Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Monde
par Noémie Luciani
(...) si le résultat semble témoigner d'un désir très réel de rendre justice au conte de fées, il garde quelque chose du travail de fin d'études (...) Après avoir voulu réconcilier obscénité et vertu, c'est à l'union de l'efficacité et du bon goût que Madonna s'attaque : une fois encore, sans gloire ni déshonneur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Passons rapidement sur les enjeux dramaturgiques très ténus (...) et les approximations historiques pour saluer en revanche une mise en scène à l'esthétisme raffiné.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Long aveu de fascination, ce "W.E." séduit par sa sincérité. Pour lui donner un peu plus d'ampleur — car célébrer la classe de Wallis Simpson et de son univers est un peu court —, Madonna ajoute une jeune femme d'aujourd'hui, Wally. (...) Il s'agit de rester dans la beauté. Celle des actrices (...) est captivante mais ne sauve pas la partie contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Nicolas Maille
Dénuées d'âme, les images de Madonna, aussi affriolantes soient-elles, restent frigides. Un comble, quand il s'agit de raconter une romance pleine de passion.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
La froideur du film est à la hauteur de son manque de simplicité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
"W.E." est à l'image de sa réalisatrice : prétentieux et tape-à-l'oeil.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Louis Roux
Le souffle romanesque de deux "grandes histoires d'amour" croisées est étouffé par la réalisation empesée de Madonna.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
[Madonna] ne parvient jamais à traduire à l'écran la fièvre et la passion qui ont scellé le destin de ce couple. (...) Malgré l'engagement qu'y mettent les interprètes, ce mélodrame ne parvient pas sortir du carcan d'un long clip sophistiqué. Et mièvre.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Christophe Narbonne
Pourquoi (...) contourner le sujet au lieu de l'aborder frontalement ? (...) Très chorégraphiée, la mise en scène alterne passé et présent avec une certaine fluidité, tout en affichant un fétichisme et une joliesse qui confinent au kitsch.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Uriell Ceillier
Madonna réécrit l'Histoire britannique à sa façon, avec romanesque. Mièvre, son deuxième film comme réalisatrice (...) ressemble à une vitrine publicitaire. Reste une mise en scène élégante.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
"W.E." ressemble à un mauvais clip des années 90 qui singerait la supposée noblesse du cinéma grain artificiel de l'image, plans poseurs wannabe artistes, construction alambiquée (…...). Mais surtout Madonna n'a aucun point de vue (sinon un vague féminisme qui enfoncerait le clou du cliché " c'est dur pour les femmes ")"
CinemaTeaser
par Joseph Sitael
Le projet a incontestablement des allures de caprice (...) et s'avère incapable de transcender cet état de fait.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
Ampoulé, incohérent et pompeux, même Madonna paraît ne pas savoir où elle veut aller.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par Alain Grasset
Il mélange malencontreusement deux histoires parallèles : celle de Wallis et Edouard et celle d'un couple d'aujourd'hui qui se déchire... On s'y perd dans un labyrinthe de flashback. Au risque d'abdiquer à notre tour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Metro
par Mehdi Omaïs
Jonglant entre les époques sans fluidité, la queen of pop noie ses personnages mielleux dans une mare d'effets kitchs.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Télérama
par Romain Blondeau
Pour son deuxième essai au cinéma (...), Madonna croise ces deux histoires de femmes sacrifiées (la vraie et l'imaginaire) dans un biopic hyperdécoratif, criblé d'effets chics de mise en scène et de maladresses d'écriture. Où l'indéniable ambition romanesque se conjugue à une forme d'aveuglement historique (...) et à un mauvais goût de tous les instants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
(...) si le résultat semble témoigner d'un désir très réel de rendre justice au conte de fées, il garde quelque chose du travail de fin d'études (...) Après avoir voulu réconcilier obscénité et vertu, c'est à l'union de l'efficacité et du bon goût que Madonna s'attaque : une fois encore, sans gloire ni déshonneur.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Passons rapidement sur les enjeux dramaturgiques très ténus (...) et les approximations historiques pour saluer en revanche une mise en scène à l'esthétisme raffiné.
Télérama
Long aveu de fascination, ce "W.E." séduit par sa sincérité. Pour lui donner un peu plus d'ampleur — car célébrer la classe de Wallis Simpson et de son univers est un peu court —, Madonna ajoute une jeune femme d'aujourd'hui, Wally. (...) Il s'agit de rester dans la beauté. Celle des actrices (...) est captivante mais ne sauve pas la partie contemporaine.
Critikat.com
Dénuées d'âme, les images de Madonna, aussi affriolantes soient-elles, restent frigides. Un comble, quand il s'agit de raconter une romance pleine de passion.
La Croix
La froideur du film est à la hauteur de son manque de simplicité.
Le Journal du Dimanche
"W.E." est à l'image de sa réalisatrice : prétentieux et tape-à-l'oeil.
Les Fiches du Cinéma
Le souffle romanesque de deux "grandes histoires d'amour" croisées est étouffé par la réalisation empesée de Madonna.
Ouest France
[Madonna] ne parvient jamais à traduire à l'écran la fièvre et la passion qui ont scellé le destin de ce couple. (...) Malgré l'engagement qu'y mettent les interprètes, ce mélodrame ne parvient pas sortir du carcan d'un long clip sophistiqué. Et mièvre.
Première
Pourquoi (...) contourner le sujet au lieu de l'aborder frontalement ? (...) Très chorégraphiée, la mise en scène alterne passé et présent avec une certaine fluidité, tout en affichant un fétichisme et une joliesse qui confinent au kitsch.
Télé 7 Jours
Madonna réécrit l'Histoire britannique à sa façon, avec romanesque. Mièvre, son deuxième film comme réalisatrice (...) ressemble à une vitrine publicitaire. Reste une mise en scène élégante.
Cahiers du Cinéma
"W.E." ressemble à un mauvais clip des années 90 qui singerait la supposée noblesse du cinéma grain artificiel de l'image, plans poseurs wannabe artistes, construction alambiquée (…...). Mais surtout Madonna n'a aucun point de vue (sinon un vague féminisme qui enfoncerait le clou du cliché " c'est dur pour les femmes ")"
CinemaTeaser
Le projet a incontestablement des allures de caprice (...) et s'avère incapable de transcender cet état de fait.
Ecran Large
Ampoulé, incohérent et pompeux, même Madonna paraît ne pas savoir où elle veut aller.
Le Parisien
Il mélange malencontreusement deux histoires parallèles : celle de Wallis et Edouard et celle d'un couple d'aujourd'hui qui se déchire... On s'y perd dans un labyrinthe de flashback. Au risque d'abdiquer à notre tour.
Le Point
Voir le site du Point.
Metro
Jonglant entre les époques sans fluidité, la queen of pop noie ses personnages mielleux dans une mare d'effets kitchs.
Télérama
Pour son deuxième essai au cinéma (...), Madonna croise ces deux histoires de femmes sacrifiées (la vraie et l'imaginaire) dans un biopic hyperdécoratif, criblé d'effets chics de mise en scène et de maladresses d'écriture. Où l'indéniable ambition romanesque se conjugue à une forme d'aveuglement historique (...) et à un mauvais goût de tous les instants.