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Votre avis sur Minuit à Paris ?
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C’est vrai que les films d’Allen, notamment Minuit à Paris sont vraiment très bien filmés. Un magnifique Paris, dans lequel de petites histoires sentimentales et amoureuses se déroulent. Un bon petit film. Je le déconseille aux moins de 7 ans. 3/5
Des américains en visite à Paris, ville romantique, il n’y a rien de plus beau, une touche de science-fiction pour le retour à la Belle Époque des grands artistes qui ont animés ces lieux magiques.
Arthur Debussy
Autant l'annoncer tout de suite : « Minuit à Paris » est la libre adaptation cinématographique de « Paris est une fête », ouvrage écrit par Ernest Hemingway. Au matériau d'origine, dont Woody Allen ne reprend que l'esprit et certains personnages, le réalisateur greffe ses thèmes de prédilection. Ce film est donc composite, tournant autour de deux grandes sensibilités : celle d'Hemingway et celle d'Allen. Et pour tout dire, seuls les passages inspirés par Hem' valent le coup, car pour le reste on a toujours le droit aux mêmes personnages névrosés, à cette figure conflictuelle du couple, à l'infantilité du personnage principal, anti-héros tout ce qu'il y a de plus « allenien », et tout ce qu'il y a de plus horripilant, à cette conception rabougrie de la vie qui me déplaît tant chez ce cinéaste pleurnichard. Si par contre on s'attarde sur ces passages fantasmés, sur ces moments ou l'écrivain joué par Owen Wilson s'aventure dans le Paris de l'entre-deux-guerres, on ne peut qu'être séduit par ces personnages hauts en couleur, et surtout brillamment brossés en quelques traits bien sentis. Adrian Brody en Dali vaut son pesant de cacahuètes, et si je dois bien reconnaître un seul mérite à Woody Allen, c'est de faire revivre avec talent ces personnalités d'alors, l'espace de quelques minutes, à l'image de cet Hemingway qui déclame ses tirades bravaches, droit dans les yeux du héros, comme si sa vie en dépendait, avec son style littéraire si particulier (ce fameux enchaînement de « et » dans ses phrases à rallonge). Gertrude Stein est bien jouée, tout comme Fitzgerald et sa femme Zelda. Et on finit même par se sentir galvanisé, porté par cette énergie créatrice, qui émane avant tout de l'ouvrage génial d'Hemingway. Car il faut bien le dire, « Paris est une fête » est si réjouissant et si puissant dans sa simplicité joyeuse qu'il peut bien donner lieu à des dizaines de films sans que l'on puisse épuiser sa force originelle ! Mais il faut aussi concéder à Woody Allen l'humour avec lequel il redonne vie aux personnages de l'époque. Pour le reste, passés ces moments, on retombe dans du Woody Allen tout ce qu'il y a de plus convenu : une mise en scène flasque, des problématiques d'adulescents, des enjeux maigrelets, une portée extrêmement limitée. Avec une dernière concession : le Paris d'aujourd'hui qui est filmé, même arrangé et grimé, est décidément d'une beauté… Peut-être l'un des meilleurs Allen, ce qui en fait un film moyen, mais agréable tout de même.
Avis :
Encore une belle œuvre maîtrisée par le cinéaste qui te sort quasiment tout le temps un film par an. La cuvée allénienne de l'année 2011 est tout à fait honnête car le film même s'il ne m'a pas totalement conquis, il faut reconnaître qu'il est doté d'une belle histoire et qu'il est finement bien joué et filmé. Présenté en sélection officielle hors compétition faisant office du film d’ouverture au 64ème Festival De Cannes en 2011 qui aura été très bien accueilli et bien applaudi.
Il recevra même en 2012 l'Oscar du Meilleur scénario et quand on voit la qualité de ce dernier, c'est absolument mérité.
Car oui le film repose vraiment sur son concept et son histoire très bien écrite avec une sorte de décalque de Cendrillon dans la Ville Lumière. Le métrage joue constamment sur le présent et le Paris des années 20 avec une reconstitution excellente.
Woody Allen fait ensuite preuve une fois encore de belles prouesses pour filmer et magnifier une ville avec ses beaux plans. Le casting ici est riche et dans l'ensemble joue bien sans non plus faire des merveilles à mon sens. Je pense à une Marion Cotillard qui m'horripile un peu mais qui joue peut-être bien son personnage ou un Corey Stoll moyen mais rien de grave. Dans son ensemble même si elle ne m'a pas totalement emporté l'œuvre est bonne et belle à contempler et donne envie de se perdre à minuit dans Paris.
Un mot sur la BO :
Une bande son très typée de l'époque des années 20 qui retranscrit à merveille l'ambiance de ces années-là avec la très belle reconstitution du film. Le cinéaste sait y faire avec ces choses-là il nous l'aura prouver à plusieurs reprises au sein de ses œuvres. Elle correspond parfaitement certes mais possède des ritournelles qui personnellement reviennent un peu trop et de base ne me plaisent que moyennement mais apporte le charme qu'il faut au film. Donc cela reste une bonne bande son très bien lié au métrage, mais qui peut agacer au bout d'un moment et que l'on aura du mal à écouter à part.
