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Votre avis sur La Cité des anges ?
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Peu habitué des comédies romantiques, j'ai surtout vu ce film par plaisir coupable après un revisionnage du film original dont il est tiré : "les ailes du désir" de Wim Wenders.
Et j'ai été plutôt agréablement surpris, évidemment La cité des anges n'essaie pas du tout d'accomplir les mêmes choses que le film de Wenders, et si le film de Silberling oublie un peu trop rapidement ses ambitions de mise en scène inspirées de son prédécesseur (dommage, les plans de la ville et les traveling musicaux clipesques autour des silhouettes des anges auraient très certainement mal vieillit mais étaient audacieuses)?
Si tout est tiré vers la corde sensible et l'émotionnel, les interprètes s'en sortent bien, particulièrement Meg Ryan mais c'est vraiment dommage que le rôle du personnage faiblisse sur la dernière partie, mais les premières rencontres oniriques entre son personnage et celui de Cage marchent bien.
Le choix idéologique de faire de l'amour la principale raison de Seth pour devenir humain (avoir des sens humains arrive toujours second et est ici associé également à la sensualité, très peu abordée dans le film d'origine) et l'affirmation d'une vie après la mort sont en radicale opposition avec les thèmes principalement sociaux de l'original.
L'emphase mise sur la mort et la souffrance (les anges ici ne passent pas leur journée à lire et apaiser les pensées mais surtout à emmener les âmes de morts au paradis) ajoute du mélo au film.
La dernière partie du film j'ai eu du mal à rester sérieux. Je ne peux pas être triste quand on insiste autant mais qu'on a pris soin de bien me dire que la mort c'est ps la fin.
Bref un film divertissant mais qui se démarque finalement assez peu des films du même genre et n'aura pas trop su tirer parti de l'originalité du l'oeuvre de Wenders pour se démarquer. Il reste d'ailleurs en parfaite opposition avec les thématiques sociales de l'original, préfèrant aux pensées des foules berlinoises en souffrance, la carrière de chirurgienne de Meg Ryan, l'amour plus fort que la mort et les beaux yeux de Nicolas Cage et en plus y a du cul alors si vous aimez ça vous privez pas. Mais regardez aussi le film de Wenders, ça a l'air plus intello comme ça mais y a une bonne dose d'humour, ça reste moins moralisateur, on y trouve de magnifiques plans de ville et aussi une belle histoire d'amour.
Et j'ai été plutôt agréablement surpris, évidemment La cité des anges n'essaie pas du tout d'accomplir les mêmes choses que le film de Wenders, et si le film de Silberling oublie un peu trop rapidement ses ambitions de mise en scène inspirées de son prédécesseur (dommage, les plans de la ville et les traveling musicaux clipesques autour des silhouettes des anges auraient très certainement mal vieillit mais étaient audacieuses)?
Si tout est tiré vers la corde sensible et l'émotionnel, les interprètes s'en sortent bien, particulièrement Meg Ryan mais c'est vraiment dommage que le rôle du personnage faiblisse sur la dernière partie, mais les premières rencontres oniriques entre son personnage et celui de Cage marchent bien.
Le choix idéologique de faire de l'amour la principale raison de Seth pour devenir humain (avoir des sens humains arrive toujours second et est ici associé également à la sensualité, très peu abordée dans le film d'origine) et l'affirmation d'une vie après la mort sont en radicale opposition avec les thèmes principalement sociaux de l'original.
L'emphase mise sur la mort et la souffrance (les anges ici ne passent pas leur journée à lire et apaiser les pensées mais surtout à emmener les âmes de morts au paradis) ajoute du mélo au film.
La dernière partie du film j'ai eu du mal à rester sérieux. Je ne peux pas être triste quand on insiste autant mais qu'on a pris soin de bien me dire que la mort c'est ps la fin.
