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ned123
156 abonnés
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3,0
Publiée le 12 août 2020
J'ai vu un film... de Kung-fu, et c'était vraiment ce qu'il y avait de mieux... Donnie Yen est également l'atout de ce film car il donne à ce personnage de IP Man une totale assurance et complète maîtrise... Toutes les scènes de combat sont des réussites, rythme, intensité, mouvements de caméra... Il est amusant de retrouver les personnages du premier opus et les mêmes comédiens qui interprètent d'autres personnages de l'univers d'Ip Man. Petit clin d'oeil à Bruce Lee...
Tout aussi exaltant que le premier, le futur Maître de Bruce Lee doit dorénavant enchaîner les défis pour sauvegarder son école. Ce chapitre met un peu moins en lumière l'aspect émotionnel de l'histoire et privilégies les combats de très hautes qualités.
Une suite avec la fondation d'une école d'arts martiaux par Ip Man. Il va avoir des bâtons dans les roues et affrontera cette fois-ci un boxeur anglais. Belles chorégraphies de combats, j'ai cependant moins apprécié, l'histoire est moins travaillée que dans le premier.
Presque aussi bon que le premier car juste parfois un peu trop "action hollywoodienne", notamment la dernière partie avec le boxeur. Sinon je suis enchanté de découvrir les débuts du fameux Yip man et le clin d'oeil à Bruce Lee est rigolo. Un très bon Wu xian pian. Pour les fans et les autres...
On retrouve Ip Man quelques années après les événements du premier épisode, qui a ouvert une école pour y enseigner son art. Dans cet opus il devra faire ses preuves face à d’autres maîtres du Kung-Fu et un très très méchant boxeur occidental. Le film fonctionne surtout grâce au charisme de Donnie Yen et bien sûr des nombreux combats auxquels on va assister qui sont remarquables. Même si pour le coup j’ai moins apprécié ceux entre les maîtres un peu trop exagérés à mon goût. Pour les autres ils jouent énormément sur la maîtrise et la vitesse, même si cette dernière est parfois un petit peu exagérée. C’est un peu moins intéressant au niveau du scénario et même du spectacle que le premier mais ça reste de l’excellent divertissement d’action.
Après l'excellent "Ip Man" premier du nom, Donnie Yen nous revient avec cette suite fabuleuse. "Ip Man 2" regroupe le meilleur du film d'arts martiaux, agrémenté d'un scénario parfaitement mis en scène, aussi passionnant qu'intense. Le film donne cependant une vision caricaturale des occidentaux, qui semblent tous haineux et odieux. C'est bien là le seul défaut d'une oeuvre pourtant maîtrisée, calibrée pour en mettre plein la vue avec des chorégraphies bluffantes et inventives. Sammo-Hung, directeur des combats mais aussi acteur ce coup-ci, fait du très bon boulot, des deux côtés de la caméra. En attendant "Ip Man 3", une excellente saga que celle du maître de Bruce Lee.
Ip Man 2 reste toujours aussi efficace que son prédécesseur, cependant, l'idée d'une suite n'était pas vraiment nécessaire quant au véritable intérêt du film. Reste tout de même un divertissement très honorable, très bien chorégraphier et avec un Donnie Yen toujours en super forme. En plus de cela, la fin du film réserve une agréable surprise...
Suite directe du premier épisode, nous retrouvons ici Ip Man qui cherche à ouvrir son école d'art martiaux. Mais la mafia aidant, l'entreprise est périlleuse, surtout avec les soldats colonisateurs anglais qui contrôlent le monde de la boxe grâce à leur champion... Ceux qui ont aimé le premier pour son côté dramatique et historique seront les premiers déçus. Ip man 2 est en fait un copié-collé du scénario de Rocky 4, oui oui, vous avez bien lu. Mort sur le ring, entrainement, vengeance lors d'un combat mémorable avec des K.D. avant un K.O. final...tout est là. Pour le fan d'action que je suis, j'ai bien sûr préféré ce second opus ultra spectaculaire, bourré de combat et d'action où les scènes de ring sont très présentes. Donnie Yen est à nouveau parfait et la caméra de Wilson Yip suit ses rapides mouvements. Un film de ring ultra spectaculaire pour tous les amateurs du genre.
