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    2 Days In New York
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    3,0
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    382 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 décembre 2012
    Impossible de faire mieux que l'épisode à Paris, mais on passe de bons moments et on excuse les quelques faiblesses. Qu'il est plaisant de retrouver cette petite famille au gré de différents films de Julie Delpy, on s'en croirait presque membre.
    kinophil
    kinophil

    20 abonnés 262 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 décembre 2012
    Succession de saynètes sur un rythme un peu hystérique, mettant en scène des personnages décrits de manière très caricaturale et assez agaçants. L’épisode parisien était léger, drôle, agréable, celui-ci est lourdingue, bruyant, gratuitement vulgaire, et plein de clichés. Se laisse regarder mais parfois on frôle l’overdose.
    Joe75
    Joe75

    37 abonnés 316 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 décembre 2012
    Il s’agit donc de la suite de “Two days in Paris”, pour ceux qui l’ont vu, mais on arrive à se raccrocher aux wagons même si on a loupé le 1er.
    Mario, une jeune photographe française, vit désormais à New-York avec son nouveau boy-friend, Mingus, animateur de radio locale. Leur petite famille, recomposée de leurs rejetons respectifs, mène une vie à peu près normale jusqu’à ce que débarque pour quelques jours la famille de Marion, à savoir le Papa, la frangine, le copain de la frangine (au passage un ex de Marion).

    Et quand la France débarque en Amérique, elle tient à faire en sorte que l’élégance, le raffinement, la culture qui caractérise les habitants du Vieux Continent marquent à jamais de son empreinte le pays du Mc Do et des péquenauds US… A moins que ce ne soit le contraire.

    Perso, avec le recul, même s’il y a des passages marrants et un petit côté que tout le monde s’accorde à rapprocher de l’univers de Woody Allen, je n’ai pas vraiment accroché. Julie Delpy a tellement grossi le trait sur les défauts des Français qu’à côté de sa propre famille, même les bidochons passeraient pour un modèle de distinction. On serait donc, au choix : sales, nymphos, vandales, idiots, junkys, incultes, anglophobes et j’en passe, juste bons à faire des pitreries grotesques devant des New-Yorkais érudits et condescendants…Mouaih…

    Reste néanmoins quelques bons gags et un Chris Rock qui relève fincement le niveau d’une comédie un peu trop grasse à mes yeux.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 novembre 2012
    Ratage total après l'excellent épisode à Paris. Humour lourdingue, clichés à tout va, platitude des situations : n'en jetez plus ! A fuir.
    NewBoorn
    NewBoorn

    60 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 novembre 2012
    2 days in New York a beau être un divertissement plus que convenable, l'ensemble fait seulement sourire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 novembre 2012
    Hilarant ! Ce film est à voir ! Et encore plus si on a une famille bien franchouillarde et que c' est pas facile tout les jours ;) il faut pas hésité c' est à mourir de rire. Bien tourné, bien monté et de bons acteurs.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 8 novembre 2012
    Moins réussi que l’escapade parisienne, on a l’impression ici de voir les ficelles. L’ensemble sonne un poil faux et frise la caricature. On peut également regretter le fait que là où à Paris le couple était central, on se recentre à NY beaucoup trop autour du cul. Même si on a rien à dire sur la prestation de Chris Rock, je reste déçu de ne pas retrouver Adam Goldberg à l'écran, même en clin d’œil. Essai non transformé.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 octobre 2012
    Que ça fait du bien de rire fort sans se soucier des autres. Autres qui pour la plupart semblaient rire autant que moi de toute façon ! Julie Delpy arrive encore une fois à jouer avec les stéréotypes pour taper - avec douceur - autant sur les new yorkais que sur les français. Elle arrive à faire tenir les gags entre eux, sans les isoler ce qui aurait eu pour effet de fatiguer au bout d'un moment. Les idées scénaristiques qu'elle plante au fur et à mesure de l'intrigue arrivent quasiment à chaque fois à un paiement efficace, drôle et/ou touchant. Je me suis surpris à apprécier cette famille de malades. En général je me cache lorsqu'un personnage fait quelque chose de gênant, dans ce film ce n'était pas entièrement le cas : j'arrivais à suivre les *conneries* de Père Delpy, et presque celles de l'indésirable Manu. Presque, hein. Rien à signaler de plus sans me mettre à détailler toutes les scènes qui m'ont plu. Si vous hésitez à vous faire une sortie ciné, n'ayez pas peur de choisir le léger Two Days in New York de la talentueuse Julie Delpy.