Bref un film divertissant mais qui se démarque finalement assez peu des films du même genre et n'aura pas trop su tirer parti de l'originalité du l'oeuvre de Wenders pour se démarquer. Il reste d'ailleurs en parfaite opposition avec les thématiques sociales de l'original, préfèrant aux pensées des foules berlinoises en souffrance, la carrière de chirurgienne de Meg Ryan, l'amour plus fort que la mort et les beaux yeux de Nicolas Cage et en plus y a du cul alors si vous aimez ça vous privez pas. Mais regardez aussi le film de Wenders, ça a l'air plus intello comme ça mais y a une bonne dose d'humour, ça reste moins moralisateur, on y trouve de magnifiques plans de ville et aussi une belle histoire d'amour.
Seth (Nicolas Cage) est un ange des temps modernes: une créature céleste qui aspire à se rendre utile sur terre notamment en réconfortant les vivants sans qu’ils s’en rendent compte. Pour ce faire, il prend de temps en temps une apparence humaine, mais la mission exige le plus souvent qu'il reste invisible. Mais sa rencontre avec Maggie Rice (Meg Ryan), une chirurgienne, va le bouleverser. Bon, déjà c’est vrai que je n’aime pas spécialement les films d’amour. Mais là, on est sur un truc ahurissant de mièvrerie ! La Cité des anges est la version américaine du film Les Ailes du désir de Wim Wenders, que je n'ai malheureusement pas vu.
Je ne connais donc pas l’original, mais je peux affirmer que ce remake est complètement raté. C’est une succession de sentiments mielleux sans réel intérêt. Mais le vrai problème est d’avoir offert ce rôle à Nicolas Cage, absolument pas crédible. A croire qu'on lui a demandé de tirer la tête la plus niaise possible et de la jouer constamment que ce soit en ange ou en découvrant ce que ça fait d'être humain. Meg Ryan fait le taf, elle joue bien sans trop en faire contrairement à Cage. Si vous avez le courage, la ténacité, la patience et du temps à perdre, vous verrez alors le clou du spectacle : la fin est une mascarade. Même l'accident de vélo n’est pas crédible. Perso j’ai jamais vu personne faire du vélo comme Maggie les bras écartés et les yeux fermés. Et puis c’est pas comme si elle voyait arriver des types accidentés à l’hôpital tous les jours... Championne de la connerie celle-là ! Bref, passez votre chemin, ce film est un navet.
Je ne connais donc pas l’original, mais je peux affirmer que ce remake est complètement raté. C’est une succession de sentiments mielleux sans réel intérêt. Mais le vrai problème est d’avoir offert ce rôle à Nicolas Cage, absolument pas crédible. A croire qu'on lui a demandé de tirer la tête la plus niaise possible et de la jouer constamment que ce soit en ange ou en découvrant ce que ça fait d'être humain. Meg Ryan fait le taf, elle joue bien sans trop en faire contrairement à Cage. Si vous avez le courage, la ténacité, la patience et du temps à perdre, vous verrez alors le clou du spectacle : la fin est une mascarade. Même l'accident de vélo n’est pas crédible. Perso j’ai jamais vu personne faire du vélo comme Maggie les bras écartés et les yeux fermés. Et puis c’est pas comme si elle voyait arriver des types accidentés à l’hôpital tous les jours... Championne de la connerie celle-là ! Bref, passez votre chemin, ce film est un navet.
Les anges sont parmi nous pour accompagner dans l’au-delà les vivants rendant leurs derniers souffles sur cette terre de mortel, un beau concept religieux et philosophe sur une idée de romance à l’eau de rose sirupeuse. La mise en scène est banale et sans originalité, l’intrigue s’enchaîne dans un surplus de méli-mélo, ce n’est pas mauvais avec ses bons jeux d’acteurs surtout Nicolas Cage, j’étais plié de rire devant lui et ses semblables d’envoyés célestes par leurs airs de revenants. Un peu de facilité du scénario dans le personnage de Nathalie Messinger/Dennis Franz, ça ne m’a pas touché profondément, les chansons sont des ballades adoucissantes à somnoler, ma préféré est celle chanté par le groupe de rock Goo Goo Dolls à la superbe interprétation correspondant bien au film. Les histoires amoureuses contrariées en fiction ont un destin funeste, la fin prévisible et sans surprise.
Le film est bien réalisé, images splendides, les acteurs sont bons, la scène de l'accident fatal est par contre assez niaise, kitch et même totalement ratée, presque ridicule quand elle voudrait nous tirer des larmes.
