Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Première
par Stéphanie Lamome
Eric Guirado, sous influence "chabrolienne", choisit, lui, la forme du thriller pour parler de l'inégalité des richesses. (...) Jérémie Rénier campe un ogre au visage déformé par la haine, aux côtés d'une Julie Depardieu parfaitement abjecte en compagne pousse-au-crime. Terrifiant.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
par Caroline Vié
Inspiré d'une réalité dépassant toutes les horreurs fictives, "Possessions" permet à Jérémie Renier de prendre dignement sa place dans une belle lignée de criminels du 7ème art.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Eric Libiot
Le pari de Guirado est finalement assez gonflé : il n'y a pas de monstres ni d'agneaux (...). Aidé en cela par un casting impeccable, Jérémie Renier en tête.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Pour ce récit intense, Éric Guirado a réuni un impressionnant quatuor d'acteurs (...) qui jouent leur partition à la perfection. (...) Le sentiment d'oppression et de menace monte graduellement dans ce film à la réalisation ample et inventive, teintée de la poésie noire d'un conte cruel.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Hypertendu, "Possessions" réussit à fasciner le spectateur, qui connaît pourtant l'issue du scénario. Jérémie Renier, qui a pris 18 kg pour entrer dans la peau du tueur, est saisissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir le site du Point.
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Ouest France
par La rédaction
Il y a du Chabrol dans son approche sociologique et sociale du drame. On peut aussi voir du Haneke (...). Mais il y a surtout la manière de Guirado, qui opère sans esbroufe ni provocation, dans le déroulé des détails et des symboles qui conduiront au drame.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par Olivier De Bruyn
Sobre, maîtrisé et remarquablement interprété (...), une fiction qui confirme le talent singulier d'Eric Guirado dans le paysage du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par Pierre Murat
[POUR] "Possessions" ressemble beaucoup à du Chabrol. Moins le pamphlétaire (...) que le psychologue qui fouillait la vie des " bonnes femmes " et des pauvres mecs à la Georges Simenon. On sent, surtout, chez le jeune cinéaste le goût d'éviter le spectaculaire (les meurtres, par exemple) pour filer droit à l'essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Sébastien Chapuys
Cette vision très politique fait la force du film d'Éric Guirado mais aussi sa faiblesse, la faute à une relative absence de subtilité dans la caractérisation de ses personnages principaux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
L'ensemble perd de sa force et de sa pertinence sur la fin, empêchant cette habile chronique d'un fait d'hiver de se muer en un grand film noir.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Héléna Villovitch
Entre une Julie Depardieu et un Jérémie Rénier décidément très justes, l'ambiance tourne au drame tout en finesse.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Excessif
par Romain Le Vern
Avec beaucoup de méthode, Eric Guirado (...) s'attache à l'engrenage psychologique (...) et lorgne vers les cinémas de Claude Chabrol et d'Henri-Georges Clouzot. (...). à ce petit jeu cruel, Julie Depardieu-Jérémie Rénier impressionnent en couple physiquement dévasté et moralement ruiné par l'envie.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
C'est un drame terrifiant de la convoitise et de la jalousie. (...) Si le cinéaste a changé les noms des protagonistes, il s'efforce d'analyser au plus près la psychologie des personnages. (...) Éric Guirado, impartial dans sa démarche, nous met à distance.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Thomas Sotinel
Une fois le processus criminel enclenché, le film trouve un rythme plus supportable, et l'on se rend alors mieux compte des qualités de la mise en scène qui profite de ce drôle d'endroit qu'est une station de sports d'hiver (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Alain Spira
Si Jérémie Renier en rajoute un peu dans la caricature, Julie Depardieu, elle , trouve la bonne tonalité de l'épouse pousse-au-crime.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Lucie Calet
Eric Guirado ressuscite l'affaire Flactif et signe un conte actuel sur l'humiliation et le surendettement en s'arrimant à Maryline dont les réflexions amères poussent son mari au meurtre, quitte à négliger les personnages des Castang.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le hic, c'est la mise en scène, qui rabâche péniblement l'idée que la société de consommation pousse au crime. C'est possible, mais dans le contexte, cela pousse surtout le réalisateur à mépriser ses personnages, meurtriers comme victimes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Géraldine Borrely
Un fait divers sanglant présenté au travers d'une narration pauvre, sans intention et qui reste à la lisière de son sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Peu importe le sujet. Ce qui frappe, c'est l'outrance avec laquelle on martèle une même idée, comme si l'on assimilait les spectateurs aux personnages un peu demeurés.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
[CONTRE] Sur un tel sujet, il fallait oser s'approcher de la monstruosité. Chabrol le faisait. Guirado la fuit. (...) Même la folie semble être une notion trop métaphysique pour Guirado, qui s'en tient au simplisme gênant d'une histoire de jalousie minable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
En flirtant parfois avec la pâle copie de "La Cérémonie" de Chabrol par un Chatiliez sérieux (cette façon de diviser l'humanité entre oeufs de lump et caviar, entre eau de toilette et Chanel N°5), le film entonne à nouveau ce si déplaisant refrain : " Que chacun reste bien à sa place ! "
Chronic'art.com
par Vincent Garreau
Dans le cinéma français, l'accent ch'ti est au pauvre ce que la jante en alu est à la Renault 21 : une touche finale superflue. Et c'est précisément ce qui agace le plus dans "Possessions", les touches finales, ces petits détails de finition qui le font moins ressembler au thriller social dont il semble d'abord se réclamer, qu'à une scabreuse pantalonnade sur les classes populaires.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Première
Eric Guirado, sous influence "chabrolienne", choisit, lui, la forme du thriller pour parler de l'inégalité des richesses. (...) Jérémie Rénier campe un ogre au visage déformé par la haine, aux côtés d'une Julie Depardieu parfaitement abjecte en compagne pousse-au-crime. Terrifiant.