Pour une république [populaire de Chine] une et indivisible.
Voici le deuxième épisode de la série Ip Man. Aux manettes, c’est toujours Wilson Yip. A la fin du premier opus, on avait laissé le maître Ip vainqueur des Japonais mais blessé et en exil. Le voici donc réfugié à Hong Kong, colonie britannique tranquille où la pauvreté et les injustices font rage. Ip va faire ce qu’il sait faire, enseigner le Wing Chun d’une part, mettre en scène la Chine triomphante d’autre part.
C’est tout d’abord un vrai plaisir de retrouver Donnie Yen dans la peau du maître de Kung Fu, toujours aussi zen, toujours aussi bon quand il s’agit de tataner le méchant. Cette fois, on perçoit un peu moins le tournage en studio et c’est fort appréciable. C’est dû principalement à une lumière plus naturelle. L’intrigue n’est pas très différente du premier épisode et on devine vite où on nous amène. Pas grave, on y va quand même avec plaisir. Les temps forts du film sont surtout les scènes de combats dont certaines sont à couper le souffle par leur chorégraphie millimétrée tout en classe et en finesse, en particulier la scène de la table. Sur le ring, c’est paradoxalement moins percutant et on pense immanquablement à une redite de Rocky 4, une version en miroir d’une certaine manière. La prise à partie du spectateur, aussi grossière soit-elle, fonctionne bien et le comportement du boxeur britannique hérisse le poil comme il faut. Bien sûr, on ne sera pas dupe de la manœuvre et il s’agit une fois encore de flatter le nationalisme chinois. Le colon britannique y est le diable incarné et Hong Kong, pour qui en douterait, c’est la Chine. La propagande continue donc d’aller bon train. Reste que le spectacle est encore une fois réjouissant et qu’on passe véritablement un bon moment. Et chacun placera le curseur de la « propagande acceptable » où bon lui semble et appréciera ou non le spectacle proposé.
Le deuxième volet de Ip Man qui retrace encore une partie de la vie se Yp man le maître des art martiaux chinois , ce film vois l'arrivée du grand Sammo Hung qui sur celui ci tiens un rôle important il ne Contente pas que des la direction des scène de combat. Une bonne suite plutôt bien développer, écrit et interpréter par leurs comédien , en revanche les personnage anglais sont juste énervant on une seule envie leur tapper dessus pour leur faire fermer leur bouche ! Fuyant la République populaire de Chine, Ip Man se réfugie à Hong Kong en 1949. Il y découvre une ville en désordre, où règnent la misère et la violence. À sa grande stupeur, de nombreuses écoles d'arts martiaux sont obligées de payer un tribut à la police anglaise. Révolté par cette situation, et grâce à ses indéniables talents en matière d'arts martiaux, Ip Man décide d'ouvrir sa propre école, basée sur le wing chun. Aussitôt, il est défié par les maîtres des écoles de la ville, qui n'hésitent pas à envoyer leurs élèves provoquer les quelques personnes prêtes à suivre l'enseignement d'Ip Man mais il va devoir affronter un boxeur anglais qui se croit supérieur et qui méprise les chinois !
Bonne scène de combat , un peux moins accessible à tous public avec les scène de boxe qui sont remplis de sang donc ça peux choquer certains jeune spectateur. Un film de sport qui réussi à mélanger, drame , sport , action .
Toujours entraînant grâce au rythme rapide des scènes de combats, mais nettement moins intéressant que le précédent sur le fond et sur la forme, "Ip Man 2" ne sera pas du niveau de son prédécesseur. Les belles chorégraphies seront cependant toujours présentes, et notre héros, droit, respectueux, et élégant (formidablement interprété par Donnie Yen), sera toujours appréciable à l'écran, mais "Ip Man 2" s'arrêtera là. La boxe occidentale vient se confronter à la boxe chinoise !
Le premier film de la saga Ip Man de Wilson Yip avait été une réussite totale et l’histoire se terminait avec la fin de l’invasion japonaise en Chine. On pouvait donc s’attendre à une suite et on l’a eu.