Voilà une réinterprétation de la chute des anges bibliques : "Les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu’ils choisirent." Le plus intéressant ici est la transposition moderne du scénario qui fait de l'ange déchu un héros quand il est conçu comme un grave pécheur par la tradition biblique. A ce titre, l'héroïne disant que l'ange et elle sont faits l'un pour l'autre est symptomatique. On a un basculement, depuis les anges de la Torah venus prendre des femmes sur terre, vers un ange qui se fait d'abord éconduire quand il "tombe amoureux". Or il n'est aucunement question d'amour mais de désir dans la Bible. Le désir a été remplacé par les sentiment, la femme désirée par l'ange a été dotée de la capacité de repousser les avances de l'ange. Ce mouvement-là est le plus intéressant pour les chercheurs de demain dans ce film.
Il faut dire que le scénario est assez faible, naïf et même mignonnet... Cela donne surtout un vrai document sociologique sur l'idéologie d'une époque, les années 90, joli rêverie que le réel du 11 septembre 2001 a fait vieillir à vitesse grand V.
Voilà une réinterprétation de la chute des anges bibliques : "Les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu’ils choisirent." Le plus intéressant ici est la transposition moderne du scénario qui fait de l'ange déchu un héros quand il est conçu comme un grave pécheur par la tradition biblique. A ce titre, l'héroïne disant que l'ange et elle sont faits l'un pour l'autre est symptomatique. On a un basculement, depuis les anges de la Torah venus prendre des femmes sur terre, vers un ange qui se fait d'abord éconduire quand il "tombe amoureux". Or il n'est aucunement question d'amour mais de désir dans la Bible. Le désir a été remplacé par les sentiment, la femme désirée par l'ange a été dotée de la capacité de repousser les avances de l'ange. Ce mouvement-là est le plus intéressant pour les chercheurs de demain dans ce film.
Il faut dire que le scénario est assez faible, naïf et même mignonnet... Cela donne surtout un vrai document sociologique sur l'idéologie d'une époque, les années 90, joli rêverie que le réel du 11 septembre 2001 a fait vieillir à vitesse grand V.
Pour moi, la plus belle romance que j'ai vu. Fantastico-phylosophico-naturo-christique (rien que ça!😉) réalisation brillamment sobre/esthétique, musique de Gabriel Yared magnifique et morceaux additionnels géniaux (U2,Peter Gabriel) et casting juste totalement parfait. Même 20ans après, et donc être devenu un con arrogant prétentieux dénué de sentiments, pas de bol😉, ce film me tire, quoiqu'il arrive, une bonne dose de larmes, car il est en dehors de toutes les histoires d'amour vues avant et après. Une véritable oeuvre d'art.
Le sujet a déjà été traité maintes fois, ça se laisse voir, mais un peu trop long, 1h30 aurait suffit, bien filmé, de belles prises de vues, un peu énervant la coiffure toujours parfaite de Meg Ryan dont les boucles restent parfaitement en place malgré un orage ou une nuit de sommeil. A quand un cinéma américain plus réaliste, où les actrices ne sembleront plus sortir d'un salon de beauté dès le réveil?
Je m'attendais à bien mieux. Cette histoire d'amour à laquelle sont ajoutés métaphysique et poésie est certes émouvante mais assez lente et pas franchement convaincante. Meg Ryan et Nicolas Cage n'ont pas l'air d'y croire vraiment non plus. Ce film essaie de toucher un peu trop naïvement la corde sensible de certains spectateurs mais tombe parfois dans la mièvrerie.
Yannickcinéphile
La Cité des anges n’est pas un mauvais film en soi, mais c’est le genre de mélo assez sirupeux, prévisible, qui comme un bon roman de la collection Harlequin se laisse lire mais en balisant son chemin d’éléments attendus, et dont le lecteur fana, généralement, se délecte.