20 Minutes
Inspiré d'une réalité dépassant toutes les horreurs fictives, "Possessions" permet à Jérémie Renier de prendre dignement sa place dans une belle lignée de criminels du 7ème art.
L'Express
Le pari de Guirado est finalement assez gonflé : il n'y a pas de monstres ni d'agneaux (...). Aidé en cela par un casting impeccable, Jérémie Renier en tête.
La Croix
Pour ce récit intense, Éric Guirado a réuni un impressionnant quatuor d'acteurs (...) qui jouent leur partition à la perfection. (...) Le sentiment d'oppression et de menace monte graduellement dans ce film à la réalisation ample et inventive, teintée de la poésie noire d'un conte cruel.
Le Journal du Dimanche
Hypertendu, "Possessions" réussit à fasciner le spectateur, qui connaît pourtant l'issue du scénario. Jérémie Renier, qui a pris 18 kg pour entrer dans la peau du tueur, est saisissant.
Le Point
Voir le site du Point.
Ouest France
Il y a du Chabrol dans son approche sociologique et sociale du drame. On peut aussi voir du Haneke (...). Mais il y a surtout la manière de Guirado, qui opère sans esbroufe ni provocation, dans le déroulé des détails et des symboles qui conduiront au drame.
Positif
Sobre, maîtrisé et remarquablement interprété (...), une fiction qui confirme le talent singulier d'Eric Guirado dans le paysage du cinéma français.
Télérama
[POUR] "Possessions" ressemble beaucoup à du Chabrol. Moins le pamphlétaire (...) que le psychologue qui fouillait la vie des " bonnes femmes " et des pauvres mecs à la Georges Simenon. On sent, surtout, chez le jeune cinéaste le goût d'éviter le spectaculaire (les meurtres, par exemple) pour filer droit à l'essentiel.
Critikat.com
Cette vision très politique fait la force du film d'Éric Guirado mais aussi sa faiblesse, la faute à une relative absence de subtilité dans la caractérisation de ses personnages principaux.
Ecran Large
L'ensemble perd de sa force et de sa pertinence sur la fin, empêchant cette habile chronique d'un fait d'hiver de se muer en un grand film noir.
Elle
Entre une Julie Depardieu et un Jérémie Rénier décidément très justes, l'ambiance tourne au drame tout en finesse.
Excessif
Avec beaucoup de méthode, Eric Guirado (...) s'attache à l'engrenage psychologique (...) et lorgne vers les cinémas de Claude Chabrol et d'Henri-Georges Clouzot. (...). à ce petit jeu cruel, Julie Depardieu-Jérémie Rénier impressionnent en couple physiquement dévasté et moralement ruiné par l'envie.
Le Figaroscope
C'est un drame terrifiant de la convoitise et de la jalousie. (...) Si le cinéaste a changé les noms des protagonistes, il s'efforce d'analyser au plus près la psychologie des personnages. (...) Éric Guirado, impartial dans sa démarche, nous met à distance.
Le Monde
Une fois le processus criminel enclenché, le film trouve un rythme plus supportable, et l'on se rend alors mieux compte des qualités de la mise en scène qui profite de ce drôle d'endroit qu'est une station de sports d'hiver (...).
Paris Match
Si Jérémie Renier en rajoute un peu dans la caricature, Julie Depardieu, elle , trouve la bonne tonalité de l'épouse pousse-au-crime.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Eric Guirado ressuscite l'affaire Flactif et signe un conte actuel sur l'humiliation et le surendettement en s'arrimant à Maryline dont les réflexions amères poussent son mari au meurtre, quitte à négliger les personnages des Castang.
L'Humanité
Le hic, c'est la mise en scène, qui rabâche péniblement l'idée que la société de consommation pousse au crime. C'est possible, mais dans le contexte, cela pousse surtout le réalisateur à mépriser ses personnages, meurtriers comme victimes.
Les Fiches du Cinéma
Un fait divers sanglant présenté au travers d'une narration pauvre, sans intention et qui reste à la lisière de son sujet.
Les Inrockuptibles
Peu importe le sujet. Ce qui frappe, c'est l'outrance avec laquelle on martèle une même idée, comme si l'on assimilait les spectateurs aux personnages un peu demeurés.
Télérama
[CONTRE] Sur un tel sujet, il fallait oser s'approcher de la monstruosité. Chabrol le faisait. Guirado la fuit. (...) Même la folie semble être une notion trop métaphysique pour Guirado, qui s'en tient au simplisme gênant d'une histoire de jalousie minable.
Cahiers du Cinéma
En flirtant parfois avec la pâle copie de "La Cérémonie" de Chabrol par un Chatiliez sérieux (cette façon de diviser l'humanité entre oeufs de lump et caviar, entre eau de toilette et Chanel N°5), le film entonne à nouveau ce si déplaisant refrain : " Que chacun reste bien à sa place ! "
Chronic'art.com
Dans le cinéma français, l'accent ch'ti est au pauvre ce que la jante en alu est à la Renault 21 : une touche finale superflue. Et c'est précisément ce qui agace le plus dans "Possessions", les touches finales, ces petits détails de finition qui le font moins ressembler au thriller social dont il semble d'abord se réclamer, qu'à une scabreuse pantalonnade sur les classes populaires.