Ma note : 7.5/10 !
Encore une belle œuvre maîtrisée par le cinéaste qui te sort quasiment tout le temps un film par an. La cuvée allénienne de l'année 2011 est tout à fait honnête car le film même s'il ne m'a pas totalement conquis, il faut reconnaître qu'il est doté d'une belle histoire et qu'il est finement bien joué et filmé. Présenté en sélection officielle hors compétition faisant office du film d’ouverture au 64ème Festival De Cannes en 2011 qui aura été très bien accueilli et bien applaudi.
Il recevra même en 2012 l'Oscar du Meilleur scénario et quand on voit la qualité de ce dernier, c'est absolument mérité.
Car oui le film repose vraiment sur son concept et son histoire très bien écrite avec une sorte de décalque de Cendrillon dans la Ville Lumière. Le métrage joue constamment sur le présent et le Paris des années 20 avec une reconstitution excellente.
Woody Allen fait ensuite preuve une fois encore de belles prouesses pour filmer et magnifier une ville avec ses beaux plans. Le casting ici est riche et dans l'ensemble joue bien sans non plus faire des merveilles à mon sens. Je pense à une Marion Cotillard qui m'horripile un peu mais qui joue peut-être bien son personnage ou un Corey Stoll moyen mais rien de grave. Dans son ensemble même si elle ne m'a pas totalement emporté l'œuvre est bonne et belle à contempler et donne envie de se perdre à minuit dans Paris.
Un mot sur la BO :
Une bande son très typée de l'époque des années 20 qui retranscrit à merveille l'ambiance de ces années-là avec la très belle reconstitution du film. Le cinéaste sait y faire avec ces choses-là il nous l'aura prouver à plusieurs reprises au sein de ses œuvres. Elle correspond parfaitement certes mais possède des ritournelles qui personnellement reviennent un peu trop et de base ne me plaisent que moyennement mais apporte le charme qu'il faut au film. Donc cela reste une bonne bande son très bien lié au métrage, mais qui peut agacer au bout d'un moment et que l'on aura du mal à écouter à part.
Ma note : 7.5/10 !
Minuit à Paris est un film magique.
Woody Allen vous transporte de manière magistrale de telle sorte que vous ayez envie que le film ne se termine jamais. Du grand art !
Woody Allen vous transporte de manière magistrale de telle sorte que vous ayez envie que le film ne se termine jamais. Du grand art !
J'ai toujours aime Owen Wilson mais j'ai vu tres peu de films de Woody Allen. Un film vraiment agreable a regarder, surtout lorsque l'on est francais habitant aux Etats-Unis. Simple, drole, poetique et philosophique. Tres bon film.
Avec Minuit à Paris, Woody Allen sort ce qu'il a de meilleur pour produire un petit bijou. Véritable déclaration d'amour à la capitale parisienne, ce film est un voyage temporel et une comédie romantique entraînante. Woody Allen utilise à perfection la légèreté de la comédie romantique pour proposer un film drôle et rempli de poésie. Ce cinéaste a un véritable don de conteur d'histoires et le film en est la parfaite illustration tant il dégage une atmosphère joyeuse et plonge le spzacteur au coeur de l'action. La virtuosité du récit, l'originalité de l'histoire, l'humour manié à la perfection et les magnifiques images de Paris sont les éléments qui m'ont fait adoré ce film qui est pour moi l'un des meilleurs de Woody Allen !
Le meilleurs Woody Allen que j'ai vu.
Une histoire magnifique, des acteurs envoûtés. On a pas envie que le film se termine.
Une histoire magnifique, des acteurs envoûtés. On a pas envie que le film se termine.
Un écrivain américain emmène sa fiancée à Paris. Il déambule vers minuit à dans les rues de Paris et trouve un passage vers les écrivains parisiens d'une autre époque. Il en arrive à discuter avec eux. Des échanges d'idées, des révélations sentimentales et autres. Un bon choix dans le casting. Et quelques françaises au casting : Carla Bruni (Alors épouse du Président Sarkozy !) et Marion Cotillard. D'autres surprises françaises dans le casting rende le tout fort sympathique.
Commençons par le commencement : Owen Wilson -tronche de clochard et cerveau de piaf- qui se la joue yankee amoureux de Paname, on y croit pas et on en veut pas. Marion Cotillard non plus, vous me direz, elle se prend toujours pour Edith Piaf et elle soûle. Mais j'anticipe, car le pire est à venir.
La blondasse (fausse bien sûr), c'est-à-dire la copine de l'ahuri, on la verrait carrément mieux ailleurs... la voir essayer de "jouer" est une torture et elle ne devrait pas contrarier sa nature. D'autres "stars" vont et viennent comme souvent dans les films de Woody Woodpecker le binoclard pleurnichard : Marion Cotillon (déjà mentionnée) mais aussi Carla Blingbling-Sarkozy qu'on entend déjà pas lorsqu'elle couine et encore moins lorsqu'elle "parle". Après, on va encore s'étonner que les amerloques nous prennent pour des abrutis.