Ce film résiste avant tout pour son duo d’acteurs. Nicolas Cage est drôle, un peu moins doué dans l’émotion, mais il s’en sort bien grâce à une sobriété à toute épreuve qui permet à son personnage de ne pas sombrer dans le ridicule, chose aisée compte tenu de son statut d’ange moderne ! Face à lui Meg Ryan rappelle qu’elle était une excellente actrice avant de tomber dans une forme de déchéance problématique. Très belle, très juste, elle apporte beaucoup de sympathie à son rôle qui, à bien des égards, porte presque complètement ce métrage. A souligner quand même aussi la présence du truculent Dennis Franz.
Sorti du casting, La Cité des anges peine à convaincre. L’histoire se laisse suivre mais il n’y a pas de moments forts (sauf la fin, malheureusement prévisible), le suspens manque, les émotions restent vraiment assez ternes pour voir ce qui se passe (je ne dirai rien, mais il y a quelques sacrifices importants). Silberling signe un film joli, mais duquel il ne se dégage rien, si ce n’est quelques sentiments transmis par les acteurs, mais certainement pas par la qualité des dialogues, la qualité des situations, et l’originalité dont c’est amené. Beaucoup d’incohérences aussi (les anges qui peuvent se montrer s’ils le veulent !), et des facilités (la nature de Dennis Franz).
Mais, on se surprend à tenir jusqu’au bout, mais je le redis, c’est grâce aux acteurs. Quant à la forme, c’est de la grosse production de luxe américaine, avec application mais peu d’originalité. Séquences jolies au lac Tahoe, photographie raffinée mais qui ne dérange personne, mise en scène vraiment très neutre (le réalisateur est avant tout un faiseur qui a taté un peu à tout sans briller). Cette réalisation pâlichonne (qui n’a pas de défaut technique majeur cependant), est sans doute pour beaucoup aussi dans le manque d’émotions (en témoigne la scène d’ouverture, sans âme). Quant à la bande son, malgré les noms connus, je n’ai pas été transporté.
La Cité des anges n’est cependant pas un ratage. Il n’y a pas de gros loupés en soi, mais ce qui aurait pu être un film prenant aux tripes par la force des sentiments, des émotions, des situations, s’avère un petit film romantico-dramatique trop neutre, qui ne remuera sans doute que les plus sensibles, ou les pré-ado. 2.5
Ce film résiste avant tout pour son duo d’acteurs. Nicolas Cage est drôle, un peu moins doué dans l’émotion, mais il s’en sort bien grâce à une sobriété à toute épreuve qui permet à son personnage de ne pas sombrer dans le ridicule, chose aisée compte tenu de son statut d’ange moderne ! Face à lui Meg Ryan rappelle qu’elle était une excellente actrice avant de tomber dans une forme de déchéance problématique. Très belle, très juste, elle apporte beaucoup de sympathie à son rôle qui, à bien des égards, porte presque complètement ce métrage. A souligner quand même aussi la présence du truculent Dennis Franz.
Sorti du casting, La Cité des anges peine à convaincre. L’histoire se laisse suivre mais il n’y a pas de moments forts (sauf la fin, malheureusement prévisible), le suspens manque, les émotions restent vraiment assez ternes pour voir ce qui se passe (je ne dirai rien, mais il y a quelques sacrifices importants). Silberling signe un film joli, mais duquel il ne se dégage rien, si ce n’est quelques sentiments transmis par les acteurs, mais certainement pas par la qualité des dialogues, la qualité des situations, et l’originalité dont c’est amené. Beaucoup d’incohérences aussi (les anges qui peuvent se montrer s’ils le veulent !), et des facilités (la nature de Dennis Franz).
Mais, on se surprend à tenir jusqu’au bout, mais je le redis, c’est grâce aux acteurs. Quant à la forme, c’est de la grosse production de luxe américaine, avec application mais peu d’originalité. Séquences jolies au lac Tahoe, photographie raffinée mais qui ne dérange personne, mise en scène vraiment très neutre (le réalisateur est avant tout un faiseur qui a taté un peu à tout sans briller). Cette réalisation pâlichonne (qui n’a pas de défaut technique majeur cependant), est sans doute pour beaucoup aussi dans le manque d’émotions (en témoigne la scène d’ouverture, sans âme). Quant à la bande son, malgré les noms connus, je n’ai pas été transporté.
