Hormis le personnage de Yuan "poison" Lie, deux scènes de combats et le décor, le reste laisse à désirer. Les effets spéciaux sont zéro, le dieu et le sage sont ridicules et l'histoire est mal découpé. A éviter !
Même si tout est loin d’être parfait, notamment pour ce qui concerne les effets spéciaux et visuels qui s’avèrent bien ratés, j’ai pris un certain plaisir à visionner ce film d’action asiatique. En effet, les séquences de combats sont bien réjouissantes à visionner, le scénario tient en haleine, le casting fait preuve d’une certaine efficacité et la photographie est d’une grande beauté. En clair, on ne s’ennuie pas devant cette production hongkongaise qui mérite clairement le détour.
Ce n’est certainement pas le film d’arts martiaux que l’on retiendra du cinéma chinois, ce n’est pas non plus le meilleur de Yuen Woo-Ping, mais aucun fan du genre ne perdra son temps à le regarder une fois.
un film pas trop mal mai je m'attentais a mieux qund j'ai vu la ba se film et un melange de tai chi master en moins bien et du maitre d'arme il plaira au amateur du genre les autre il peut les souler un peux les acteur ne sont pas terribles coàmme le scenario.
Hélas ni plus ni moins que ce que le genre a déjà apporté et ceux depuis des années. On ressent cependant de manière un peu plus présente une histoire proche de ce que les Shaw Brothers pouvait offrir. Quant à la mise en scène, elle est hélas portée beaucoup trop sur des effets numériques assez laids et peu convaincants. Reste des chorégraphies de combats soignées et rythmées mais à elles seules ces séquences ne donnent que peu de plaisir sur l’ensemble du film très pauvre de part son rythme. Copie à revoir.
True Legend (2010) est un blockbuster chinois faisant la part belle aux arts-martiaux (c’est l’unique intérêt du film), tourné en 3D relief (mais exploité en "plat" dans l'hexagone), le film a été réalisé par Woo-Ping Yuen, s’il ne vous dit rien, sachez qu’il a été le chorégraphe des scènes de combat sur des films tels que Matrix (1999) ou encore Kill Bill (2003), ça force le respect ! L’ennui, c’est qu’il ne suffit pas de mettre bout à bout durant près de 120 (longues) minutes des scènes de combat toutes plus spectaculaires les unes que les autres pour satisfaire le spectateur lambda (sauf ceux qui étaient venu voir le film dans l’optique de s’en mettre plein la vue sans trop se donner de mal à réfléchir). Toujours est-il qu’ici, le scénario est consternant, d’une débilité et d’une simplicité déconcertante, on assiste à une guéguerre entre deux frères dont l’un à tué son père adoptif. Le plus surprenant ici, c’est que Woo-Ping Yuen donne l’impression d’avoir réalisé deux films totalement différents l’un de l’autre. Dans la première partie on a donc affaire à un vigilante-movie entre un frère qui maîtrise la technique des "cinq venins mortels" (ne riez pas c’est sérieux) et le second, père de famille bien sous tout rapport. Puis, sans crier gare, dans la seconde partie, on a affaire à une toute autre histoire, où cette fois-ci le frère (le gentil) met à pratique la technique dite de "la boxe de l’homme ivre" (ne riez pas, c’est toujours sérieux). On est donc face à un film de grande envergure, plombé par un scénario navrant mais sublimé par de très beaux paysages et d’impressionnantes scènes d’action (ce qui ne nous empêche pas de nous ennuyer entre deux chorégraphies). A signaler enfin la participation de Michelle Yeoh ainsi que l’apparition post-mortem de David Carradine (décédé en juin 2009).
