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D'abord c'est pas pour le film que je suis aller le voir ,mais pour son acteur principal Guy Pearce que je trouve génial chaque fois qu'il porte un rôle important,c'est un véritable acteur caméléon bourrées de talents. Il est accompagné dans ce film par une actrice que j’apprécie beaucoup Maggie Grace lorsque je l'avais vu dans la sèrie culte Lost;Les disparus.
La mise en scène est linéaire,elle est mal faite pendant la première demie heure,les combats sont trop rapides et mal fait,c'est après la station orbitale où sont enfermé les plus grand criminels que l'action est le mieux réalisé,malgré un scènario absurde comme spoiler: Le garde du cops noir de la fille du président se suicide en lui laissant des recommandations
Block Out est loin de l'oeuvre de John Carpenter,New York 1997,mais ce film se regarde sans réfléchir comme un film d'action Pop Corn en laissant votre cerveau à l’extérieur.
La mise en scène est linéaire,elle est mal faite pendant la première demie heure,les combats sont trop rapides et mal fait,c'est après la station orbitale où sont enfermé les plus grand criminels que l'action est le mieux réalisé,malgré un scènario absurde comme spoiler: Le garde du cops noir de la fille du président se suicide en lui laissant des recommandations
Block Out est loin de l'oeuvre de John Carpenter,New York 1997,mais ce film se regarde sans réfléchir comme un film d'action Pop Corn en laissant votre cerveau à l’extérieur.
Bien sûr le film ressemble fortement à Fortress 2 avec ses taulards dans une prison spatiale (et de multiples références à ce film)...cependant ici le film est nettement moins romantique (ou niais çà dépend du point de vue): les prisonniers sont des fous sanguinaires qui retiennent en otage leurs gardiens (qui sont en fait surtout des civils, rien à voir avec des durs à cuire), et les rapports sociaux entre prisonniers (la microcommunauté) sont développés en coup de vent. Le film ne se départit pas d'une certaine vulgarité censée faire "réaliste"...L'intérêt de faire dérouler ce film dans une prison spatiale est d'abord d'amener de la science fiction, qui constitue ici un faire-valoir relativement bien maitrisé et permet de le distinguer de d'autres film du même genre, et deuxièmement de laisser le héros seul avec lui-même pour libérer les otages. Malgré ses défauts (manque d'originalité, vulgarité, thèmes intéressants développés trop vite) le film laisse passer un certain message qui m'a plu: le héros, le boss qui l'a envoyé au casse pipe, le chef des prisonniers sont d'une autre époque, celle de Fortress 2 justement, tandis qu'ils ont chacun leur équivalent moderne (la fille du président, l'autre boss, le frère du prisonnier)...mais sont-ils dépassés pour autant? Peut-être pas...
gimliamideselfes
Honnêtement, je ne savais pas. Vraiment pas… J'avais juste vu l'affiche, plutôt sympa avec son "seul contre 500, où est le problème", ouais j'aime bien les taglines. Mais là, lorsque j'ai vu Europacorp. présente. Oh mon dieu, j'ai ris. Et en plus il y a Maggie Grace. (oui oui la fille de Lost, mais surtout de Taken). D'ailleurs aparté sur cette fille que je trouve vraiment laide au début du film en blonde, se trouve vraiment embelli dans la seconde moitié avec ses cheveux courts et noirs. Je dis ça, je ne dis rien.
Le pitch est très simple, la fille du président est enlevée dans une prison de haute sécurité, on fait appel à un mec ultra badass pour la sauver. Oh, mais, mais ? mais ne serait-ce pas le pitch de Escape from L.A. ? Ah ben si.
Bon je ne vais pas râler sur la seule qualité du film, avoir un personnage assez badass au début, avec des répliques assez nulles, mais marrantes. Enfin moi j'ai ris.
Seulement on se tape très vite la pire scène de course poursuite existante, une catastrophe. On voit qu'en plus du scénar, ils ont aussi pris les mêmes FX qui avaient déjà 10 ans de retard dans escape from LA.
Bon très vite on voit que ça n'a pas l'intelligence du film de Carpenter, qui même s'il n'avait pas les qualités du premier était assez fun, pour la simple raison que c'est un film très conventionnel, bateau, que finalement le gros dur, et bien il a coeur gros comme ça etc. Putain mais merde, laissez les gros durs être des gros durs, pas la peine de leur inventer un passé douloureux… Snake Plissken n'en avait pas besoin. Et il n'en a toujours pas besoin.
Bon sinon le film est une incohérence à lui tout seul, genre le final c'est juste n'importe quoi, il y a des trucs qui sortent de nul part, des personnages on ne comprend même pas leur motivation, c'est d'un ridicule. (bon après dans le générique on voit que l'idée originale est de Luc B. et qu'il a touché au scénario, ceci explique sans doute cela).
