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    Les Winners
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    3,2
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    57 critiques spectateurs

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    Pélynsse P
    Pélynsse P

    49 abonnés 489 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 octobre 2011
    bof
    Requiemovies
    Requiemovies

    193 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2011
    Classique film indé US, où la part belle serait donnée aux personnages aux dépens d’une histoire plus facile, voire classique. L’interprétation donc, reste là et donne la note majeure au film. On préfèrera ses 2 précédents longs (The station agent, The visitor) plus fort de sens et de fond.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 septembre 2011
    Un film touchant malgré l'usage à outrance des codes du cinéma indépendant américain. Le message véhiculé, la lutte pour l'intégrité, reste efficace et mené par de très bons acteurs.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 486 abonnés 7 303 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 septembre 2011
    Troisième long-métrage pour Thomas McCarthy après son excellent The Visitor (2007), il revient avec Les Winners (2011), un drame social et réaliste où il dépeint des personnages hauts en couleur, entre le père de famille qui prend une mauvaise décision en voulant subvenir à sa famille, une mère en cure de désintoxication et son propre fils qui préfère fuguer afin de fuir cette triste réalité, la rencontre entre ce père de famille bien sous tout rapport et cet adolescent va venir chambouler le quotidien de chacun. L’originalité de ce petit film indépendant, c’est qu’il se déroule dans l’univers de la lutte, un sport qui jusqu’à présent s’était fait très rare dans l’univers cinématographique. Une œuvre dramatique qui, bien qu’elle traite de sujets sérieux, n’en reste pas moins drôle (grâce à la complicité de Bobby Cannavale). Niveau interprétation, on tombera sous le charme du tandem incarné par Paul Giamatti & Alex Shaffer (respectivement le père de famille et l’ado fugueur), sans oublier la participation de Jeffrey Tambor. On obtient au final une œuvre pleine de charme et de sincérité, à la fois émouvante et drôle, un pur produit du cinéma indé US, certes stéréotypé mais parfaitement mis en scène et dirigé avec beaucoup de brio.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 septembre 2011
    La simplicité et le réalisme, associés à des acteurs vrais et justes, font de l'humour et de l'histoire, un vrai bonheur !
    Loic Descamps
    Loic Descamps

    12 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 septembre 2011
    Quel beau moment j'ai passé pourtant le sujet ne me branchais pas mais j'avais tant aimé le précédent film de Carty The Visitors...Encore du bon ciné indépendant, à la fin j'en voulais encore...
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    86 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2011
    Avec The Winners, Thomas McCarthy ne renouvelle pas son coup d’éclat précédent. En effet, en 2007, The Visitor avait été loué pour la justesse de ton, l’attention portée à des personnages forts et fouillés, sans manichéisme, tout en s’attaquant à des sujets graves comme le deuil et l’immigration. Ce coup-ci, l’intention est plutôt, à travers des mésaventures rocambolesques, de mettre en scène les impasses dans lesquelles se trouvent coincés un avocat et un jeune garçon en rupture familiale, le tout sur fond d’entrainements et de tournois de lutte. Sport, on le saisit, ô combien symbolique, en charge de l’illustration d’autres combats plus intérieurs. Au cœur de la middle-class américaine peuplant les zones pavillonnaires, The Winners est une gentille et inoffensive comédie douce-amère, plus percutante dans ses instants décalés que dans ceux où l’émotion (les grands sentiments comme l’intégrité et l’honneur de la famille) prend le dessus. Mais on regrette toujours avec le même agacement que des comédies indépendantes visant à dénoncer les mécanismes d’exclusion de la société américaine ravagée par la crise se croient dans l’obligation du happy end, avec la sempiternelle proclamation des valeurs fondatrices. Comment les réalisateurs ne comprennent-ils pas que cela amoindrit considérablement, pour ne pas dire que cela l’annule, la force de leur propos. Comme si aucun n’avait l’envie ou le courage d’une vision réellement pessimiste (ou réaliste) et préférait s’en remettre à une issue moralisatrice, faisant ainsi et de manière artificielle tout rentrer dans l’ordre. En conséquence, The Winners reste ainsi dans la catégorie des petits films sympathiques, pleins d’humanité et de tendresse. Mais trop de sirop finit par peser sur l’estomac.
    nikolazh
    nikolazh

