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    2 Days In New York
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    382 critiques spectateurs

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    alain-92
    alain-92

    318 abonnés 1 078 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 avril 2012
    Ce nouveau film de Julie Delpy est un bon moment de cinéma. Impertinents, les dialogues sont souvent savoureux, en revanche les situations décalées tombent un peu dans l’excès. À l’exception de ce léger bémol, j’ai beaucoup apprécié le jeu des comédiens. Chris Rock en particulier, perdu entre sa vie américaine mise à mal avec les traditions françaises, toutefois trop exagérées. Albert Delpy en vieux libertaire et grand-père gâteau, à la fois. Et Julie Delpy, qui joue, réalise, compose, écrit, qui fait tout, ou presque, mais avec une réelle énergie et belle bonne humeur. http://cinealain.over-blog.com/article-2-days-in-new-york-101177650.html
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 avril 2012
    Voilà un joli film qui, à lui seul, réunit tous les ingrédients pour sa réussite : le ton est léger et profond à la fois, l'ambiance est joyeuse et tourmentée, les personnages sont attendrissants. Et New York est belle ! La véritable réussite de ce film c'est qu'il ne succombe à aucun stéréotype !
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2012
    2 Days in Paris m'avait fatigué à la longue. J'ai mieux tenu la distance avec 2 Days in New York. Et pourtant Julie Delpy n'y va pas avec le dos de la cuiller. Loin de là. Bon, commençons par dire que Julie Delpy et Woody Allen n'ont rien en commun à part se la jouer intellectuel ayant réalisé un film à New York. Voilà. C'est dit. Car autant j'aime Julie Delpy, autant elle n'a pas du tout le talent d'un Woody Allen, ni dans la mise en scène, ni dans l'écriture du scénario, ni dans celui des dialogues. Donc ça m'énerve un peu de voir que certains les compare à tout va comme ça.

    Bon, sinon j'ai bien aimé le film, il a une sorte de fougue assumée, de côté complètement décalé, sauf que ça ne marche pas toujours. Y a des moments c'est trop appuyé, parfois c'est vraiment pénible, et le film fait l'effet ainsi d'agacer et de réjouir d'une scène à l'autre. Un fourre tout déjanté qui a le mérite de se vouloir absolument barge.
    Thierry M
    Thierry M

    160 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mars 2012
    J' ai mis un certain temps avant d'entrer dans l'univers de Julie Delpy, j'avoue que je le regrette. Cette femme n'est pas une realisatrice comedienne comme les autres. La contesse il y a 2 ans , le skylab l'année derniere, etait fanstastique. Alors la , j'avoue que ce 2 days in new york est totalement delirant , et nous fait oublier tout nos soucis pendant 1h30. Je n' ai pas vu la version a Paris, mais je vait m' empresser de remedier a cela. Continuez comme ca madame Delpy.
    NammJones
    NammJones

    109 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2012
    Très bonne surprise, surtout venant de Chris Rock, qu'on avait oublié depuis quelque temps.
    Le mélange de langue est assez surprenant mais mets une touche de réalisme à ce film plutôt atypique. Certaines scènes sont tellement bien jouées qu'on a vraiment l'impression de vivre un événement normal dans une famille.. normale.
    Une petite comédie très sympa à voir sans hésiter.
    NewBoorn
    NewBoorn

    60 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 novembre 2012
    2 days in New York a beau être un divertissement plus que convenable, l'ensemble fait seulement sourire.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 147 abonnés 5 132 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Vouloir à tout prix faire la psychanalyse du couple c’est pénible. Voir l’homme tout le temps regarder de haut les habitudes françaises c’est pénible.
    Assister à des engueulades aussi c’est pénible. L’humour est plutôt moyen et parfois vulgaire. Bref. Pas terrible
    John Henry
    John Henry

