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Un visiteur
1,0
Publiée le 5 mai 2012
Neds...hum que dire, je n'ai jamais été aussi impatiente de visionner un film, plus le chargement progressait et plus je me réjouissais. Il faut avouer que la bande annonce est vraiment très alléchante, mais en fin de compte, on se prend une claque, pas de celle qui vous fige devant votre écran tant le spectacle qui émane de ce dernier est fabuleux mais plutôt la claque de la déception, la chute. C'est mou, c'est vide, on s'ennuie fermement. Je pensais pouvoir le comparer au grand "This is England" mais en fait pas du tout, j'ai pourtant essayé de m'attacher au personnage principale (en dernier recours) mais cela s'avère impossible. Dommage.
N'ayant pas vu le précédent film du réalisateur, c'est en faisant confiance au critiques que je suis aller voir NEDS. Et en effet, les critiques sont on ne peut plus fondées. Le film est d'une beauté incroyable, nous plongeant dans le Glasgow des années 70, où un jeune homme (magnifiquement interprété par un inconnu qui pourrais atteindre le rang des plus grands), tente de se faire une place dans ce monde, entre études et guerres de gangs. Beau, Émouvant, poussant le spectateur à la réflexion sur ces phénomènes très transposables à la réalité...Un grand bravo.
J'attendais ce film avec pas mal d'impatience. Le sujet me faisait penser plus ou moins à "This is England", un film et une mini-série qui traite avec beaucoup d'intelligence de l'Angleterre prolétarienne. Petite déception ici, tout est bien reconstitué mais globalement on apprend pas grand chose et niveau psychologie, c'est un peu limité. Il est assez difficile de saisir le contexte et de comprendre le basculement aussi soudain du protagoniste. On sombre presque dans le grotesque dans quelques scènes assez maladroites. Je me suis surtout demandé le but de ce film: oui, la société est violente, les rapports humaines le sont aussi. A t-on besoin de voir pendant deux heures des gosses qui se cognent pour le comprendre? Pas sûr. En revanche, le réalisateur, quand il les filme ces gosses, cela transpire la vérité et ils sont parfois drôles, souvent attachants. Mais cela ne suffit sans doute pas à faire tenir le film qui s'inscrit dans un schéma somme toute assez classique.
Je suis fan de ce film. C'est tout. Non, en fait, ce n'est pas tout... Tout simplement parce John McGill (joué par Conor McCarron [aha, macaron... ok, revenons-en au sujet.]) est joué parfaitement, plus on le découvre, plus il on le prend en pitié et plus il nous fait peur. On embarque dans l'histoire avec une facilité fascinante et on y débarque avec un sentiment de bonheur et de malheur. Le premier personnage que côtoie John, qu'on pourrait penser passager, est en fait le personnage le plus important de l'histoire de John, du moins, c'est ce qu'il nous fait croire ou ce qu'il essaye de croire. Son histoire familiale qu'il fait payer aux délinquants des gangs opposés empire et empire encore, et le rende plus infâme et plus triste... Malgré tout, ce film contient beaucoup d'humour et tous les acteurs sont bons. Ce film est un véritable et est désormais l'un de mes films cultes !
Superbe film et très bonne performance des acteurs. Au delà de l'histoire, le film montre également la difficulté d'adaptation des personnes qui ont un QI un peu plus élevé que la moyenne et qui viennent d'un milieu social modeste. Coup de maître.
Wo ! Film totalement boulversant. On reste scotché à son écran et on regarde. On se sent mal pour ce jeune garçon, on veut l'aider, on ne peut pas. Peter Mullan signe ici un biopic inimaginable mais pourtant réel. Chapeau !
Face sombre de l'Angleterre , le réalisateur nous montre ici à quel point l'univers des quartiers populaires peut faire basculer dans la délinquance un garçon brillant . Le choix de faire partit d'une bande de petites racailles , pourquoi ? le besoin d'exister , le besoin d'amitiés ... l'influence est quasi inévitable . Voici le mode d'emploi pour devenir Skinhead , hooligan ou tout autres étiquettes de la délinquance . Neds est bien réalisé et très bien interprété mise à part deux scènes farfelues ( l'épisode du christ et des couteaux bandés )
J'ai espéré voir un bijou comme Trainspotting, The Wall, The Commitments, ou Agnes Browne... Et j'ai finalement vu une bouse de 2h, à ranger près de Bronson que j'ai du coup fait passer de "nul" à "très mauvais" après visionnage de Neds...
Tellement spécial que l'on se demande à la fin du film si on l'a aimé ou pas. l'acteur principal est excellent et des scenes chocs qui laissent sans voix. après réflexion c'est vraiment un bon moment de cinéma anglais comme on les adore.
Vu en avant première. Pas de résumé à faire, poignant.
Violent physiquement, mais finalement pas tant que ça. Violent psychologiquement mais finalement pas tant que ça.
Peter Mullan le réalisateur qui campe également le rôle du père dans ce film nous donne une performance d'acteur (répugnant jusqu'à sa façon de manger) et de réalisateur, absolument humaine et honnête.
On ne tombe ni d'un côté, ni de l'autre.
C'est un film comme j'aimerais en voir plus souvent. Un casting sans faute, du personnage principale au chauffeur de bus.
Mon verdict : j'ai le sentiment d'avoir gaché deux heures de ma vie. Un film ultra lent. Si vous aimez un peu le genre britannique, regardez plutot This is england.