Si le postulat de départ pouvait prétendre à quelque chose d'intéressant, suivre une bourgeoise parisienne mal baisée en mal de sensations est assez pathétique... On nous laisse croire que finalement la prostitution c'est plutôt pas mal et bien vécu... Boff
Film creux, dialogues d'une banalité affligeante et Juliette Binoche à côté de la plaque... Que reste-t-il ?
Pas grand chose, une mention tout-de-même pour les 2 jeunes actrices qui elles, jouent plutôt pas trop mal
oh la la quel film pessimiste et qui ne donne pas envie d'être en couple !!! c'est une drôle de façon de voir l'amour, poussé à l'extrême et j'ose espérer pas général !!! les jeunes qui se prostituent aiment avant tout le gain d'argent facile... les hommes ne sont pas respectueux de ces filles là qui je pense pourrait gagner de l'argent autrement .... nul !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Vraiment pas bon! Je suis désespéré par le jeu de Juliette Binoche! Le sujet n'est finalement pas traité, ou traité d'une façon qui laisse dominer un aspect positif de la prostitution étudiante.
Superbe film qui m'a beaucoup touchée... Les actrices jouent à merveille. J'aurai juste voulu connaître un peu plus le passé de cette femme jouée par Juliette Binoche... Qu'a t'elle vécu ? Qui est cet homme à l'hôpital ? J'ai une idée mais il aurait été judicieux d'emmener un peu plus le spectateur dans la vie de cette femme.
Un film où je redécouvre juliette binoche. Son talent énorme monopolise petit à petit l'écran et la réalisatrice en oublie son sujet de départ pour nous montrer un portrait d'une bourgeoise mal baisée... La scène du repas est vraiment hilarante mais la scène finale laisse un goût d'inachevé... Mention très bien pour la meilleure actrice française de sa génération : Anaïs Demoustier. En espérant qu'elle est une aussi belle carrière que juliette...
Les femmes sont elles toutes des putes et les hommes tous des salauds. Tel pourrait être la thèse du film. Mais le sujet est traité de façon arrangée. Finalement cela n'est pas si grave de se prostituer. Bon film sans plus
Grosse déception et surtout gros ennui pendant la séance. Le postulat de départ était pourtant très intéressant (la prostitution estudiantine) mais la forme se révèle aussi superficielle qu'insipide, à l'image selon moi du magazine (Elle) pour lequel travaille J. Binoche. On sent cette dernière un peu paumée dans un certain nombre de scènes sans intérêt qui relèvent plus du remplissage qu'autre chose. Binoche qui remplit le frigo, qui prépare ses St Jacques, qui tape à l'ordinateur... Seule A. Desmoustiers s'en tire plus qu'honorablement mais sa prestation ne suffit malheureusement pas à relever l'ensemble.
Primo : les prostituées occasionnelles (ici, des étudiantes désargentées) peuvent prendre du plaisir avec leurs clients. Secundo : lesdits clients ne parlent pas que de sexe avec leurs aimables hôtesses. Fantastiques révélations qui vont bouleverser la vie d'une journaliste entre deux âges, médiocrement interprétée par Juliette Binoche. "Elles" est un film anémique, et j'en suis désolé pour Malgorzata Szumowska, avec pas mal de scènes pour le remplissage (remplissage... du réfrigérateur, entre autres). Quelques brèves séquences érotiques dans le style "soft porn", l'intrusion de la musique classique (Beethoven, Mahler, Vivaldi, excusez du peu) ne suffisent pas à dissiper l'ennui. Sur la prostitution occasionnelle, "Deux ou trois choses que je sais d'elle" (Jean-Luc Godard, 1967) était autrement plus convaincant.
Elles est un très mauvais film. On dirait un téléfilm, tous les acteurs jouent mal quasiment. Encore un film sur la prostitution étudiante ? Oui. Les scènes sexuelles sont montrées de manière crue et injustifiée. C'est indigeste. Il ne suffit pas de mettre de la musique classique tout du long pour faire un grand film. Ne perdez pas votre temps à le regarder. On vous conseillera plutôt Sleeping Beauty ou le téléfilm français Mes chères études avec Déborah François qui est bien au-dessus.
