Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Une oeuvre coup de poing démontrant que son réalisateur n'a rien perdu de sa force d'évocation, ni de sa hargne pour revisiter la face sombre de son Ecosse natale. Pas besoin d'être une grosse tête pour comprendre que "Neds" est tout simplement un put... de grand film.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
On baigne ici dans un tel désoeuvrement que tout est question de rapports de force animaux, de confrontations physiques et d'esprit de domination. "Neds", malgré sa tourmente dépressive, est un film plein d'espoir.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Sans parler de rédemption ou de pardon, Peter Mullan montre simplement le cercle vicieux de la violence, ses causes et ses effets, et le poids de la culpabilité. Un tableau âpre et lyrique de la jeunesse à la dérive.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Peter Mullan laisse sa technique s'envoler. Cette prison intérieure, il la dévoile par des contre-champs d'appels à l'aide, des contre-plongées parfois mystiques, une photographie léchée et une façon quasi-symbolique de ne pas laisser le discours en reste : du système éducatif écossais aux oeillères de Glasgow. Et le casting fait le reste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
[Mullan parvient], et c'est là la force du film, à contextualiser [la violence] sans tomber pour autant dans une sociologie de décorum et la psychologie de pacotille. Une authenticité d'approche qui sent à la fois le vécu et l'exutoire.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
"Neds" appartient à la bonne vieille veine sociale du cinéma britannique, mais possède un ton assez curieux, qui oscille entre la tragédie et la comédie sans vraiment choisir. (...) Mullan se laisse parfois aller à quelque facilité (la bande-son est notamment saturée de musique d'époque) mais son film, sans jamais faire preuve d'originalité, est tout à fait respectable.
Avec "Neds", son troisième long-métrage, l'acteur et réalisateur écossais Peter Mullan revient sur sa jeunesse sauvage dans le Glasgow sinistré des années 1970. Un récit d'apprentissage sanglant aux accents autobiographiques qui s'abîme dans une mise en scène grandiloquente.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le cinéaste filme sa volonté farouche de s'en sortir, sans s'appesantir, par brèves touches, sortes de flashs naturalistes. (...) Ça se gâte, hélas, au bout d'une heure, lorsque le garçon, devenu adolescent, décroche soudain de manière inexpliquée et bascule dans le camp des petites frappes. "Neds" se délite, alors, dans une dérive sacrificielle, une fantasmagorie aux symboles maladroits.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Sincère, généreux, compassionnel et lourd. [...] Incapable de résister à la tentation de glisser une goutte d'optimisme en fin de parcours, Mullan conclut son affaire en contredisant tout ce qui précède.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Excessif
Une oeuvre coup de poing démontrant que son réalisateur n'a rien perdu de sa force d'évocation, ni de sa hargne pour revisiter la face sombre de son Ecosse natale. Pas besoin d'être une grosse tête pour comprendre que "Neds" est tout simplement un put... de grand film.
20 Minutes
[Un] film uppercut.
CinemaTeaser
On baigne ici dans un tel désoeuvrement que tout est question de rapports de force animaux, de confrontations physiques et d'esprit de domination. "Neds", malgré sa tourmente dépressive, est un film plein d'espoir.
L'Express
Sans parler de rédemption ou de pardon, Peter Mullan montre simplement le cercle vicieux de la violence, ses causes et ses effets, et le poids de la culpabilité. Un tableau âpre et lyrique de la jeunesse à la dérive.
Le Monde
Peter Mullan laisse sa technique s'envoler. Cette prison intérieure, il la dévoile par des contre-champs d'appels à l'aide, des contre-plongées parfois mystiques, une photographie léchée et une façon quasi-symbolique de ne pas laisser le discours en reste : du système éducatif écossais aux oeillères de Glasgow. Et le casting fait le reste.
Le Point
Malgré une dernière demi-heure s'abîmant dans d'inutiles digressions métaphysiques, un film âpre et impressionnant. À découvrir.
Metro
Fort d'une maîtrise narrative exemplaire, le cinéaste filme sans détour la descente aux enfer [d'une] victime malgré elle.
Première
Malgré quelques métaphores appuyées et des longueurs dans la dernière partie, le film est une impressionnante et bouleversante enquête.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Télé 7 Jours
Brut de décoffrage et sans concessions.
TéléCinéObs
[Mullan parvient], et c'est là la force du film, à contextualiser [la violence] sans tomber pour autant dans une sociologie de décorum et la psychologie de pacotille. Une authenticité d'approche qui sent à la fois le vécu et l'exutoire.
Les Inrockuptibles
"Neds" appartient à la bonne vieille veine sociale du cinéma britannique, mais possède un ton assez curieux, qui oscille entre la tragédie et la comédie sans vraiment choisir. (...) Mullan se laisse parfois aller à quelque facilité (la bande-son est notamment saturée de musique d'époque) mais son film, sans jamais faire preuve d'originalité, est tout à fait respectable.
Critikat.com
Avec "Neds", son troisième long-métrage, l'acteur et réalisateur écossais Peter Mullan revient sur sa jeunesse sauvage dans le Glasgow sinistré des années 1970. Un récit d'apprentissage sanglant aux accents autobiographiques qui s'abîme dans une mise en scène grandiloquente.
Le Parisien
Dur, parfois complaisant, " Neds " repose sur une interprétation solide, mais il peine à dépasser le stade de la démonstration.
Positif
Malgré la juste interprétation du jeune Conor McCarron, la réalisation cherche son ton, entre mélodrame (...), violence (...) et accès d'ironie.
Télérama
Le cinéaste filme sa volonté farouche de s'en sortir, sans s'appesantir, par brèves touches, sortes de flashs naturalistes. (...) Ça se gâte, hélas, au bout d'une heure, lorsque le garçon, devenu adolescent, décroche soudain de manière inexpliquée et bascule dans le camp des petites frappes. "Neds" se délite, alors, dans une dérive sacrificielle, une fantasmagorie aux symboles maladroits.
Libération
Sincère, généreux, compassionnel et lourd. [...] Incapable de résister à la tentation de glisser une goutte d'optimisme en fin de parcours, Mullan conclut son affaire en contredisant tout ce qui précède.