Mortal Kombat: Les Mandales Divines
Ah, "Mortal Kombat," ce nom résonne comme le cri de guerre d'un cosplayer prêt à en découdre. Laissez-moi vous dire, les amis, que ce film a autant de twists que le scénario d'un jeu vidéo des années 90. L'intrigue, c'est comme essayer de lire un manuel Ikea en mandarin après trois shots de tequila - vous avez vaguement une idée de ce qui se passe, mais ça finit toujours par s'effondrer.
Les combats, c'est le moment où ce film se transforme en une orgie de testostérone et de CGI, comme si Hulk avait décidé de se faire tatouer "Finish Him" sur le front. Les scènes de combat sont aussi percutantes qu'une manette de jeu lancée à la tête d'un tricheur. L'introduction stylisée, façon samouraïs nippons, vous donne envie de vous lever et de crier "Hadouken!" au milieu de la salle. Il faut juste être patient avant de ressentir à nouveau cette excitation, mais quand ça arrive, c'est comme si Pikachu avait évolué en Raichu.
Cependant, entre les bagarres, c'est un peu comme si les scénaristes avaient laissé un groupe d'écureuils sous l'effet du sucre écrire le script. L'histoire est plus simple que Mario pour les nuls : les bons gars de la Terre doivent botter les fesses des méchants de l'Outre-Monde avant qu'ils ne fassent de notre planète leur terrain de jeu. C'est comme une partie de Mario Kart où Bowser essaie de tout casser, sauf qu'ici, il n'y a pas de carapaces à lancer, juste des poings et des pieds. Le tout est tellement kitsch que ça ressemble à une convention Comic-Con après une soirée trop arrosée.
La dernière partie du film, mes amis, c'est comme si Thor avait enfin mis la main sur Mjölnir et décidé de botter des culs divins. Les personnages découvrent leurs "pouvoirs" spéciaux, et c'est comme si Iron Man avait enfin sorti son meilleur costume de fête. Les fatalities, ces mouvements de fin de partie sanglants, sont un festival de créativité gore. C'est un peu comme si Deadpool s'était mis à la danse contemporaine avec des épées tranchantes. Ça dépote plus qu'une partie de Mario Party entre amis.
Entre ces deux extrêmes, le film oscille entre le grandiose et le grotesque. C'est comme si Batman avait décidé de se déguiser en Robin des Bois pour une soirée costumée. Mais bon, dans l'ensemble, "Mortal Kombat" est un pur divertissement sans prise de tête. C'est comme un jeu de société avec des amis, où quelqu'un finit toujours par renverser le plateau en rageant. Un film qui vous fait dire, "Ouais, ça valait le coup."
En résumé, "Mortal Kombat" est un bordel total, mais c'est le bordel que vous attendiez. C'est un film qui vous met des baffes à répétition, comme si vous étiez dans un ring avec un catcheur en slip léopard. Alors, mettez vos casquettes de cosplayeurs, préparez-vous à des combats dignes de Goku et délectez-vous de l'absurdité sanglante de ce film. C'est plus fun qu'une soirée chez Deadpool, et c'est exactement ce que le docteur (Robotnik) a prescrit. Alors, foncez dans l'arène, chers fans de la déconne digitale, car "Mortal Kombat" va vous mettre KO, mais dans le bon sens du terme.
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