    105 abonnés 707 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mai 2012
    Le film regorge de tics d'écriture et de performances agaçantes qui traitent des sujets de façon parfois agaçantes. Après, il n'y a rien de vraiment neuf ni de vraiment excitant dans ce 2 jours à new york qui frise l'ennui.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    92 abonnés 408 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mars 2012
    Toujours articulée autour de la figure du couple – et le tandem constitué par l’actrice-réalisatrice et le comédien noir de stand-up Chris Rock fonctionne particulièrement bien, lorgnant par leurs échanges houleux et bavards vers l’univers d’un Woody Allen – la nouvelle comédie de celle qui continue à partager sa vie entre Los Angeles et la France fait davantage la part belle au microcosme familial (la disparition de la mère plane tout au long du film) et abandonne l’opposition entre les cultures américaine, résumée par la malbouffe et l’inculture, et française, cantonnée dans le comportement grossier et sans-gêne du père de Marion, enfermé de plus en plus dans le rôle du vieil obsédé, pétomane et anarchiste (il n’a pas perdu sa manie de rayer les voitures en stationnement). Hormis quelques bonnes idées : la voix off de la réalisatrice du Skylab qui synthétise les étapes et les projets de son existence, le refus de filmer un New York de cartes postales qui amène à concentrer les visites des touristes français en une enfilade accélérée d’instantanés, la symbolique du souvenir de la défunte et surtout le rendez-vous inattendu avec celui qui a acheté l’âme de Marion, le film s’enlise très vite dans la caricature et une certaine paresse – ce qui était déjà le cas dans le long-métrage précédent de la cinéaste. Les répliques dans un langage cru et guère châtié, les prises de bec et les crêpages de chignons entre les deux frangines et la douce folie du père ne suffisent hélas pas à rendre drôle et passionnante cette comédie mal foutue et qui part dans tous les sens. La double implantation géographique de Julie Delpy ne semble déboucher sur rien de très nouveau, s’embourbant à l’inverse dans les poncifs et autres lieux communs. Elle joue au final sur les mêmes registres que dans l’opus parisien, mais cette fois, la surprise n’est plus au rendez-vous, la cruauté et la vivacité du regard ont fait place à un repli sur la cellule familiale dont les vicissitudes bien anodines et conventionnelles nous font à peine sourire quand elles ne finissent pas par nous ennuyer.
    Joe75
    Joe75

    37 abonnés 316 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 décembre 2012
    Il s’agit donc de la suite de “Two days in Paris”, pour ceux qui l’ont vu, mais on arrive à se raccrocher aux wagons même si on a loupé le 1er.
    Mario, une jeune photographe française, vit désormais à New-York avec son nouveau boy-friend, Mingus, animateur de radio locale. Leur petite famille, recomposée de leurs rejetons respectifs, mène une vie à peu près normale jusqu’à ce que débarque pour quelques jours la famille de Marion, à savoir le Papa, la frangine, le copain de la frangine (au passage un ex de Marion).

    Et quand la France débarque en Amérique, elle tient à faire en sorte que l’élégance, le raffinement, la culture qui caractérise les habitants du Vieux Continent marquent à jamais de son empreinte le pays du Mc Do et des péquenauds US… A moins que ce ne soit le contraire.

    Perso, avec le recul, même s’il y a des passages marrants et un petit côté que tout le monde s’accorde à rapprocher de l’univers de Woody Allen, je n’ai pas vraiment accroché. Julie Delpy a tellement grossi le trait sur les défauts des Français qu’à côté de sa propre famille, même les bidochons passeraient pour un modèle de distinction. On serait donc, au choix : sales, nymphos, vandales, idiots, junkys, incultes, anglophobes et j’en passe, juste bons à faire des pitreries grotesques devant des New-Yorkais érudits et condescendants…Mouaih…

    Reste néanmoins quelques bons gags et un Chris Rock qui relève fincement le niveau d’une comédie un peu trop grasse à mes yeux.
    philhag
    philhag

    28 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 avril 2012
    Quand un film tombe dans la vulgarité la plus triviale, il a beau avoir un scénario intéressant, la vulgarité lui colle à la peau. Tout le reste n'est que remplissage. Gâchis.
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 avril 2012
    Julie Delpy se prend pour Woody mais ne réussit qu'à faire du Claude Zidi expatrié. Dommage car son premier film parisien était bien plus fin.
    vidalger
    vidalger

    321 abonnés 1 249 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 juin 2013
    Il s'agit ici d'une grosse farce sur le sujet éculé de la différence de mœurs entre chaque côté de l'Atlantique.
    Les blagues sont torchées à la truelle, souvent répétées à la manière du comique de cirque, et largement inspirées par le sexo-scatologique. Qui a parlé de Woody Allen français ? Quelques jolies réparties ne compensent pas la faiblesse du scénario et il faut bien dire que le père Delpy finit par nous taper rapidement sur les nerfs!
    pitch22
    pitch22

