Avis : Mortal Kombat - Page 5

Alors je n'ai jamais joué aux jeux et je ne connais pas le lore, je ne jugerais donc pas l'adaptation. Mais le film en lui même n'est vraiment pas terrible. L'histoire en elle même est classique et n'est prétexte qu'au enchainement de combat ( logique dans un sens). Mais je n'arrive pas a savoir si le film se prend au sérieux ou si il est full second degrés. Car au delà des personnages clichés au possible, le film cherche également à caser toutes les répliques cultes ( jusque dans la VF où les finish him" ou autres restent en anglais) et souvent de acon très forcé. Et contrairement a un Godzilla vs Kong ( qui lui aussi a un scénarios très bancale), ici le visuel des affrontement ne compense que très rarement le reste.

Bon...connaissant l'univers du jeu et ayant vu la première version des années 90, il ne fallait pas s'attendre à un chef d'oeuvre. De meilleurs effets spéciaux et quelques combats bien ficelé ne font pas tout....c'est dommage car le début était intéressant.

Voilà un film que j'attendais avec impatience tant les bons films d'arts martiaux se font rares de nos jours ! Profonde erreur, my bad, il s'agit d'une synthése, enfin un essai de synthèse, entre jeu vidéo, japon médiéval, arts martieux et super heros. C'est justement le côté super pouvoirs qui m'a gonflé. Autant les premières productions Marvel m'avaient enchantées (j'étais fans des premières BD Marvel et Strange dans ma lointaine jeunesse) autant maintenant je n'en peux plus... un peu comme les films de zombie. Dès qu'un filon fonctionne on vous en sert jusqu'à la cirrhose du foie et on enterre rapidos le genre pour 3 siècles. Perso ce moment est venu et comme les super pouvoirs sont omni présents dans ce "mortal kombat" (avec en plus des FX très moyens) ca nous fait 1 / 5

Pour moi c'est un peu la meme chose que les versions des annees 90, avec des meilleurs effets speciaux et a peine des meilleurs acteurs. Ca se regarde. Ma critique n'est pas accepter et pourtant il est deja sortis.

La déception est immense, ce film a des allures de fan made, et est doté d'une tristesse scénaristique absolue.

J’ai bien aimé . Certaines critiques sont sévère du coup je m’attendais à du très mauvais et au final j'ai passé un bon moment. Après ça reste une grosse introduction au futurs films. Juste les voix des jeux mal placées

On ne va pas se mentir je ne m’attendais pas à un chef d’œuvre du cinéma avec cette nouvelle adaption du jeu vidéo a succès après les inénarrables Nanars des années 90. Est ce que ce nouveau Mortal Kombat est un bon film? Non! Est ce que c’est mauvais ? Même pas! Le plus dommage c’est qu’il ne semble pas avoir compris ce qui a fait le succès de la licence sur consoles à savoir un plaisir régressif de sales gosses qui se défoulent en tuant son ennemi de la manière la plus sale possible. Ce nouveau Mortal Kombat se vautre à mon sens en se prenant au sérieux mise à part le personnage de Kano qui enchaîne lui les vannes lourdes et se trouve être insupportable. Le film essaie de créer une histoire et des enjeux alors que l’on s’en fiche royalement, pour le coup on est pas là pour ça. Et puis concernant les fameux combats, rien de bien exceptionnel en tout cas rien qui n’arrive à égaler l’amusement que peuvent procurer ceux des jeux ( à part peut être la scène d’introduction assez réussie). Bref ça n’est pas honteux mais ça aurait dû être bien plus divertissant.

Rallumer une console, des souvenirs, des combos mortels… Un soupçon de plaisir jouissif se dessine dans l’antre de la Warner et qui semble mettre un point d’honneur à regrouper ses figures emblématiques sur la même scène. Exit les kaijus, retour au jeu de combat révolutionnaire, qui a déjà connu deux adaptations live-action, dont on ne retiendra que le rire perfide d’un Christophe Lambert, en harmonie avec son décalage. Mais pas question de reproduire un aussi gros bide pour Simon McQuoid, sur les rails d’un reboot et d’une nouvelle franchise. Mais face à la fatalité de la situation, son engagement témoigne d’un manque de discernement. Avec un catalogue de personnage aussi fourni, il ne restait plus qu’à en caractériser un minimum, d’élaborer des décors audacieux et de créer des interactions qui flirtent avec le second degré de l’humour noir. C’est donc à se demander si un aussi banal cahier des charges aura été pris au sérieux ou si jeter un cinéaste aussi peu expérimenté pourrait dédouaner le studio, afin de prévenir un nouvel aveu d’échec.

Et bien, c’est un méli-mélo d’arguments qui ne sont pas miscibles et qui se répondent encore moins lorsqu’on essaye de s’attaquer au cœur du sujet : l’action. Certains ne retiendrons que les combats et ce serait déjà un point fort de l’intrigue, qui tente en vain d’intéresser sa fidèle audience ou les plus grands curieux. Inutile de faire un rappel sur le mouvement, mais ce sont pourtant les choix de cadrages qui poussent les affrontements à une visibilité en deux dimensions, comme s’il fallait absolument restituer l’angle des téléviseurs. Il nous est rarement permis de nous engager dans un point de vue assumée, alors que les poings ou les pouvoirs ne sont pas les seules armes du jeu. Sur ce terrain, Kano (Josh Lawson) domine l’ensemble des rôles, pour la simple raison qu’il se rapproche le plus de l’âme des jeux et de l’esprit du personnage, hautement vulgaire, gras et vicieux. Lui seul, semble être conscient d’un aspect méta, qui ne sera qu’à peine exploité, voire effleuré, par crainte de heurter la sensibilité de ceux qui ont alterné ont tant souffert dans l’arène.

