judith, une femme fatale, rencontre Françis, un écrivain, seul et égoïste, le jour ou il vient dans son agence à Venise pour chercher une location. Françis doit écrire son nouveau roman. Il propose en visitant une maison à Judith de venir vivre avec lui. Judith tente l’aventure. Mais Françis est ne manque d’inspiration quand il est amoureux. L’année suivante, ils ont la visite de la fille de françis, Alice. Celle ci disparait brusquement. Françis met tout en oeuvre pour la retrouver. Cette disparition va faire basculer l »équilibre du couple. Le couple s’éssoufle
Le coup de foudre de cet homme et de cette femme (plus touts jeunes) fait vite place aux agressions extérieurs, aux doutes, aux tromperies.
La jolie ville de Venise et les lumières apportées par Téchiné ont du mal à nous faire oublier les lenteurs et la « mollesse » de ce drame. Et pourtant, Carole Bouquet est lumineuse, Dussollier parfait. Mélanie Thierry en fille et en garce est très bien aussi. Par contre, on se perd dans ce long métrage tantôt drame, tantôt thriller. Les histoires se chevauchent, on est embrouillé dans ce méli mélo. Dommage, on en ressort déçu
Pas convaincue !
J'adore Techiné, Mais la je trouve cela fade et sans interet.A noter, le couple Dussolier, bouquet quifonctionne bien.
Il est des films qui parfois vous bouleverse sans que vous puissiez en donne une raison précise. Celui-ci en fait partie grâce à dse acteurs remarquables (mention spéciale à Carole Bouquet, pas vue dans un rôle aussi "érotique" depuis des lustres) et à un réalisateur qui sait multiplier les moments émouvants au milleu de scènes touristiques exceptionnelles...
On aime Téchiné, sa manière de filmer, de construire ses films, de mêler les textures, on aime ses personnages romanesques, avec leur passé trouble, à vif, qui interfère fatalement, empoisonne le présent, bloquent les élans, les possibilités fiévreuses, les rencontres improbables, bouleverse les destins. Les heurs, les bonheurs, les malheurs, les saisons d'André Téchiné... Tant pis pour les autres ! Cette séquence de Mélanie Thierry, croquant une pomme sur une balançoire, la bouche pleine, qui pouffe de sarcasme devant son père... la séquence muette, mais subliminale de Jérémie jouant avec son jeune chien. Les images de vidéosurveillance lors des parloirs en prison. La longue séquence de mariage vénitien de la fille du vigneron. Les images d'archives en noir et blanc d'Adriana ASTI. La statue de Poséidon qui préside à tout ça, sans mot dire ; on croit les Dieux pétrifiés, mais ils sont bien là, présents... Beaucoup de dialogue en italien. Bref, un Téchiné mineur, certes, mais le frisson quand même. Et Venise, filmée par quelqu'un qui connait intimement la ville ; depuis Guy Debord, plus aucun cinéaste n'avait fait de travelling sur certains de ces canaux, ces murs, ces briques, et qui ne donnent qu'une envie : d'y retourner encore et encore
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