La Cité des anges n’est cependant pas un ratage. Il n’y a pas de gros loupés en soi, mais ce qui aurait pu être un film prenant aux tripes par la force des sentiments, des émotions, des situations, s’avère un petit film romantico-dramatique trop neutre, qui ne remuera sans doute que les plus sensibles, ou les pré-ado. 2.5
Quelle claque !! Magnifique, Nicolas Cage au sommet de son art.
Certainement dans le top 3 de la filmographie de Nicolas Cage
Certainement dans le top 3 de la filmographie de Nicolas Cage
Seth est un ange parmi beaucoup d'autres. Il se révélera un jour à une femme dont il tombera amoureux. Seulement, sa vie d'ange ne lui permet par de mentir. Il ne connait pas la fatigue, la faim... Bref, Seth se pose la question du comment devenir humain. Une réflexion intéressante sur les anges-gardiens que l'on ne voit pas mais que l'on peut ressentir dans différentes situations.
Malgré quelques incohérences scénaristiques (sur des points secondaires) ce film touchant interroge de façon simple mais essentielle la place de l'amour ainsi que la force du destin sans tomber dans la mièvrerie grâce à une interprétation juste, un humour pertinent et un optimisme (malgré tout) affirmé. De jolies émotions à la clé.
Film plutôt étrange qui nous envoie dans une dimension particulière. Dans ce film, Brad Siberling nous donne sa représentation de la mort et de l'après. Sur fond de romance, il nous montre finalement ce qu'est la vie avec ses différentes sensations et expériences. Au travers de Seth, on apprend peu à peu ce qui est inné chez nous, les sensations que nous procure la vie. Et notamment la relation au toucher. Il est cependant décevant que la romance entre Nicolas Cage et Meg Ryan prenne le pas sur le réel message du film. L'histoire est cousue de fil blanc, prévisible à souhait et pourtant cela ne m'a pas empêcher d'être triste durant la scène finale. La naïveté de Seth, sa bienveillance vont nous faire découvrir ce qu'est notre monde avec le bon et le mauvais côté. Je parlais également de la représentation de la mort du réalisateur, celle-ci est intéressante. Des anges qui nous attendraient et nous guideraient pour notre dernier voyage. Cependant, il n'est pas question de religion, aucune référence n'est faite. Même si on ne peut s'enlever de la tête que certaine scène sont glauque ou pesante, elle n'en reste parfois pas moins belle. Mais le film souffre cruellement de manque scénaristique, des dialogues peu approfondie et des scènes dont il faut déduire leur importances. Le duo entre Meg Ryan et Nicolas Cage est intéressant mais pour autant ne nous laisse pas vraiment croire en leur histoire. Ici c'est plus la symbolique du toucher, de la relation à l'autre qui prime en marge du reste. Malheureusement ce n'est pas assez démontré ici.
ferdinand75
Un film qui veut mélanger la romance et le fantastique avec cet amour passion entre une terrienne lamda, chirurgienne et un angle déchu .Un peu de merveilleux , un peu de romantisme. Le film vaut surtout pour la jolie rencontre entre Meg Ryan et Nicolas Cage , deux grands acteurs, impeccables dans le film .
Simple romance longuette sans grand intérêt, "La cité des anges" a la particularité de créer un chouïa d'émotion qu'à la fin du film... Ainsi, tout le début n'est qu'ennui. Les performances des acteurs sauvent en quelques sortes le film (Cage n'est pas mauvais!!). Le postulat est intéressant (et heureusement, c'est un remake) mais est très mal utilisé, ce qui rend le tout assez lent et peu accrocheur.
Jerem69tt
Un drame fantastico-romantique sympathique mais comportant des longueurs sur toutes la première partie. Le scénario n’est pas travaillé assez, et rien n’est vraiment approfondit que ce soit l’histoire d’amour assez facile, ou la question centrale du film le libre arbitre, qui n’est assez poussée. Le reste est pas mal, la fin essaye d’innover mais l’ensemble reste bien trop conventionnel entre la comédie/drame romantique et la théologie. Le film essaye de poser des questions mais n’apporte pas vraiment de réflexion.
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