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Peter Franckson
52 abonnés
1 153 critiques
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2,5
Publiée le 29 novembre 2016
Le sujet est banal (les rapports entre un homme divorcé et le fils de 22 ans de la femme qu’il aime) mais les personnages sont attachants, notamment le « beau-père », joué par John C. REILLY et le fameux CYRUS qui fait du chantage affectif auprès de sa mère.
Quelle déception ! ce film est une vrai bouse, je me suis embêter tout le long du film, on attend l’élément déclencheur, qui n'arrivera finalement qu'au milieu du film, le film est lent très lent... Mais il est un petit peu drôle (haha) mais pas assez... Passez votre chemins sa vaudra mieux.
Attention ceci n'est pas une comédie !! Celui qui s'attend à rire peut passer son chemin... En revanche c'est un drame très convaincant avec de très bons acteurs !! L'intrigue est très intéressante et le duel psychologique entre le beau père et le jeune homme assez bien creusé !! Rien de cliché et quelques moments savoureux !! Une vraie belle réussite je trouve !
J'y suis allé pour Jonah Hill, que j'ai connu mieux dirigé. Le bon: des acteurs qui s'impliquent, une diction agréable, des situations simples, des sentiments assez universels. Le moins bon: la réalisation éprouvante (zoom ! zoom ! dézoom ! zooom! ), un son médiocre, un scénario qui ne décolle pas vraiment. Au final, les personnages sont plus pathétiques que sympathiques, difficile de s'y attacher. Il y a mieux, si vous avez le choix.
C'est long à démarrer, mais au final c'est une assez bonne comédie. Un vrai thème abordé, sérieux, ce n'est absolument pas une enième comédie américaine sans reflexion. Seulement c'est un peu prévisible. Mais très bien interprété, Marisa Tomeï est superbe.
Pas très original, mais on ne s'ennuie pas et on rigole. Jonah Hill jouant parfaitement son rôle d'ado attardé. Un film qui se laisse regardé, mais rien d'exceptionel.
Ce film revisite le mythe de Tanguy dans sa version d'une fusion entre une mère et son fils. Le postulat de base est simple : un vieux célibataire rencontre une femme pour qui il a le coup de foudre (réciproque). Seul bémol à cette histoire d'amour naissante : Maman vit avec son grand fils de 21 ans une relation fusionnelle et exclusive. La suite est assez simple à deviner : le dénommé Cyrus va voir d'un très mauvais oeil l'arrivée de cet homme dans sa vie tranquille où il a sa maman rien que pour lui. C'est sous le choix de la comédie américaine qu'est ainsi traitée la question de ces adulescents, sujet ô combien d'actualité. Et qui dit comédie dit scène drôles et dialogues comiques. Ce qui est tout de même assez réussi dans le film, ainsi que l'interprétation. On regretta que cette histoire n'aille pas pu loin que la simple comédie, très prévisible au final et peu novatrice. On notera aussi un problème de rythme évident et une omniprésence de zooms intempestifs plutôt insupportables.
En un point, ce film est plus que réussit : son atmosphère. Tout du long, on ne sais que penser. Est-ce malsain, est-ce sans intérêt, grossier, hilarant, simplet?... Assez indéfinissable pour mériter d'être recommandé. Les acteurs son cohérent (sans crever l'écran), et le final sans doute un peu trop banal mais il y avait là une véritable volonté de proposer du neuf. En cela c'est appréciable.
Complètement nul. Pas drôle, vide de sens et d'intérêt. La comparaison du profil dysfonctionnel du fils avec celui du divorcé n'est pas du tout aboutie: on a donc un film qui ne démontre rien, n'est pas drôle et ne donne même pas lieu à des numéros d'acteurs inventifs. On est juste content de revoir Marisa Tomeï mais, même pour elle, ça ne vaut pas une demi-étoile. Alors pourquoi ce film a été produit? Parce qu'il n'a rien couté vu qu'il est filmé avec une DV moche et qu'il va quand même rapporter de l'argent vu que Jonah Hill est censé être hillarant et Marisa Tomeï toujours très mignonne. HON-TEUX! La morale de ce gachis de temps, c'est que la présence de John C. Reilly au générique doit dorénavant justifier de ne pas se déplacer. Magnolia, c'était il y a une décennie.
Un film difficile à définir, il manque de piment à mon goût. Heureusement que John Reilly est là et nous délivre un moment culte avec le cultissime "Don't you want me". On va pas se plaindre, pour une fois c'est une comédie plus élaborée.