Un film original et parfois très drôle même si c'est exagéré à certains moments! J'ai préféré 2 days in Paris mais c'est pas mal non plus à New York. Julie Delpy a du talent.
Une déception. Pas très drôle, même un peu lourd et grotesque, pour ne pas dire vulgaire. Le tempérament extravagant des personnages est ambigu ; une énergie bienvenue mais avec des dialogues un peu navrants. Les situations cocasses finissent par se fondre dans un rythme ennuyeux, avec l'impression d'une comédie qui ne décolle jamais. Le « choc des cultures » est réduit à une caricature loufoque de la "bad-french family", le tout vendu dans une morale bien-pensante ; le mélange est raté, peut-être parce que le jeu des acteurs ne suit pas... Seul Chris Rock reste comme toujours sympathique dans une facette très sage du personnage. Mais le plus gênant dans cette histoire, c'est la réalisation remplie de fausses trouvailles, qui donne un côté très surfait à l'ensemble, pour ne pas dire prétentieux (les marionnettes, la voix-off....). Dommage, tous les bons ingrédients semblaient réunis. Autres critiques sur: http://cineglobe.canalblog.com/
Un jour, l'actrice Julie Delpy a quitté la France parce qu'elle en avait marre de l'étiquetage permanent qui sévit chez nous et qu'elle avait envie de montrer sa vraie nature, pas aussi coincée et lisse qu'il y semblait au vu de ses premiers rôles. Cette blonde a une tempérament de feu et a fait son chemin depuis avec l'écriture et la réalisation de ses propres films. De là à lui passer tous ses caprices sous prétexte qu'elle est libre et émancipée ! 2 days in New York, qui débute plutôt bien, est quand même un monument d'hystérie où les acteurs sont en surchauffe constante, hormis Chris Rock, le seul cool de la bande, qui casse la baraque au bas mot (ceux qui verront ses onctueux "dialogues" avec le président américain saisiront l'allusion). Bien sûr que Delpy s'amuse comme une folle à mettre un boxon pas possible dans son film, avec un penchant pour la caricature culturelle qui dépasse volontairement les bornes et des vannes de cul régressives pour dynamiter le politiquement correct. Mais, dans l'ensemble, en restant 90 minutes durant branchée sur la prise, elle finit par agacer les gencives et étouffer tout sens critique. Quelques scènes surnagent dans ce joyeux happening et certaines sont franchement hilarantes. Et l'on perçoit bien les inquiétudes existentielles de la réalisatrice, même noyées dans cette vague déferlante qui emporte tout sur son passage. D'un autre côté, si elle s'assagissait, la Julie, elle montrerait davantage ses failles et ça, ce n'est pas son genre. Même concassé par son film, on finit par lui trouver des circonstances atténuantes. Doit-on, dans ces conditions, lui proposer un calmant ? Elle ne risque pas de perdre son âme, elle l'a déjà cédé au plus offrant et elle finira bien par la récupérer, maligne comme elle est.
Super extra maxi nul! L'histoire n'a aucun intérêt, les blagues sont de mauvais goût, les caricatures sont stupides... Quand les lumières se rallument tu as honte de te trouver dans la salle!
WHAT THE FUCK ?! Ouais, c'est le cri du spectateur exaspéré au bout d'une demi-heure où l'on comprend définitivement que le film ne s'améliorera pas, et que l'on va devoir subir l'heure restante. Tout, ici, est assez mauvais. Déjà, l'ambiance est artificielle au possible, et on ne croit pas un seul instant en cette famille qui nous est présentée. Les personnages y sont archi-stéréotypés, avec une grossièreté affligeante qui frise l'insulte à l'intelligence du spectateur. Ensuite, les acteurs eux-même semblent ne pas y croire, à l'image d'un Chris Rock au plus bas, qui ne sait faire que la même expression désabusée pendant une centaine de minutes. Et puis d'où vient ce titre ? Ils étaient vraiment à NYC ? J'ai l'impression de n'avoir vu qu'un appartement, son ascenseur et une vague salle d'exposition. Bref, tout sonne creux et faux, et c'est avec un soulagement que le film prend fin, après quelques secondes d'une mise en perspective guignolesque qui sonne le glas pour cet échec véritable. A zapper ou à oublier vite...
