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Gengis Y
32 abonnés
476 critiques
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4,5
Publiée le 12 mai 2016
4.5/5 Ip Man 2 développe cette fois l'apprentissage des arts martiaux et le conflit entre diverses écoles de kung-fu. Donnie yen est toujours aussi parfait dans ce rôle qui rend tout de même un sacré hommage à Bruce Lee.
Une suite tout aussi basique d’un point de vue scénaristique que le premier opus, mais qui jouit de scènes d’arts martiaux efficaces et prenantes pour en faire un divertissement énergique.
Même si il est d’un poil moins bon que le premier, cette suite est une réussite, avec les anglais qui sont très méchants, et Ip man qui va s’occuper d’eux. Une sorte de Rocky 4 version chinoise en un peu moins bien. Une excellente suite.4.5/5.
Une énorme déception. Ip Man 2 est un attentat pour son prédécesseur, grandiose. Le film commence doucement, en conservant malgré tout l'esprit du 1er et bien que l'on s'agace rapidement du manque d'avancement dans l'intrigue, on apprécie la sérénité qui se dégage de chacune des scènes du film. Je souligne avec ce trait la véritable puissance de la réalisation, qui se teint de ce calme et de cette prestance qui sait toujours se faire fascinante, bien aidée par la prestation époustouflante de Donnie. Le naufrage tarde, mais se présente néanmoins, selon toutes craintes. Les scènes de combat deviennent exagérées, le scénario d'une lourdeur commune allant même jusqu'à provoquer un déphasage complet entre le début et la fin de l’œuvre. Un sévère déconvenue pour moi qui avait littéralement succombé au premier. Que motive réellement cette suite ?
La suite du parcours romancé du célèbre maitre de kung-fu suit, dans les années 60, son ouverture d’une école à Hong Kong. Le manque de charisme de Donnie Yen est compensé par la bonne chorégraphie des combats qui pullulent pourtant d’effets de ralentis assez grotesques. Le scénario n’a rien d’original, préférant s’axer autour d’un match dont l’issue ne laisse pas place au moindre doute qu’a développer la reconstitution histoire, les conditions de vie des chinois sous l’ère communiste est entièrement passé à la trappe au profit d’une intrigue sans enjeu. Ce film n’apport rien de nouveau à la tradition des wuxiapian sinon l’apparition, dans la dernière scène de l’introduction d’un nouveau héros, le tout jeune Bruce Lee.
Trop conventionnel pour au final décevoir, telles sont les pensées qui parsèment nos esprits à l'arrivée du générique qui clôture les aventures de maître Ip Man. A la suite d'un premier opus qui sortait invariablement du rang souvent barbant des films d'arts martiaux chinois, "Ip Man 2" se découvre comme étant très, voire trop classique et trop fidèle au genre pour ne malheureusement se distinguer d'aucune façon du reste des ces productions redondantes et peu inspirées. Là où "Ip Man" avait su instaurer un côté tragique magistralement bien exploité, 'Ip Man 2" bute en oubliant le travail des personnages secondaires pour ne finalement rester fixé que sur son personnage principal qui montre peu à peu des faiblesses de jeu. Avec ses faiblesses de fond étonnantes et un scénario où l'originalité a disparu, on a tout de même plaisir à savourer quelques combats réussis même si les quelques saut de trampoline exercés par les grands maîtres laissent quelques peu à désirer en comparaison du réalisme infaillible des premiers combats qui firent le succès de la saga à ses débuts. En résumé, "Ip Man 2" reste un divertissement d'art martiaux correct mais ne peut en aucun cas être comparer à son prédécesseur qui reste à ce jour la référence du genre. Bien que tout ne soit pas noir dans les attributs de ce long-métrage, comme l'incorporation d'autres grands maîtres dans l'histoire, la basicité entraînant l'utilisation d'un personnage aussi stéréotypé que le boxeur anglais ne parvenant pas à sortir du colonialisme est une honte pure et dure pour ce film qui méritait bien mieux.
Je garde un meilleur souvenir du premier IP Man. Le film tient dans les scènes de combat. nous retrouvons la belle esthétique des films asiatiques mais comme souvent il est difficile de s'y retrouver dans les trop nombreuses et trop longues scènes de blabla où on ne sait très vite plus qui est qui et qui veut quoi'quel est le contexte historique et qui est le fils de qui, la soeur de qui, le frére de qui au milieu de flash-back fatiguant.
Version sino-hongkongaise de David contre Goliath en mode jeu vidéo (didacticiel, boss intermédiaires, boss final). Rien de nouveau sous le soleil donc, mais le rendu n'est pas franchement déplaisant.
Cette suite n'apporte rien au premier et est en lui-même assez creux. Des combats impressionnants certes mais un côté politique assez caricatural tournant au ridicule. Pour les fans d'action.
Les suites ont souvent peu de choses à raconter. Mis à part les moments de combat, il n'y a pas grand chose d'intéressant. Ip Man reste néanmoins un homme humble et respectueux des valeurs des arts martiaux.