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    La Voix de la terreur
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    Topaze87
    Topaze87

    8 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juillet 2024
    Une enquête de Sherlock Holmes transposé pendant la Seconde Guerre Mondiale. l’intrigue est moyenne mais c’est très bien joué dans un Londres de la guerre qui paraît bien reconstitué.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 228 abonnés 12 322 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 septembre 2018
    Ici, la voix que vous craignez...ici la voix de la terreur qui vous apporte un nouveau dèsastre, une nouvelle humiliation! Anglais, le führer vous frappe à sa guise...Rèalisè durant la Seconde Guerre Mondiale, "Sherlock Holmes and the Voice of Terror" est la troisième enquête du personnage immortel, invincible et constant qu'est Sherlock Holmes! Un dètective privè pour une affaire d'ètat ? Pourquoi pas! L'armèe, la marine et Scotland Yard! Une fois de plus, Holmes prouve qu'il reste le maître suprême du raisonnement et de la dèduction! Laisser faire est dangereux! Excellent pour les enquêtes criminelles, Basil Rathbone va tenter de mettre fin à ce cauchemar avec son ami et associè de toujours le Dr Watson alias Nigel Bruce! Evidemment nul ne doit savoir qu'il travaille sur cette affaire! Ce n'est pas la plus grande affaire de sa carrière et c'est nettement moins bon que "The Hound of the Baskervilles" et "The Adventures of Sherlock Holmes". Mais il y a un certain charme au niveau des ambiances de nuit des bas-quartiers...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 127 abonnés 4 143 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 septembre 2021
    Au bout de deux épisodes pour Universal, Sherlock Holmes flanqué de son fidèle Watson fume sa pipe, met sa casquette et prend sa loupe au service de la grande cause nationale de l’époque : la lutte contre le nazisme. Louable intention à n’en pas douter mais on peut vérifier une fois de plus que transposer un héros très populaire dans un autre univers que celui que connaissent ses affidés ne lui réussit guère. Holmes doit mettre fin à la fameuse propagande nazie qui risque de faire flancher le patriotisme des peuples en rébellion. On ne sait trop comment il y parviendra mais le coupable sera démasqué et l’on s’apercevra qu’une fois de plus l’ennemi vient de l’intérieur. Un peu ennuyeux et soporifique
    dougray
    dougray

    230 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mars 2015
    Troisième enquête de Basil Rathbone sous les traits du célèbre détective (qui change, au passage de studio, Universal remplaçant la Fox), ce "Sherlock Holmes et la voix de la terreur" (qui s’inspire vaguement de la nouvelle "Son dernier coup d’archer") est, avant tout, un film de propagande anti-nazie, sorti en plein milieu de la Seconde Guerre Mondiale alors que Londres subi les assauts du Blitz. Ainsi, ce brave Sherlock et son fidèle Watson se voient transposés dans les années 40 (ce qui n’est, pour l’instant, pas le cas de Madame Hudson, de Lestrade ou encore de Moriarty), par le biais d’un opportun carton d’introduction évoquant le fait que le détective "n’a pas d’âge". Le procédé peut faire sourire mais il confère, aujourd’hui, une formidable valeur à ce film (le premier de la série à être consacré à la lutte anti-nazie). Plus qu’un film, c’et un morceau d’Histoire auquel on assiste et qui se montre particulièrement révélateur des méthodes utilisées pour contrer le Nazisme (la production du film aurait été initié par Churchill lui-même) ainsi que l’image donnée du potentiel envahisseur (fourbe, menteur, criminel, introduit jusqu’aux plus hautes sphères… mais, au final, vaincu par la Grande Angleterre) et des peurs de l’époque (survol du sol anglais par les avions ennemis, débarquement des nazis sur les côtes, armée invisible d’agents infiltrés dans Londres…). Pour autant, le film ne vaut pas que par cette valeur historique. Il s’avère, également, réussi sur le plan cinématographique. Dès l’introduction, avec les terrifiants messages de la "voix de la terreur", on se retrouve dans une ambiance d’insécurité permanente où un bâtiment peut exploser à tout moment. L’enquête réussit à surprendre puisque l’identité de cette fameuse "voix de la terreur" est tout sauf évidente. Les seconds rôles sont, en outre, irréprochables avec la belle Evelyn Ankers (qui, film de propagande oblige, campe la martyre courageuse victime de l’infamie nazie), l’excellent Henry Daniell en membre du Conseil retors encore le détestable Thomas Gomez en agent nazi. Quant au duo vedette, il est, désormais, parfaitement rodé au point que Basil Rathbone se permette de faire douter de l’infaillibilité de Holmes. Nigel Bruce, quant à lui, compense toujours la passivité de Watson par de petites touches comiques. Evidemment, outre les limites imposées par les motivations premières du film (un film de propagande n’étant pas forcément très subtil dans sa description de l’ennemi) et celles plus formelles, nous rappelant qu’on est bien dans les années 40 (ce qui ne manquera pas de déplaire à une grande part du public récent), ce troisième "Sherlock Hommes" souffre, comme la plupart des épisode de l’époque Rathbone, d’un premier degré qui, aujourd’hui, ne serait plus acceptable (Holmes droit dans ses bottes et ses convictions malgré les conséquences, Watson admiratif et dépourvu de tout sens critique envers son ami, les énigmes qui se résolvent pratiquement d’elles-mêmes). Pour autant, ces défauts ne me paraissent pas plus dérangeants que ça puisque, outre le fait qu’il s’agisse de vieux films, ils ont permis, plus que les livres, de forger l’image de Holmes dans l’imaginaire collectif et servent, aujourd’hui encore, de référence. Et puis, tout film de propagande qu’il soit (mention au discours final, vibrant de patriotisme), ce troisième épisode est meilleur que le précédent, qui souffrait d’un manque de consistance certain.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 068 abonnés 5 010 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2010
    Sherlock Holmes enquête à la demande du gouvernement brittanique sur une mystérieuse puissance destructrice annonçant ses méfaits par la voix de la radio. Une enquête difficile et un pari de plus pour le célèbre enquêteur. Un épisode de bonne facture
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