Après une première partie d'une inventivité fulgurante et qui fait preuve d'une maîtrise d'écriture digne des plus grands Woody Allen, le tour de force s'estompe. Et ce n'est pas la Faute de Chris Rock qui se donne du mal pour ça, peut être Julie Deply qui cabotine... Non c'est surtout la faute à un scénario qui devient prévisible et qui n'arrive même plus à arracher les sourires escompter. SI bien qu'une heure et demi ça peut paraitre long à force...
Mon mec a adoré, moi un peu moins, alors c'est assez mitigé. C'est un film certes drôle et réaliste, voire un peu cliché, sympathique mais pas non plus exceptionnel à mes yeux. Juste un bon moment...
Un scénario un rien égocentrique : une française, artiste, vivant aux Etats-Unis, le tout enrobé d’un peu de dédain … Toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé serait fortuite et indépendante de la volonté de l'auteur… Genre… Dans ce film, Julie Delpy semble vouloir nous immerger dans sa vie d’américaine naturalisée ; vie de photographe, bohème, torturée, larguée mais recasée avec un bel éphèbe et j’me-la-joue-j’suis-différente. Autant dire qu’elle agace déjà avant même que la trame du film ne soit lancée. Et lorsque l’histoire débute enfin, nous assistons à un florilège de vulgarité, de balourdises puériles et grivoises qui feraient peut-être sourire les moins distingués, et encore. On pourrait croire à un catalogue récapitulatif de tous les défauts français ; mais l’ensemble reste tellement invraisemblable qu’il est impossible de s’y apparenter et surtout complètement utopique d’en rire, en effet : Aucune finesse, aucun esprit ; que des clichés basculant de la stupidité à la vulgarité . Il y a les films qu’on aime ou tolère, ceux qui ne valent vraiment pas le coup et durant lesquels on quitte la salle, et celui-ci, 2 days in new-york qui est tellement effarant de nullité qu’on continue de le regarder pour voir jusqu’ou le script osera s’enfoncer.
Petite comédie qui va très vite...trop vite? Trop de VOST et un humour qui perso m'a fait décrocher 3 sourires, pour ainsi dire trop peu. Je me suis même surpris à m’assoupir sur la fin! Chris Rock et Albert Delpy sont bons, les 2 acteurs portent l'intérêt du film, même Julie Delpy est trop fade. Un visionnage DVD aurait suffit.
Sans prétention aucune, 2 days in New-York donne une suite à 2 days in Paris, dans la même veine. Alors on rit, certaines scènes sont hilarantes, d'autres trop forcées, la mièvrerie de la fin est à jeter, mais le moment passé avec cette galerie de personnages est très bon.
Une comédie originale et vivante au croisement des deux capitales mondiales de la culture; les épreuves d'un couple métissé franco-américain vont les pousser à puiser dans leur créativité et leur ténacité spoiler: pour véhiculer un enthousiasme sans borne.
Je ne suis pas encore remise... Ce film est franchement consternant de bêtise. Dommage, il y avait de bonnes idées, de belles vues de New-York, mais tout est gâché par des invraisemblances et des grosses nullités. Juste une ou deux bonnes répliques mais il n'y a rien à sauver.
C était assez bien parti du moins c'est ce que je croyais, mais sur la longueur ce film ne tient hélas pas la route et s'essoufle très vite trop de clichés bien franchouillard ( non les français fort heureusement ne sont pas tous comme ça ) New-york que j'ai découverte l'année dernière n'est pas assez filmée et trop peu mise en valeur Ca crie, ça pialle, ça s'.......e , ça part dans tous les sens le spectateur n'a pas un instans de répie pour souffler ,quand on croit que ça va ce calmer ça braille de plus belle , cette famille de barge y compris Marion est insupportable au plus haut point , entre la soeur limite nympho , le beauf plus vrai que nature , le père complêtement à l'ouest , il n'y a que les enfants et le nouveaux compagnon qui sembent à peu près normaux Julie je vous aime beaucoup mais là il va faloir revoir votre copie afin de ne pas refaire les mêmes erreurs pour votre prochain film j'avais hâte de sortir pour retrouver unpeu de calme