    Source : Plog Magazine, les critiques des ours
    http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/03/2-days-in-new-york.html
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 14 octobre 2012
    La famille de l'héroïne, comme dans "2 Days in Paris" sont plus agaçants que drôles, et leur brouhaha incessant devient à la longue fatiguant. On plaint le pauvre Mingus (Chris Rock), et même Marion (Julie Delpy) qui est censée être la pauvre héroïne que l'on plaint de supporter de tels énergumènes, devient vite une tête à claques. Déçue par ce film, même s'il se laisse regarder pendant une soirée où l'on n'a rien de particulier à faire.
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 octobre 2012
    Je n'ai pas vu "Two Days in Paris", ni à sa sortie, ni depuis ; je n'ai d'ailleurs vu aucun des films réalisés par Julie Delpy, et s'ils présentent l'intérêt d'un regard neuf, mes commentaires enfonceront peut-être des portes ouvertes pour ceux qui ont vu la première comédie sentimentale (plus comédie que sentimentale) de la réalisatrice franco-américaine. "Two Days in New York" se présente comme la suite de l'opus parisien, même si les aléas de la vie (décès de Marie Pillet, la mère de Julie Delpy qui jouait la mère de Marion) ou de la production (Adam Sandler laisse sa place à Chris Rock, Julie Delpy voulant éviter que cela rappelle trop l'autre dyptique au scénario duquel elle a participé, "Before Sunrise"/"Before Sunset") conduisent à des changements importants dans la vie de Marion, expliqués dans une scène introductive où elle présente sa famille recomposée à l'aide de marionnettes (les créatures de Marion ?).
    Ce match retour se joue donc à New York, et le mécanisme déclencheur du décalage culturel ne sera plus celui de la jalousie d'un américain phobique confronté aux ex de sa compagne française, mais l'irruption de ce que Julie Delpy elle-même qualifie d'anarchistes gaulois au pays du politiquement correct. Mingus, son nouveau compagnon, fait partie de la nouvelle bourgeoisie noire, et ce n'est pas un hasard s'il a un portrait en carton d'Obama grandeur nature avec qui il converse dans son bureau. Journaliste à The Voice, il anime aussi une émission de radio, et espère pouvoir interviewer le président quand celui-ci viendra à New York. Loin de la caricature du black amateur de rap, il manifeste son adhésion à l'american way of life par son rejet des joints, des éclats de voix et de l'impudeur, autant de caractéristiques qui définissent sa belle-famille.
    Le père de Marion et le copain de sa soeur, et accessoirement son ex non prévu au voyage, restent bloqués quatre heures à la douane pour avoir essayé d'introduire en fraude 15 kg de saucisses et de figatelli. Voilà qui nous donne une idée de la subtilité du scénario, particulièrement quand il s'agit de la famille de Marion, puisqu'au père qui raye les limousines et au petit copain qui fait venir un dealer dans l'appartement de Marion, il faut ajouter la soeur exhibitionniste et hystérique qui exerce le beau métier de psychologue scolaire. On ne choisit pas sa famille, dit le proverbe ; Julie Delpy avait cette liberté, le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle ne l'a pas gâtée.
    A l'époque de "Two days in Paris", Julie Delpy disait : "Croyez-moi si vous voulez, mais les seuls qui en aient un peu pris ombrage, ce sont les Français : il y a une vieille tradition en France qui fait qu'on ne critique pas les défauts des Français. Les Français sont parfaits, c'est bien connu !" Facile de reprocher aux spectateurs français leur chauvinisme et leur manque d'humour, surtout quand cela évite de s'interroger sur la lourdeur de certaines scènes basées uniquement sur des clichés (le père qui ne se lave pas, le beauf sans-gêne, la soeur donneuse de leçons) et sur le jeu catastrophique d'Albert Delpy. Les travers des Américains sont présentés avec plus de finesse, comme le revirement apitoyé de la voisine qui s'apprêtait à demander l'expulsion de Marion lorsque celle-ci lui apprend qu'elle a une tumeur de la même nature que la mort de la mère d'Antoine Doinel, ou l'inquiétude de Mingus devant la morbidité du déguisement d'Halloween de sa fille.
    Débarassée de la famille d'envahisseurs insupportables, l'histoire comporte un certain nombre de bonnes idées, comme la vente aux enchères conceptuelle de l'âme de Marion, ce qui nous vaut une apparition de Vincent Gallo, ou une scène assez savoureuse basée sur la traduction approximative par Manu de la conversation entre Jeannot et Mingus, même si certaines de ces idées ne sont pas exploitées jusqu'au bout, comme celle du personnage de Lukas (Daniel Brühl) qui apparait à la télévision comme la Fée des chênes, un activiste écologiste qui grimpe dans un arbre de Central Park pour en empêcher l'abatttage (idée déjà vue dans " Little New York").
    La principale qualité du film, certes importante, réside dans l'indéniable sens du rythme dans l'écriture et le montage, symbolisé par la bonne idée de résumer la visite touristique de New York par un diaporama accéléré. Les scènes s'enchainent, les répliques fusent, et on oscille entre la référence à Woody Allen (pour la diarhée verbale des personnagse et la place du décor New Yorkais) et les sitcoms (pour la platitude frontale de la réalisation et le jeu de certains acteurs). Mais cette énergie et la drôlerie de certaines situations ne suffisent pas à faire oublier le sentiment de gêne que l'on éprouve trop souvent devant tant de balourdise.
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    CarpeDyem
    CarpeDyem