    56 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2011
    Des personnages imparfaits et donc attachants, une histoire plaisante, bien construite, des sentiments, de l'humour... On pourrait trouver ça un peu fade et gentillet, mais le résultat est convainquant et offre une petite bouffée d'air frais après une saison estivale pleine de supers héros et de lourdeur. Léger et plaisant, réussit tant sur le fond que sur la forme.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 septembre 2011
    Un super film qui touche le coeur. Courez voir ce petit bijou qui est très certainement l'un des moments forts de la rentrée.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 septembre 2011
    Est-ce que quelqu'un peut m'expliquer l'intérêt de ce film de merde ? À part la bonne gueule de Paul Giamatti, mais ça on connaît déjà ! Et puis Paul Giamatti en radin aussi, on connaît déjà ! C'est quoi ce délire ? Si vous voulez du grand Paul Giamatti (oui, je dis beaucoup Paul Giamatti, mais il faut dire qu'on voit beaucoup Paul Giamatti sur les affiches en ce moment) donc, disais-je, si vous voulez du grand Paul Giamatti, regardez plutôt "American Splendor" qui est un chef-d'oeuvre ! Pour ça, on retiendra Paul Giamatti, pas pour cette daube !
    C'est juste conventionnel, avec quelques gags sympas mais qui ne suffisent pas à rehausser l'ensemble, bref, c'est juste chiant. La mère droguée, le gentil avocat, le vieil impotent, le jeune sportif... nan, vraiment, épargnez-vous tous ces clichés. C'est pas du cinéma indépendant, ça, c'est du cinéma indéfendable.
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2011
    Avec « The Visitor », Thomas McCarthy avait placé la barre très haut. Son successeur, « Les Winners », conforte le grand talent de son auteur. Autant le scénario que la mise en scène en parfaite adéquation avec le sujet confèrent à nous offrir un très joli moment de cinéma. Du vrai cinéma d’auteur qui est résolument conçu pour le public et qui met en valeur une histoire subtile, originale, peuplée de personnages drôles et touchants. Que dire de l’interprétation ? Tous les comédiens du film semblent à l’unisson et apporte un plus indéniable à l’unité du film. Excellent film américain bien loin des stéréotypes et des histoires formatées dont il est de plus en plus souvent coutumier.
    marseyopolis
    marseyopolis

    18 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 septembre 2011
    un peu decevant, les acteurs sont très bons, mais le sujet pas tellement interessant, on a connu dix fois mieux dans au moins cinq series télé recentes…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 septembre 2011
    Très bonne surprise que ce film porté par un Paul Giamatti tout en bonhomie qui joue un avocat dont le cabinet ne croule pas sous les dossiers et qui pour nourrir sa famille se lance dans une combine qui se retourne contre lui : il encaisse la pension d'un riche vieillard sans vraiment s'occuper de lui jusqu'au jour où le petit fils fugue de chez sa mère toxico pour habiter chez le grand-père, ce qu oblige l'avocat à le recueillir chez lui. Le titre original "win win" résume bien le film car l'avocat et le jeune homme sont tous les deux gagants : le premier va retrouver du sens à sa vie et va voir l'équipe de lutte dont il s'occupe gagner ; le second va pouvoir étudier dans de bonnes conditions et reprendre goût à la pratique de la lutte qu'il avait arrêté. Le réalisateur a su insuffler des scènes humoristiques bienvenues et on passe vraiment un délicieux moment.
    velocio
    velocio