Le chorégraphe Yuen Woo Ping connu en Occident pour l'écriture et la coordination des combats de Matrix ou de Kill Bill passe à la mise en scène pour l'un de ses rares films. L'histoire, très classique, est inspirée de la légende du "drunken master" déjà adapté au cinema en 1978 par .... Yuen Woo Ping (oui oui), le tout croisé avec Le maître d'armes (2006) de Ronny Yu dans lequel Jet Li réapprenait l'art du wushu dans l'humilité de la montagne. Le résultat ici présent est d'une grande tristesse pour tout amateur de Wu xia pan et de fresques historico-mythique de la Chine ancestrale. True Legend est à l'image d'un genre qui n'est plus que l'ombre de lui-même. Le film est incapable de sortir d'un simple enchaînement de combats de wushu plus ou moins bien chorégraphiés et interprétés (l'acteur principal aperçu dans The Blade de Tsui Hark nous avait laissé un souvenir bien plus marquant) mais sans jamais être transcendés par une quelconque atmosphère. L'écriture, d'une rare pauvreté, est incapable de créer un tant soit peu d'intensité ni même un minimum de dramaturgie pour que l'on puisse ressentir pour les personnages autre chose que de l'indifférence. Les inserts numériques et les tics de mise en scène ne sont malheureusement pas là pour rattraper la mise. Faute d'être capable de nous emporter avec ses grands mouvements de camera aériens, Yuen Woo Ping se contente d'essayer de ne pas confondre chorégraphie et mise en scène : cette dernière étant malheureusement reléguée au rang de faire valoir de l'enchaînement de combats (bien) orchestrés et surtout, bien recyclés (images et mots compris - Matrix / entraînement / scène de combat du dieu du Wushu). :(
Mouais, une partie mordante entre un frère adoptif haineux et un frère protecteur. Au milieu de ça, un des frères se bat dans son délire contre le Dieu wushu, et là, trop de CGI, donc pas très avantageux. On attend impatiemment le combat de frère à frère ce qui se produit enfin et cela réveille notre petit endormissement passer. Ensuite et dernière partie qui se consacre sur l'art de l'homme ivre et l'agacement se pointe. Simplement parce que par le passé Jackie Chan nous à tellement procurer le bonheur de cet art que de le revoir à nouveau et par un autre acteur me laisse bien froid et inutile. Puis autre chose, un des frères à un enfant, et à la fin vas-y qui braille père ! père ! père comme un disque rayé, la dramatisation de trop, me voilà bien soulé. Long-métrage d'art martiaux décousu, brouillon quoi.
Dans la grande tradition des films de kung-fu cette superproduction, la première en D pour un film chinois, a été un échec au box-office. Cependant tous les ingrédients y sont, avec de bons acteurs dont un clin d'oeil du regretter David Carradine. Les chorégraphies des combats est excellentes avec quelques scènes d'action particulièrement marquantes comme celle du puit. Ma note baisse un chouilla pour la fin qui s'étire et donne une baisse de rythme dommageable. Mais le film reste très bon et ravira les fans du genre.
Avec un pitch imparable, "True Legend" laissait penser qu'on allait assister à un vrai bon film du genre réalisé par un spécialiste des chorégraphies qui plus-est. On déchante rapidement. L'intrigue se traîne en longueur avec des dialogues qui n'en finissent pas. Les combats sont spectaculaires, c'était le minimum exigé, mais lorsqu'ils sont terminés l'ennui pointe son nez. Et tous les rebondissements sont prévisibles. Une petite déception donc.
True Legend reste un film pour les amateurs d'Arts Martiaux. Le métrage propose une histoire assez basique de vengeance et d'égo. Cependant Yuen Woo Ping à la caméra, les chorégraphie des combats sont évidemment assez impressionnante, et c'est cela que l'on retiendra le plus. Car malheureusement la réalisation manque d'inventivité et les personnages de charisme...
Biographie du créateur de la « drunken boxing », « True legend » fut le premier film chinois tourné en 3D, ce fut aussi un gros échec au box-office. Cet échec peut s’expliquer par une narration déconcertante pour le grand public. En effet, passé le climax et une première fin mélodramatique et émouvante, étrangement le film continue et offre une sorte de rédemption à son héros lors d’un spectaculaire tournoi contre des catcheurs occidentaux. Reste les magistraux combats chorégraphiés par Yuen Woo-Ping, bien meilleur ici que quant il travail pour Hollywood. Pour l’anecdote, on notera un court caméo amusant mais inutile de David « kung-fu » Carradine.
A voir avant tout pour les chorégraphies époustouflantes du maître en la matière Woo-Ping Yuen. L'ouverture est également somptueuse, introduisant une 1ère partie réussie. Plus difficile de trouver un intérêt au second acte du film, si ce n'est pour voir David Carradine dans une de ses dernières apparitions.