Ip Man 2, toujours réalisé par Wilson Yip, démarre très fort. En effet, on retrouve ce qu’il y avait d’excellent dans le premier opus : la musique de Kenji Kawai, ces scènes d’entraînement fabuleusement mis en scène par un Wilson Yip qui n’a pas son pareil pour iconiser un personnage (voir l’arrivée de Sammo Hung Kam-Bo dans le film), ces scènes de combat parfaitement bien filmées et rythmées et surtout Donnie Yen, qui livre une interprétation tout en plénitude dans un premier temps et en colère contenue dans le deuxième acte. Pendant une heure, Ip Man 2 enterre le premier opus, avec une dramaturgie très forte grâce aux apparitions de Siu-Wong Fan (excellent) et de Simon Yam et un climax sur une table dans un combat d’une vitesse incroyable entre Donnie Yen et Sammo Hung. Dans la deuxième heure, on retrouve un élément qu’on avait un peu oublié du film précédent : le nationalisme exacerbé du premier film réapparait ici en remplaçant les envahisseurs japonais par les britanniques à Hong Kong. Et là, le film suit étrangement la même trame scénaristique que Rocky IV, ce qui n’est pas forcément un énorme défaut étant donné la qualité du film sous-coté de Sylvester Stallone, mais on attendait forcément plus de la part de Wilson Yip, qui nous a habitués à mieux, bien évidemment. Il n’empêche que le combat final est encore une fois époustouflant, même avec le cabotin Darren Shahlavi.
Ip Man 2 est moins bon que le premier opus, certes. Mais c’est aussi un très bon film qui ne perd rien de sa force symbolique et de sa propension à divertir même le spectateur le plus difficile.
Cette brute de Donnie Yen revient avec un deuxième volet .Le budget est en hausse, la reconstitution des années 60 est réussie et quelques décors sont splendides alors que les combats sont toujours intéressant mais dans l''ensemble c'est toujours aussi mal filmé avec une multitude d'effet que l'on ne trouve même plus dans les Z. Et puis que dire d'un scénario qui tourne dans le ridicule le plus totale on a l'impression de revoir les films de la canon avec les Chinois à la place des Americains et les Anglais à la place des Russes, on en rigolerai presque tellement c'est navrant et cela en devient même gênant sur la fin tant la caricature est 1er degré et le nationalisme omniprésent. Bref c'est autant un biopic du réel Ipman qu'un Elvis contre les vampires ou un Ray Charles sur mars.
Autant le premier volet m'avais plu, autant cette fois ci, je suis vraiment déçu. On passe de scènes de combats innovatrices à des sauts de quinze mètres avec des chutes dignes d'un bétisier du jour de l'An. Ajoutez à ça l'acteur qui jouait dans "Un flic à Shanghai", la fameuse série de M6 ... sans oublier le grand costaud occidental carrément impossible à battre et vous obtenez "Ip Man 2". Je m'attendais à une bonne suite et au final, nous avons le droit à un bide. Je n'ai pas compris les nombreuses critiques positives et cela ne me donne pas du tout envie de voir la troisième partie. Lorsque l'on voit le petit Bruce Lee à la fin, on se demande si ce n'est pas une blague tellement les accoutrements sont exagérés. Seuls satisfactions : la prestation de Donnie Yen (une nouvelle fois) et l'essai de rester dans le même fil conducteur depuis le début. A part ça, rien. 9/20.
Ip Man 2 fait son Rocky 4 à lui. Une suite solide (supérieure diront certains). Je préfère le charme du 1er, et l'espace de l'action. Mais celui-ci reste au coude a coude, avec cette fois Sammo Hung (toujours au chorégraphie qui élève le film) dans un rôle nuancer, loin de l'antagoniste.
Qui sera finalement le gros défaut du film. Un méchant qui sera aussi imposant que sont manques de charisme (et d'écriture). Cela reste un superbe film et une suite de grande qualité. Qui brille encore grâce à Donnie Yen, clairement le must des films d'arts martiaux.