Comme d'habitude avec Woody, ça blablate n'imp' à n'en plus finir, des trucs "on s'en fout" d'intellos bobos névrosés "rien à battre". La seule différence concerne le cadre magnifique de notre bien aimée ville-lumière qui sert de prétexte aux divagations d'une bande de bobos. Notez cependant que cette vision de la Capitale demeure au ras des pâquerettes, touristique, idéalisée à outrance et niaise.
Bref, tous les clichés y passent et la liste est longue. Woody a besoin d'une sérieuse mise-à-jour : les années 20, c'est fini et Paris n'est qu'une grande ville européenne parmi tant d'autres convertie au multi-culturalisme.
La blondasse (fausse bien sûr), c'est-à-dire la copine de l'ahuri, on la verrait carrément mieux ailleurs... la voir essayer de "jouer" est une torture et elle ne devrait pas contrarier sa nature. D'autres "stars" vont et viennent comme souvent dans les films de Woody Woodpecker le binoclard pleurnichard : Marion Cotillon (déjà mentionnée) mais aussi Carla Blingbling-Sarkozy qu'on entend déjà pas lorsqu'elle couine et encore moins lorsqu'elle "parle". Après, on va encore s'étonner que les amerloques nous prennent pour des abrutis.
Comme d'habitude avec Woody, ça blablate n'imp' à n'en plus finir, des trucs "on s'en fout" d'intellos bobos névrosés "rien à battre". La seule différence concerne le cadre magnifique de notre bien aimée ville-lumière qui sert de prétexte aux divagations d'une bande de bobos. Notez cependant que cette vision de la Capitale demeure au ras des pâquerettes, touristique, idéalisée à outrance et niaise.
Bref, tous les clichés y passent et la liste est longue. Woody a besoin d'une sérieuse mise-à-jour : les années 20, c'est fini et Paris n'est qu'une grande ville européenne parmi tant d'autres convertie au multi-culturalisme.
Je n'avais jamais vu Minuit à Paris. Et c'est effectivement un naufrage. Une ode nostalgique à des figures de musée Grévin, une caricature insipide, sans dialogues, sans relations complexes entre les gens. On batifole faussement et avec lourdeur dans les couloirs du temps et dans une réalité de carton pâte... On cherche quoi sauver. Rien.
C'est encore une belle réussite signé par Woody Allen . Une comédie dans laquel Owen Wilson montre qu'il a la capacité de joué aussi un rôle sérieux. Il est impeccable dans son rôle d'écrivain intellectuel et pourvu de toute logique. Woody Allen conte une histoire aussi fantastique et amusante , dans laquelle il transcende la ville de Paris en carte postale , avec ses jeux de mise en scène, la bande son et de la dimension romantique.Très bien écrit , munit d'une distribution parfaite , un film d'amour où Owen Wilson et Marion Cotillard forme un duo passionnant.
Très bon film avec un casting en or et des décors magnifiques. Pour Gil voyager dans le Paris moderne au Paris des années 20 (de cette Belle Époque), il n'y a qu'un pas.
Passée et Présent. Romantisme et Amour, Poésie et Philosophie, sa rencontre avec les plus grands artistes des anciens temps est parfaitement interprété, comme un conte de fée. Devant ce film riche d'émotion, on contemple chaque scène à une « art cinématographique » signé Woody Allen qui nous surprend une fois de plus.
Passée et Présent. Romantisme et Amour, Poésie et Philosophie, sa rencontre avec les plus grands artistes des anciens temps est parfaitement interprété, comme un conte de fée. Devant ce film riche d'émotion, on contemple chaque scène à une « art cinématographique » signé Woody Allen qui nous surprend une fois de plus.
Woody Allen nous plonge à travers ce film dans le Paris des années 1920. Comment dire que son pari est totalement réussi ? Entre un casting composé de très bon acteur, et de retournement de situation, Woody Allen nous livre un chef d'oeuvre digne de sa personne!
« Minuit à Paris », côté pile, ce sont des personnages trop superficiels, un scénario trop linéaire et qui manque de consistance. C’est surtout trop de personnages célèbres observés mais qui n’apportent rien à l’histoire si bien qu’on a parfois l’impression, par l’effet « catalogue », d’être spectateur au Musée Grévin !
Mais « Minuit à Paris », côté face, c’est aussi une belle histoire d’amour d’un réalisateur envers une ville – Paris – très bien filmée de jour, de nuit, sous le soleil ou sous la pluie et quelque pics bien sentis envers les parisiens.
D’où mon sentiment très mitigé en sortant de la salle.
Mais « Minuit à Paris », côté face, c’est aussi une belle histoire d’amour d’un réalisateur envers une ville – Paris – très bien filmée de jour, de nuit, sous le soleil ou sous la pluie et quelque pics bien sentis envers les parisiens.
D’où mon sentiment très mitigé en sortant de la salle.
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