    1 226 abonnés 3 063 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2011
    En tant que réalisateur, Tom (ou Thomas) McCarty, c'est comme les Jeux Olympiques : tous les 4 ans. Après "The station agent" en 2003 (diffusé il y a peu sur Arte), "The Visitor" en 2007, "Les Winners" est le 3ème long métrage de ce comédien de 45 ans qui commence à se faire une bonne réputation dans le monde du cinéma indépendant "made in USA". Il écrit lui-même ses scenarii et, le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il sait s'écarter des chemins battus et rebattus. Comme d'habitude, ce natif du New Jersey ne s'est pas écarté de la région New-York / New Jersey. Ce coup ci, il a même choisi de situer l'action de "Les Winners" à New Providence, la petite ville de 12 000 habitants dans laquelle il habite. Il a choisi de s'intéresser à une famille de la classe moyenne, les Flaherty, dans laquelle le père Mike est un petit avocat dont le cabinet souffre de la crise économique et la mère Jackie est mère au foyer. Dans sa jeunesse, Mike a été un lutteur très modeste mais il a gardé un certain goût pour ce sport particulier, au point d'entrainer l'équipe du lycée de la ville. Les résultats sportifs sont catastrophiques jusqu'au jour où apparait Kyle, le petit-fils de Leo, un client de Mike. Kyle est un grand adolescent en plein conflit familial mais c'est aussi un excellent lutteur. Après un début réalisé sur un mode très "piano", le film prend petit à petit un rythme qui, sans aller jusqu'à l'allegro, entraine de plus en plus le spectateur. Comme dans ses 2 premiers films, Tom McCarty sait tirer le meilleur de ses comédiens et il sait aller les filmer au plus profond, au delà de la barrière des yeux. Comme dans ses 2 premiers films, il se refuse à faire l'acteur dans son propre film. Par contre, on retrouve avec plaisir Bobby Cannavale qu'on avait déjà vu dans "The station agent". Kyle est joué par un jeune lutteur dont c'est la première apparition à l'écran : il est excellent et pas seulement comme lutteur ! Quant à Paul Giamatti (Mike) et Amy Ryan (Jackie), ils sont fidèles à la réputation certaine qu'ils ont déjà. Autre qualité de Tom McCarty : il tient toujours à placer ses films dans un certain contexte social. On savait depuis longtemps que beaucoup d'américains étaient obligés de cumuler 2 ou 3 boulots pour s'en sortir. Avec la crise actuelle, on voit que cela n'est pas réservé qu'aux plus pauvres : notre avocat Mike se trouve obligé de travailler en plus comme barman pour faire vivre sa famille. En tout cas, sans atteindre tout à fait les sommets de "The Visitor", "Les Winners" est un film qui film qui mérite un large public.
    pee-wee
    pee-wee

    43 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2011
    Pour arrondir ses fins de mois difficiles, un petit avocat de province, marié et père de famille honnête, le cœur sur la main, cède à sa première petite combine avec les lois pour toucher 1500 dollars de plus chaque mois. Par ricochets, cette combine va finir par l'obliger à recueillir chez lui un ado en fugue. La relation du gamin avec cette famille d'accueil va donner lieu à toute sorte de bons et mauvais moments, jusqu'à ce que l'étau se resserre sur la malversation du père...
    Fan de Bobby Cannavale (c'est sa 2e collaboration avec ce réalisateur après The Station Agent), je me suis fais un devoir d'aller voir ce film qui se révèle très agréable. C'est vraiment le mot. Ici, pas de tuerie, pas de scènes d'hystérie, pas de mise en scène tape à l'œil. On est dans un traité de douce comédie réaliste, avec des acteurs pas toujours glamours (à part Bobby, bien sûr, toujours au top) mais plein d'humanité, charismatiques. L'univers de la lutte gréco-romaine évoqué par l'affiche ne doit pas rebuter. Ce sport n'est pas au cœur du film. Ici, pas de métaphore sur le dépassement de soi, l'abnégation, ou la solidarité, comme ça a pu être le cas dans les années 90 au Royaume-Uni avec Full Monthy, Les Comitments, Les Virtuoses, etc. Non, ici le scénario s'attache davantage à des valeurs morales et humaines comme aider son prochain, tenir ses promesses, reconnaitre ses erreurs, mais le tout sans pathos, sans grandiloquence. Et ça fait un bien fou.
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