C’est pourquoi le héros principal du récit ne trouvera ni la grâce, ni le souffle d’éveiller la rage et l’aura qu’entourent sa personnalité. Nous sentons que Lewis Tan a du mal à incarner Cole, vraisemblablement le descendant et messager direct d’une saga qui cherche à creuser sa place à Hollywood. Un autre personnage, servi en caméo, aurait d’ailleurs mieux fait l’affaire à ce sujet. Il est donc le réel poids d’un premier volet qui ne prend ni la peine d’exposer ou de conclure correctement son cycle. En échange, on nous rabâche les vertus familiales, craignant de manquer d’empathie ou peut-être d’humanité, dans une lutte qui doit déterminer le sort de la Terre. La présence de Sonya Blade (Jessica McNamee) justifie tout un protocole de légitimité, en cherchant l’approbation de ses pairs masculins et du public par la même occasion. Le film ne cesse donc jamais de faire un pas en retrait, mais trop tard, la musique techno-pop vient tout juste de déclencher une lecture convenue d’une cinématique, qui n’a pas plus d’ambition que de présenter ses règles et non sa foi envers la résurrection de vauriens, prêts à en découdre.

Héros ou vilains, tel est la question. Nous n’aurons pas forcément le temps ni l’envie, à présent, de nous investir dans une quête que le studio confond avec le fan service. Ni la sagesse de Liu Kang (Ludi Lin), ni la légèreté de Raiden (Tadanobu Asano), ni la pression glaçante de Sub-Zero (Joe Taslim) ne relèveront le défi du « Mortal Kombat », inexistant dans le fond et la forme. Et le plus triste dans cette affaire, c’est que le camp de l’Outworld soit sévèrement amputé de sa cruauté et de sa crédibilité, rendant ainsi impossible de croire aux enjeux de personnages qui laissent l’aléatoire dicter le prochain coup qu’ils donneront ou recevront. L’intrigue est face à un miroir, trop épais, pas assez jubilatoire et surtout peu inspiré, en dehors d’un déluge graphiquement figé dans la glace.

Ce nouveau « Mortal Kombat » commence sur des bases tonitruantes... mais se révèle clairement destiné aux inconditionnels du jeu vidéo. En effet, ces derniers y retrouvent les combattants qui ont fait le succès de la franchise... dans une débauche d'affrontements hyper violents et parfaitement mis en valeur par des effets spéciaux particulièrement soignés. Il est donc très vraisemblable que les fans prendront un grand plaisir à le visionner. Les autres (comme moi), seront sans doute un peu décontenancé par la minceur du scénario qui tient, il faut bien l'avouer, sur un (petit) timbre poste. Certes, les créatures qui peuplent cette œuvre étrange ont un design intéressant et les affrontements sont suffisamment stylisés pour qu'on ne s'ennuie pas un instant... mais le manque de profondeur se fait tout de même lourdement sentir et on se prend à rêver d'un second opus... doté d'une histoire suffisamment travaillée pour plaire à un plus large public. En attendant, je préfère laisser la place aux vrais « gamers ».

Adapter ce jeu-vidéo de combat laissait présager un scénario des plus légers et c’est bien le cas ! Aucune profondeur dans l’étude des personnages, aucune histoire annexe, rien qui pourrait surprendre le spectateur. Cependant, les combats sont bien exécutés, bien filmés et s’enchaînent bien.

Avec les moyens de l'époque on ne pouvait clairement pas faire pire que le film sorti dans les années 90, les personnages sont mieux développés, l'intrigue est élargie au mieux. Les effets spéciaux sont bien exécutés.

Moins ridicule que redouté, les combats sont plutôt bien faits et les acteurs corrects pour que le contrat soit rempli.

Le début est très prometteur mais la fin est un peu ratée.
Certains acteurs jouent mieux que d'autres.
Scorpion et sub zero sont bien choisis par contre c'est une déception pour raiden et lui kang.

Un remake sans âme doté d'une mise en scène de série b avec des effets spéciaux ratés et un scénario tiré par les cheveux. Sans oublier des personnages invisibles. Même les scènes de combat passent pour pas grand chose alors qu'on aurait pu espérer beaucoup mieux pour un film de ce genre.

Un nanar de luxe ! L'introduction annonçait pourtant le meilleur même en terme de réalisation, tant la rivalité entre Sub-zero et Scorpion est bien foutue. La suite fait redescendre de plusieurs niveaux pour ramener finalement au niveau de l'original des années 90 : autrement dit, une galerie de personnages caricaturaux se retrouvant pour un tournoi entre forces du mal et forces du bien. C'est tiré d'un jeu vidéo brutal de combat donc je ne m'attendais pas à un scénario fou, mais à mieux surtout vu la promotion. C'est niais mais gore, du coup je ne vois pas trop à qui ça s'adresse à part un public de niche : les amateurs du jeu ? Ils devraient bien apprécier ; les amateurs de gore et/ou de combat ? Un peu les amateurs de cinéma ? Pas du tout.