A la merveille
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Lotorski
Lotorski

17 abonnés 588 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 24 mars 2013
J'ai trouvé cette dernière oeuvre de Malick en-dessous de ses précèdents films. Il me semble qu'il retourne sur des chemins qu'il avait déjà exploré. Par ailleurs, on comprend vite qu'on va assister à une immense longueur. Et, une fois n'est pas coutume, l'accompagnement musical m'a déçu, car il m'a semblé trop lointain.

Il y a quand même une qualité que Terrence Malick a toujours eu et qu'il a su garder ici aussi : un talent incroyable pour trouver des prises de vues magnifiques et surprenantes.
Cinéphiles 44
Cinéphiles 44

1 436 abonnés 4 287 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 21 février 2015
A la merveille est un film philosophique sur l’amour. Il questionne sur ce qui lie un homme et une femme. Seulement c’est ce qu’on imagine, puisque Malik cultive le silence en offrant à Ben Affleck le rôle le plus muet qu’il n’ai eu. A la merveille est également le nom donné à la chapelle du Mont Saint-Michel, un lieu qu’il filme avec volupté. C’est donc un clip musical que nous voyons, sur cette femme malmené par ses choix de vie, l’incompréhension avec son amant qu’elle aime et qu’elle déteste. Seulement encore une fois, la religion vient poser ses fesses avec un prêtre qui commence à douter de sa foi. En bref, Malik filme toujours aussi bien ses personnages et ses décors, mais est-ce suffisant ? A l’image de Ben Affleck, A la merveille ne dit rien. A l’image d’une Olga Kurylenko, A la merveille tourne en rond.
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reggie miller
reggie miller

171 abonnés 69 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 10 mars 2013
Aïe ! Si vous n'avez pas vu The Tree of Life, l'expérience peut être intéressante mais si vous l'avez déjà vu, vous vous demanderez sûrement pourquoi Malick a fait ce film. C'est une redite en nettement moins bien de son précédent film. Formellement, c'est exactement la même chose : caméra qui flotte dans les airs autour des corps et au milieu de la nature. C'est très très beau mais ça ressemble à des chutes du film précédent. The tree of Life jouait déjà sur une absence de narration classique mais là c'est poussé à l'extrême. Plus aucun dialogue, plus de rapport direct à l'histoire et aux personnages... Cela conduit malheureusement à un désintérêt (me semble-t-il) inévitable du spectateur à l'histoire et à ses personnages. Au final, j'ai eu le sentiment de voir un film du Futuroscope, un truc planant qui nous passe au dessus de la tête et même en dessous. C'est beau mais insuffisant. Revoir The Tree of Life, film d'une richesse inouïe malgré qq lourdeurs, me semble plus intéressant !
BeatJunky
BeatJunky

161 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 17 mars 2013
Je ne sais que penser de ce film: arnaque ou chef d'oeuvre???Il est très difficile à appréhender et si on est pas préparé à ça, on ne peut qu'être surpris. Plus j'y repense, parce ce film vous obsède l'esprit longtemps après la projection, plus je le trouve beau et compréhensible.... Si on ne l'aborde pas comme un simple et film et qu'on sait où on met les yeux, il est très possible de ressortir de la séance émerveillé par ce qu'on vient de vivre....
SuperMadara
SuperMadara

93 abonnés 935 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 10 mars 2013
Une romance philosophique qui n'offre que l'impression d'un long et creux caprice de cinéaste, un Malick décevant et oubliable. Soporifique et creux, le scénario raconte deux passions, celle d'un couple en pleine crise passionnelle et personnelle et d'un prêtre en quête de l'amour et de la présence de Dieu, une intrigue porté sur la passion et la religion mais qui tourne vite a une série de séquences vagues et superflues, peu d'intérêt et de réelles théories posées, et donc une intrigue qui devient vite ennuyeuse et laborieuse... Fantomatique et anecdotique, Ben Affleck montre qu'il est meilleur cinéaste qu'acteur, alors qu'Olga Kurylenko apporte une vraie fraicheur et un éclat de vie a ce film terriblement morne, et pour Rachel McAdams et Javier Bardem, leurs présences sont tellement discrètes qu'ils ont du mal a s'imposer a l'écran... Proche de l'élitisme absolu, Terrence Malick semble être arrivé au bout de ce qu'il avait a proposer en matière de naturalisme, sa camera tourne en rond dans des décors qu'il rend terriblement morne et plat, et tout le film s'en retrouve amoindri...
Un drame plat, arrogant, insensé, et dont seule Olga Kurylenko en sort grandie...
Juan 75
Juan 75