    15 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 octobre 2012
    Même si ce film n'échappe pas aux traditionnels clichés Américains/Français, même si la deuxième partie du film est beaucoup moins fluide que la première, il faut reconnaître à Julie Delpy un certain talent de narration. Parce que ses dialogues font mouche, parce que son père est tordant, parce que Chris Rock et parce que raconter un morceau de vie assez simple avec une réussite certaine, ce n'est pas donné à tout le monde.
    XIV
    XIV

    1 abonné 223 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 octobre 2012
    j adore les dejantés , Julie delpy rivalise avec son drôle de père dans ce film, décalé ou le linge sale se lave en famille mais devant nous...
    Demogorgon
    Demogorgon

    28 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2012
    Bourré de clichés culturels grossiers, se la pète un tantinet et souvent surjoué par ses comédiens mais qu'est-ce qu'on rigole (ou pas) !
    Par contre on peut facilement être déconcerté par la manière de filmer façon "caméra au poing", et des scènes trop bavardes et bruyantes; moi je m'y suis difficilement fait...
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2012
    Match retour de 2 days in paris,oui mais Julie Delpy reste bien plus a l'aise avec la mise en scène de sa famille qu'avec les autres sujets qu'elle touche.Le film n'est pas exempt de défauts,tant visuels que dans la facilité d'écriture de son scénario quasi inexistant.Mais l’écriture des dialogues de Delpy reste en phase avec le monde contemporain.Se mettre en scène c'est ce qu'elle fait de mieux,même si le film peine gravement dans sa dernière demi heure,qui aurait mérité d’être mieux écrite et plus appliqué.Ça me fait penser a une annotation de prof a des capacités mais a trop tendance a se reposer sur ses lauriers.C'est juste ce que fait Delpy,avec du boulot elle pourrait faire bien mieux que ses petits films familiaux.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 septembre 2012
    Voici un film qui aurait pu être un bon film, malheureusement le cliché sur les français (la nympho, jaloux des riches, profiteur, grossier, etc . ) n'apporte rien. Le contraste avec les NY propres, intellos, distingués, etc ... Si la réalisation avait été faite par un américain que n'aurions nous dit !!

    Sinon le rythme est bon et il y quelques bons moment.
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