Des scènes pas très logique du tout. La fin est carrément ridicule d'un point de vue scientifique. Dommage aussi que les commentaires du héros soient aussi relativement nuls et machistes
Oh que c'est d*bile ! Mais vu la durée extrêmement courte et quand on a compris devant quoi on est alors, il y a un certain plaisir coupable se met en place. Oui les effets spéciaux sont souvent très très moches et le scénario est franchement bâclé... Mais alors les dialogues sont parfois savoureux au point de m'avoir fait rire à plusieurs reprises ! Guy Pearce semble vraiment s'éclater et possède dans ce film un charisme similaire a un Bruce Willis dans les Die Hard.
Du coup ma note ne sera pas vraiment en adéquation avec ma critique, mais très clairement j'ai pris plaisir à le regarder malgré tous les défauts qui sont présent dedans !
Ce film est un très bon divertissement et si on peut critiquer les effets spéciaux sur les scènes dans l'espace c'est parce que ce n'est pas l'essentiel du film voir c'est seulement pour situer l'endroit où se trouve l'action et l'intrigue et comme ils ont certainement pas eu le budget nécessaire pour ces quelques scènes qui sont annexe. Si on veut une comparaison c'est une sorte de Piège de cristal. il y a de l'action de l'humour et pour une fois on devine pas ce qui va se passer car pour une fois tous les acteurs sont mis en danger en chaque scène. l'idée principale du film comme dans un vieux épisode de Capitaine Flam .
Un navet efficace grâce aux scènes d'action body-buildées et aux sarcasmes de Guy Pearce. Pour réussir à vous divertir vous devez faire abstraction de tout le reste.
Bloqué dans un station spatiale, Badass de service vient sauver le monde.
Film de Badass par excellence avec tous les clichés possibles, scénario copié-collé de NewYork 1999 et sa suite avec un passage final à la StarWar. Du coup le film aurait pu s'appeler : Prison dans l'espace 2079 - un nouvel espoir. Bref une série B juste divertissante avec une bonne réplique [+10 car elle était très bien].
En gros, pour amateur du genre [ou passer un aprem avec un pote]
Vu le 11/04/2019 2079. Snow est faussement accusé d'un meurtre dans une affaire de secrets d'Etat volés, il est condamné à 30 ans de cryogénisation sur MS-ONE, une station spatiale faisant office de prison. La fille du président des Etats-Unis est en visite sur cette même station pour s'assurer du bon traitement des détenus et de l'impact de la cryogénisation sur leur santé mentale. Un fou dangereux s'évade et libère les 500 autres détenus dont son frère, qui prend le commandement de la mutinerie. La situation échappe très vite au contrôle des autorités sur Terre. Le président envoie Snow en mission secrète pour exfiltrer sa fille avant que la station soit détruite. Dans l'ensemble le film est assez divertissant même si franchement, ça ne casse pas trois pattes à un canard. Y'a des effets spéciaux, un peu de tension, des méchants qu'on a bien envie de castagner (notamment Joseph Gilgun en parfait pervers sexuel et mental), quelques scènes de cascade intéressante... Pour le reste, ça reste très moyen, notamment les scènes d'ouverture avec la poursuite que j'ai trouvé vraiment, les pilotes d’aéronefs qui se font détruire bêtement, et même le boss des méchants se fait buter par son propre frère... Bon, je mettrai quand même un bon point pour la bonne partie de chambrage incessante entre Maggie Grace (Emilie) et Guy Pearce (Snow), ça envoie des lattes à tour de bras, c’est marrant Pour le reste, ça reste moyen on va dire
Un film plus intéressant qu'il n'y parait. Sous un aspect d'ultra violence ce film offre beaucoup d'aspects utiles à la réflexion. C'est une sorte d'univers carcéral combiné à une forme de grand asile psychiatrique et en même temps une romance. Beaucoup de second degrés inattendus que la presse et le public n'a pas vu, ne s'y attendant pas et de fait le film n'a pas plût et n'a pas été compris n'y voyant que l'apparence. C'est ce que j'appelle de la vrai science fiction qui en prenant un premier décalage réussit à parvenir à en montrer un second et l'on commence à voir trois dimensions, là où commence l'intelligence. Beaucoup de clichés oui, mais deux choses importantes la violence forte n'y est pas si malsaine ni outrancière et l'intégrité face à la corruption est un sujet qui est traité en profondeur avec une alternative au manichéisme qui nous montre qu'il ne faut pas se fier aux apparences. La romance est en filigrane et est mieux représentée ainsi et elle est assez bien représentée, évolutive. La prison spatiale est une allégorie du monde bien construite et l'on s'intéresse à deux personnages qui réussissent à y surnager. Pourquoi avec tant de compliments ne pas mieux coter ce film alors ? car sur le troisième niveau, il rejoint une expression humaniste à laquelle je n'adhère pas même s'il est sympathique : l'amour humour ballotté désabusé et intelligent s'il envoie un message lucide et avec plus de positivité que toute les manipulations propagandistes du monde, il omet d'aller au bout pour un espoir meilleur en s'en approchant. Une voie de garage individualiste et altruiste, mélange ambigu qui s'approprie des qualités réelles en montrant du doigt des vices du monde mais n'en comprend pas le sens profond qui est la création et ce qui l'inspire, la parole de Dieu avec l'enseignement de Jésus.