L'idée de base est sympa (vu que pompée sur le Carpenter), mais voilà, il ne faut pas en faire n'importe quoi. Ce film n'est pas une calamité, mais c'est juste médiocre quoi. Quelques répliques assez connes relèvent le niveau, mais le reste…
Je pensais qu'après le Pacte, il fallait s'inquiéter de la carrière de Cage (enfin bon ça fait 10 ans qu'on peut s'en inquiéter), mais non c'était de celle de Guy Pearce qu'il fallait s'inquiéter. Il faut qu'il se ressaisisse.
Le pitch est très simple, la fille du président est enlevée dans une prison de haute sécurité, on fait appel à un mec ultra badass pour la sauver. Oh, mais, mais ? mais ne serait-ce pas le pitch de Escape from L.A. ? Ah ben si.
Bon je ne vais pas râler sur la seule qualité du film, avoir un personnage assez badass au début, avec des répliques assez nulles, mais marrantes. Enfin moi j'ai ris.
Seulement on se tape très vite la pire scène de course poursuite existante, une catastrophe. On voit qu'en plus du scénar, ils ont aussi pris les mêmes FX qui avaient déjà 10 ans de retard dans escape from LA.
Bon très vite on voit que ça n'a pas l'intelligence du film de Carpenter, qui même s'il n'avait pas les qualités du premier était assez fun, pour la simple raison que c'est un film très conventionnel, bateau, que finalement le gros dur, et bien il a coeur gros comme ça etc. Putain mais merde, laissez les gros durs être des gros durs, pas la peine de leur inventer un passé douloureux… Snake Plissken n'en avait pas besoin. Et il n'en a toujours pas besoin.
Bon sinon le film est une incohérence à lui tout seul, genre le final c'est juste n'importe quoi, il y a des trucs qui sortent de nul part, des personnages on ne comprend même pas leur motivation, c'est d'un ridicule. (bon après dans le générique on voit que l'idée originale est de Luc B. et qu'il a touché au scénario, ceci explique sans doute cela).
L'idée de base est sympa (vu que pompée sur le Carpenter), mais voilà, il ne faut pas en faire n'importe quoi. Ce film n'est pas une calamité, mais c'est juste médiocre quoi. Quelques répliques assez connes relèvent le niveau, mais le reste…
Je pensais qu'après le Pacte, il fallait s'inquiéter de la carrière de Cage (enfin bon ça fait 10 ans qu'on peut s'en inquiéter), mais non c'était de celle de Guy Pearce qu'il fallait s'inquiéter. Il faut qu'il se ressaisisse.
Source: Plog Magazine, les Critiques des Ours
http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/04/lock-out.html
Luc Besson a une idée: un gentil qui se bat contre des méchants. Voilà l'intrigue de "Lock Out": simple, plate, manichéenne et inutile. Pendant 1h30 donc, nous suivons Guy Pearce en action man (mais que fait-il ici?) et les autres personnages du film dont les noms s'affichent au fur et à mesure à l'écran (et il faut les retenir car on parvient difficilement à les cerner, tant ils sont profonds et complexes... Non je déconne, Besson prends juste ses spectateurs pour des cons) dans une station spatiale prison. Et voilà, c'est tout.
Les personnages sont tous insipides, interchangeables, ne servent à rien et certains agissent bizarrement (le garde du corps qui se suicide: mais WTF??).
Les premières minutes sont d'une pénibilité incroyable tant les effets spéciaux sont moches, mal faits (on voit les raccords de plans numériques) et les séquences d'actions ne servent narrativement à rien si ce n'est à montrer du boum boum et du vroum vroum. Mais bizarrement, le film n'est pas trop hostile (car il n'a absolument aucune ambition) et se laisse regarder par nos yeux blasés.
Le film est une caricature des productions Europacorp, sans un quelconque humour ni second degré.
Je n'ai malheureusement plus rien à dire, tant le film n'a rien d'autre à offrir.
http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/04/lock-out.html
Luc Besson a une idée: un gentil qui se bat contre des méchants. Voilà l'intrigue de "Lock Out": simple, plate, manichéenne et inutile. Pendant 1h30 donc, nous suivons Guy Pearce en action man (mais que fait-il ici?) et les autres personnages du film dont les noms s'affichent au fur et à mesure à l'écran (et il faut les retenir car on parvient difficilement à les cerner, tant ils sont profonds et complexes... Non je déconne, Besson prends juste ses spectateurs pour des cons) dans une station spatiale prison. Et voilà, c'est tout.
Les personnages sont tous insipides, interchangeables, ne servent à rien et certains agissent bizarrement (le garde du corps qui se suicide: mais WTF??).
Les premières minutes sont d'une pénibilité incroyable tant les effets spéciaux sont moches, mal faits (on voit les raccords de plans numériques) et les séquences d'actions ne servent narrativement à rien si ce n'est à montrer du boum boum et du vroum vroum. Mais bizarrement, le film n'est pas trop hostile (car il n'a absolument aucune ambition) et se laisse regarder par nos yeux blasés.
Le film est une caricature des productions Europacorp, sans un quelconque humour ni second degré.
Je n'ai malheureusement plus rien à dire, tant le film n'a rien d'autre à offrir.
Un bon film de SF qui se laisse regarder sans effort.
Sans être exceptionnel, on passe un bon moment à le voir.