    165 abonnés 682 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 avril 2012
    Julie Delpy signe un script de délire foldingue qui comporte une dose de dérision... malheureusement surchargé d'un humour particulièrement gras et d'un esprit lourdingue. C'est parfois rigolo, certes, mais aussi consternant à la fois de vulgarité et d'exagération: on se prend les clichés à la pelle, on avale des conneries sans baisse de rythme, ce qui permet de remplir le vide de sens du film... spoiler: Même le concept de vendre son âme dans une galerie d'art, issu d'une négation (du moins d'une sérieuse mise en doute, vu le regret in fine) de cette notion, appuyée par l'idée que sa défunte mère ne lui aurait «pas fait de signe», sonne de manière triste et désolante: il y a de quoi s'interroger sur l'intelligence culturelle de la cinéaste (puisqu'elle en a réitéré la position sur une radio). En tous cas, il est dommage de ne pas voir Vincent Gallo, en caméo plusé, dévorer son contrat d'achat d'«âme».
    Malgré une mise en bouche pseudo-allenienne, on se rend vite compte qu'on évolue très loin de Woody Allen, d'autant que la mise en scène ne délivre aucun charme, à l'image de l'affiche. Le comique reste ou très porté sur le sexe, façon culcul, ou grossier, généré à partir de situations et d'échanges impropables, entre boulettes et prises de tête. On s'étonne, entre incrédulité et consternation, de certaines réparties, tellement c'est du grand n'importe quoi. Le passage grotesque dans l'ascenseur en constitue un des points d'orgue... spoiler: Face à la prude voisine qui menace de la faire expulser -ridicule- en raison de la brève agitation la veille de ses deux invités délurés, parmi lesquels sa timbrée de sœur, Julie alias Marion invente un échappatoire et lui répond, en anglais, «tu veux me foutre dehors sur mon lit de mort (avec ma tumeur au cerveau), salope?!».
    C'est énorme donc drôle mais aussi lamentable et atterrant. Si ça n'est pas une enfilade de blagues déjà vues (confrontées à la réalité ricaine) sur le côté exubérant façon joyeux bordel de l'esprit gaulois, comme la bouffe qui pue, le manque de retenue et les familiarités, la promiscuité, la fumette, une tendance exhib, les bonnes intentions maladroites ou la politesse balourde, c'est l'esprit provocateur, chamailleur, cyclothymique, qui prend le relais. On retrouve une partie des acteurs de 2 Days in Paris mais ça diffère pas mal. La disparition de Marie Pillet (la mère de Julie) donne lieu à un hommage appuyé, mais il se trouve gâché par une allégorie d'envoi qui tombe à plat spoiler: (la libération d'un pigeon à Central Parc)
    et par une absence quasi fantomatique lors du retour sur images concernant la jeunesse du père, Albert alias Jeannot. Le gros Albert Delpy offre en passant quelques séquences hautes en couleur en incarnant génialement ce papy vulgaire au possible, visage rougeot et verre de rouge à la main; un personnage bien évidemment caricatural, irritant, mais très rigolo. Quant à Chris Rock, qui ne semble pas vraiment amoureux de Marion, ses sempiternels monologues, en particulier ceux adressés à Barack Obama, finissent par éreinter (interventions peu ou pas drôles). D'ailleurs, les références plus ou moins sympathiques à l'égard d'Obama sont d'une insistance indigeste. On tente de saisir la logique de tout ça or il n'y en a pas, si ce n'est faire du remplissage pendant deux jours (un peu plus, en fait) en agitant une galerie de caricatures moqueuses et en alignant une série de situations cocasses et loufoques. Seulement, le soufflé finit par retomber et l'on patauge dans une bouillie de plats quiproquos. Desservie par une absence de profondeur et de finesse, l'histoire glisse clairement dans une fuite en avant chahutée associée à un ramassis de blagues faciles, qui compilent les divers genres et effets (comique de situation, de caractère, de mœurs, de gestes, provocateur gentiment trash limite pipi-caca, sous-entendu complice...) mais sans originalité ni ressort. Une comédie marrante pour son esprit immature mais navrante pour sa pesanteur comique, qui entrave son envol.
    Maqroll
    Maqroll

    158 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 avril 2012
    Il y a quelques années, 2 Days in Paris avait été pour moi une surprise agréable tant j’avais trouvé ce film original et frais… J’attendais donc avec impatience le second volet prévisible… Funérailles ! Ici tout est justement très prévisible, convenu, tiré par les cheveux et la vulgarité est sans cesse au rendez-vous à travers une scatologie obsessive, un ridicule permanent des situations, une absence totale de scénario et une faiblesse inimaginable de la mise en scène. New York est évoqué par une suite de clichés incroyables en forme de cartes postales et les Français sont ridiculisés à l’envi comme les éternels braillards, paillards et mal élevés qu’ils sont censés être. Julie Delpy elle-même est ridicule dans le rôle principal et il vaut mieux ne pas parler des autres comédiens, tous affligeants. À fuir de toute urgence !
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