Et pourquoi on n'a jamais pris ce Guy Pearce comme acteur d'action, il est crédible en fait.....belle gueule en plus , ils l'ont pas arrangé comme dans Iron Man .... Maggie quant à elle est abonnée aux filles captives ..... qui s'en sort bien d'ailleurs. "Sur une idée de Luc Besson" mais il aurait pas un peu louché sur NewYork 1997 ou Outlander ? Le héros se joue de 400 ou 500 taulards sortis d'hibernation et complétement barges dans une prison spatiale ... ça dépote et ça flingue à tout va ...... Donc au final un bon petit film , aux airs de déjà vu ,certes, mais bon jusqu'au bout et non dénué d'humour.
L'idée était plutôt bonne, mais beaucoup trop d'incohérences du début à la fin... Des images de synthèse grossières, un manque de crédibilité et un humour douteux omniprésent font que l'on n'y croit pas et que l'on a hâte que cela se termine... Dommage.
Un film qui est un peu entre évasion ,Prison Break et taken d'ailleurs Maggi Grâce à jouer dans Taken. Le film est bien qui fait aussi penser a Die Hard 1 mais le film n est pas non plus extraordinaire il est bien réaliser. ce qui est dommage c'est encore que la le rôle féminin dans le film n est la que pour être hotage ou des fille en danger et ça c'est dommage et triste de pas voir plus de fille qui se bat etc . Après vu que le film a etait un plagiat donc je peux pas dire que le scénario et plutôt pas mal ou bien écrit vu qu'il est pas de eux . La violence pas mal présent mais j'aurais aimer quil est aussi un peux d'humour dedans pas beaucoup mais un peux
Film d'action bien filmé (très bien filmé). Pour le reste ... c'est basique et relativement efficace, en son genre : un mec qui en a, une meuf plutôt bonne, des gros bras primaires et un scénario (pas très élaboré) qui n'a pour seul moteur que l'action. Film qui peut, si nécessaire, occuper une soirée inoccupée.
A l'évidence certains confondent analyse critique et Besson-bashing trouvant là prétexte à sombrer dans la coprolalie de comptoir. Rien que pour ça j'aurais voulu défendre ce film, mais il faut être objectif, on ne peut pas ! On a une intro stupide et incompréhensible (mais comme c'est une intro on se dit qu'on comprendra plus tard), une conclusion débile et incompréhensible (c'est plus embêtant) Et entre les deux une bonne heure de castagne en continu orchestrée par un montage si rapide et si chaotique qu'on a du mal à suivre, qu'on ne sait plus où on est et qu'on s'en fiche un peu. Clichés, invraisemblances et déficits d'explications s’enchaînent comme des perles, c'est gavant, inintéressant et parfois parfaitement idiot ! (Pourquoi faut-il spoiler: une flotte entière pour détruire la base alors qu'un missile suffisait ?) on pourra sauver l'interprétation de Guy Pearce qui utilise un ton complètement en décalage avec le côté "on ne rigole pas" du film. Allez, oublions cette plaisanterie.
Du visuel de jeux vidéo et de visionnage de films série B, un scénario prenant « Minority report » comme base principale se passant dans la station spatiale carcérale où vivent des prisonniers indésirables condamnés sur terre pour crime violent, éloignés aussi loin pour les plongés dans un sommeil profond et se réveillant par opportunité pour commettre une mutinerie d’enfer. Un protagoniste de surhomme au style « Die hard » commence par tout déglinguer sur son passage, à l’instar de « New-York 1997 » en sauvant de justesse la belle n’étant pas n’importe qui, des griffes des very bad guys, non original et humour nul.