Sans être exceptionnel, on passe un bon moment à le voir.
Pas grand chose à sauver de cette série B indigeste,aux effets spéciaux très très douteux,au scénario indigent et à l'interprétation risible. Pour cacher la misère,Luc Besson et sa filiale EuropaCorp tentent de multiplier les séquences burnées dans cette station orbitale. Le pitch est crétin comme jamais: un ex-repris de justice est forcé d'aller sauver la fille du président des Etats-Unis sans se préoccuper des autres otages. Blagues élimées qui semblent toutes sorties d'un Stallone des années 80,et un Guy Pearce(que j'adore pourtant)en flagrant délit de cachetonnnage,"Lock Out" n'a plus qu'à rejoindre le vide intersidéral qu'il décrit.
Suite de clichés de film d'action !
spoiler: 1- un héros accepte une mission suicide pour sauver sa peau 2- La fille du président est coincée sur une station spatiale 3- Cette station spatiale est un pénitencier 4- Une révolte éclate dessus 5- le héros est victime d'un complot qui cache un plus gros complot
spoiler: 1- un héros accepte une mission suicide pour sauver sa peau 2- La fille du président est coincée sur une station spatiale 3- Cette station spatiale est un pénitencier 4- Une révolte éclate dessus 5- le héros est victime d'un complot qui cache un plus gros complot
Agréablement surpris par le film, de l'humour et du bon. Et quelques scènes mémorables. A voir !
Très bon dans son registre mais malheureusement rempli de clichés et de mauvais dialogues...
dommage que tant de moyens aient été mis au service d'un scénario aussi pauvre
Un faux film de SF qui s’avère être en fait un pompage honteux de "New York 1997"...Incohérences, situations rocambolesques, punchlines agaçantes omniprésente dans la bouche de Snow (Plisken ?), enrobage factice de Science fiction à la sauce Star Wars, Sfx chip, à faire saigner les yeux, ...tout ces ingrédients indigeste aboutissent à un résultat pompeux et proche du ridicule !
L'archètype du film de S.F badass où l'on peut poser tranquillement son cerveau au vestiaire! N'attendait pas de "Lock Out", la sècheresse de "Escape from Alcatraz" ou la duretè de "Midnight Express". La prison, c'est pas bien, c'est un endroit mal frèquentè! Sauf que la tôle ressemble ici à une prison spatiale expèrimentale! Sur une idèe guère originale de Luc Besson, James Mather et Stephen St. Leger savent bien que les clichès sont obligatoires dans un genre aussi compartimentè que celui du film de prisons! Les rèalisateurs livrent leurs acteurs à eux-mêmes et filment façon « divertissement bourrin » . Très loin de son meilleur niveau, Guy Pearce fait semblant de se croire indispensable, alors qu'au fond il fait le maximum pour que son job approche la perfection! il n'en reste pas moins solide en anti-hèros adorant les rèpliques cinglantes! Au gènèrique ègalement, des dètenus (dont le siphonnè Joseph Gilgun) et une Maggie Grace insignifiante, du genre bien pouponnèe qui sait faire un usage adèquat de son physique (la coupe de cheveux n'est pas sans rappeler "Nikita"). Les effets spèciaux sont convenables mais la poursuite en moto est quand même bien moche et fastidieuse! Reste que "Lock Out" ne trahit pas les règles du genre...
Caine78
S'il peut y avoir quelques bonnes surprises dans les productions Besson, autant dire que « Lock Out » n'en fait clairement pas partie. Après une scène d'introduction bien basique où nos mirettes explosent à force d'illisibilité totale et d'effets totalement excessifs, on se retrouve dans une sorte de vrai-faux remake de « New York 1997 », le talent et l'intelligence de John Carpenter en moins, cela va sans dire. Alors c'est vrai : les décors sont plutôt bien foutus et Maggie Grace apporte une petite touche glamour sympa, mais cela reste tellement lourdingue, schématique et caricatural qu'il n'y a pas grand-chose à sauver d'un spectacle mal écrit (Luc Besson oblige), se contentant de satisfaire les désirs de gros bourrins peu regardants sur le contenu d'un film. Pas grand-chose à ajouter, si ce n'est qu'on finit presque par s'ennuyer devant un divertissement aussi inepte sur le fond et à peine plus excitant sur la forme : un beau bide made in EuropaCorp.
Un bon petit film action et espace classique mais très sympa et bien fait. Un film pour se détendre et ça marche.
L'empire Besson est en train de s'effondrer, même si ces actionneurs n'ont jamais été de qualité, ces dernières productions sont devenu de grosses boursoufflure qui essayent d'aller de plus en plus vite pour se convaincre de leurs réussites. Le problème c'est que les scénarios comme toujours ne sont que des patchwork pris à droite à gauche tandis que le montage est absolument chaotique et anarchique détruisant tout pour une question de rythme. Au milieu de ce bordel, on se demande ce qu'est venu faire Guy pearce par contre pour le reste du casting on retrouve les cachetonneurs habituels. Enfin pour être poli on ne parlera pas d'une séquence course poursuite en moto qui semble sortir d'une playstation première du nom.
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