Le sujet est vraiment mal abordé et traité. Une histoire inexistante. Un jeu d'acteur juste sauve le film d'un naufrage mais frustre tant il y avait de la place pour faire mieux.
Les trois actrices jouent merveilleusement bien et la réalisatrice arrive à nous faire douter de nos convictions sur la prostitution. Mais après ? Le sujet abordé est difficile et je reconnais qu'il est plutôt bien traité. Mais que devons-nous en déduire ? Le film apporte plus de questions que de réponses ... Je ne sais plus trop quoi penser. Je dirais qu'on peut conclure trois choses de ce film : - seulement un aspect de la prostitution est traité - notre société est peut-être la cause de la prostitution - la scène de fin à quelque chose de magique et d'irréaliste
Airs de documentaire porté par 3 portraits de femmes singuliers. Un bobo parisienne coincée dans sa vie monotone, pour ne pas dire mer*****. Deux étudiantes se prostituant pour subventionner leurs études; l'une garde les pieds sur terre, l'autre semble se noyer dans le faste. Jusque là, sous le prétexte maladroit d'une journaliste les interviewant pour construire un article sur ce phénomène peu mis en avant, tout va à peu près. D'autant qu'on se rend compte qu'au final, être mère au service de tous les hommes de la famille (ménage, cuisine ou encore massage de pieds repoussants), c'est pas un peu de l'exploitation de corps ?
Parce que, malgré les efforts de réalisation (Lola dans un cadre naturel car est elle même sobre contre Alicja dans un cadre opulent car les rentrées d'argent cette activité lui cachent les tourments psychologiques, ou l'accord des vêtements au décor pour que la femme s'y intègre à merveille), c'est maladroit.
Ce long-métrage expose les tenants de cette activité mais au final peu les aboutissants tels que les dépenses à outrance ou le rapport aux substances peu licites. A la place on nous balance des scènes obscènes à la pelle; c'est bon, on a compris qu'être prostitué c'est peu ragoûtant, pas besoin de nous forcer à voir du vioc se faire plaisir toutes les 10 minutes. Sans compter les métaphores culinaires grossières à souhait : hmmm de la bonne coquille Saint Jacques humide et gluante... bref. On finit par vite tourner en rond, surtout qu'à la fin, bah, notre journaliste semble reprendre sa triste vie comme si rien n'avait eu lieu.
C'est assez bien joué dans l'ensemble, juste le rire de Juliette Binoche qui me terrifie toujours autant et le regard de cougar d'Alicja dans son appart qui finit par devenir ridicule tellement elle force. Et le fils aîné, dites moi que c'est une caricature svp.
Des intentions louables en somme, une volonté d'exposer le quotidien de (sûrement nombreuses) jeunes femmes devant se prostituer pour arriver à joindre les deux bouts. Néanmoins, la dimension documentaire prend rapidement le pas sur ce qu'est censé être ce long-métrage à l'origine; un film avec des personnages singuliers. On expose de nombreuses facettes de cette activité, mais toujours fugacement et maladroitement, on ne va pas se le cacher; quoi de plus banal que de procéder à des interviews pour découvrir leur parcours ? On dirait aussi que ce thème était un prétexte pour montrer des paires de fesses toutes les 10 minutes, heureusement que ça ne dure qu'1h30...
Juliette Binoche aux toilettes, Juliette Binoche n'arrive pas à fermer son frigo. Ennuyeux à souhait, ces scènes sont les seules qui m'ont marqué. SUjet grave, mais traité superficiellement. Ce film est vraiment sans intérêt: à part pour la bande son de fin : la symphonie n°7 de Beethoven.
Un potentiel énorme mais un résultat très moyen. Le commencement est prometteur, le rythme lent, la 7° Symphonie, le jeu des acteurs nous fait entrer dans le film. Cependant, l'intrigue se perd en route, les personnages se sont au final que peu traités et on arrive sur un final à la fois rageant et néant. On aurait imaginer que le mari voit une des deux filles, ou assister à un réel changement chez la protagoniste...