67 abonnés 392 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 16 mars 2013
Autant je n'avais pas aimé Tree of Life que j'avais trouvé grandiloquent, autant j'ai trouvé À la Merveille épuré et inspiré. Contrairement a ce que j'ai lu il y a un scénario et une histoire, simple mais belle soutenue par des images sublimes et des acteurs charismatiques. Une belle réflexion sur la liberté que nous prenons ou pas de diriger nos vies, d'aimer ou pas, de nous en remette a Dieu ou de nous sentir vivant sur la terre. J'ai retrouve ici le souffle des Moissons du ciel.
anonyme
Un visiteur
3,0
Publiée le 29 avril 2013
Dans Tree of life, Terrence Malick nous racontais l'histoire d'une famille très construite et néanmoins fragile. Éblouissant de beauté mais avec le côté étourdissant de la chose tant il était abstrait.
A la merveille semble compléter un cycle consacré à l'amour et ses violences. La forme est la même et c'est parfois troublant de similarité. On trouve toujours ces belles images lumineuses et magnifiques mais trop pieuses, elles s'imposent cette fois un peu moins et prennent parfois un angle plus naturel (mention aux quelques séquences sur l'eau à qui le réalisateur donne vie)
Olga Kurylenko est la merveille du film. Pleine de vie et débordante de charme elle illumine l'écran autant qu'un soleil couchant. Son personnage et son jeu sont un contraste flagrant avec la transparence de Ben Affleck. Mais en vérité ce dernier représente bien l'homme peu bavard, discret apparemment idéal sous tout angles mais bouillonnant de l'intérieur et pas forcement toujours facile à vivre. Alors Malick ne traite plus de l'amour familiale après des années de vie commune mais de l'amour passionnel encore en construction. La petite Tatiana Chiline, fille d'Olga Kurylenko à l'écran est prometteuse. Javier Bardem encore très convaincant se retrouve avec un personnage qui apporte avec ce qu'il représente une ambiance religieuse assez élitiste.
Fort heureusement il n'inflige aucun avis ni morale. Il finit avec finesse en laissant choix au spectateur de lire l’œuvre comme il l'entend.
TheDarkKnight74
TheDarkKnight74

37 abonnés 194 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 17 mars 2013
Je ne comprends pas les réactions de la presse. Autant The Tree of Life s'était vu gratifié de bonnes critiques, avait remporté la Palme d'Or du Festival de Cannes 2011, et n'échoua que devant le public, ce qui compréhensible, tout chef d’œuvre intemporel séculaire n'est apprécié à sa juste valeur que des dizaines d'années après sa sortie lorsque les mentalités évoluent, que les masses prennent du recul, et peut-être aussi que les populations voient de manière très générale leurs capacités cérébrales augmenter (hum, l'évolution quoi, mais le lieu est mal choisi pour en parler). To the wonder est un grand film, qui en plus d'être transcendant, est pourvu d'une structure formelle similaire à The Tree of Life, ce qui devrait éviter de trop déstabiliser les foules. Une caméra qui filme des sensations comme personne, emballant des paysages grandioses d'une beauté à couper le souffle en parfaite symbiose avec des moments intimistes de la vie, forcément évocateurs pour qui a un tant soit peu vécu. Tout les êtres humains, même les geek derrière leur écran, les pauvres croulant sous la misère, les aveugles et les sourds, peuvent saisir ne serait-ce qu'une parcelle de To the wonder, et inspirer à plein nez les parfum de leur cher souvenir. Tout comme The Tree of Life, pas de récit clair, pas de narration classique, des plans, juste des plans, sublimes, qui s’enchaînent avec un naturel, un rayonnement propre. On peut avoir l'impression que tout est désordonné, empilé n'importe comment, épars. Ou au contraire y voir un ensemble très cohérent d'une intelligence remarquable sur un ensemble de thèmes humains : la psychologie, la religion, l'amour, pour n'en citer que quelques uns, étroitement entremêlés, mélangés selon toutes les combinaisons possibles tel un scientifique menant à terme une gigantesque expérience mettant en jeu une infinité de variables. On peut y voir un cheminement métaphysique buissonnant mais dont les embranchements tendent vers un seul but, qui changera selon le spectateur : la compréhension de l'amour ? De la nature humaine ? De Dieu ? On peut bien sûr y voir une banale romance si l'on n'inspecte que la plus infime superficialité du film, ce qui serait affligeant et désespérant, car il s'agirait d'un parti pris délibérément : To the wonder remue forcément les méandres de l'âme. Tous les avis que j'ai pu lire le montrent, mais comme j'ai essayé de l'expliquer plus haut, aucun homme sur Terre ne peut rester inerte devant cette œuvre. Ce genre de chef d’œuvre peut donc s'interpréter d'une multitude de manière, susciter une myriade d'émotions différentes, nous affecter avec une intensité indélébile. Que chacun y trouve sa voie. Amen Terrence Malick.
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 9 septembre 2013
Il s'agit là d'un nouveau chef d'oeuvre à la Malick et qui est à nouveau bien incompris. Les acteurs sont excellent et m'on captivé du début à la fin. A voir deux fois plutôt qu'une.
NewBoorn
NewBoorn

64 abonnés 576 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 13 décembre 2013
"A la merveille" est exactement ce qui nous traverse l'esprit lorsque le supplice se termine. Malick nous ressert "The Tree of life", le côté mystique en moins, mais cette fois ci, il n'y a strictement rien à en tirer. L'oeuvre est vide, autant que l'interprétation de son acteur principal, Ben Affleck. Il serait temps désormais que le réalisateur passe à autre chose.
anonyme
Un visiteur
1,5
Publiée le 25 mars 2013
Olga Kurylenko est belle. La mise en scène est belle. La nature, aussi, est belle. Oui, Terrence Malick sait certainement rendre beau n’importe quoi. Et, en plus, il sublime souvent ce qui est déjà plutôt joli à regarder.

La magnifique Olga a du s’épuiser à tournoyer dans les champs, les supermarchés, Paris, le Mont Saint-Michel… A sauter et se rouler sur le sol, les lits, Ben Afflek… Ben Afflek qui, lui, a du s’ennuyer beaucoup à ne pas jouer.

Il y a quelque chose de profondément douloureux à devoir avouer qu’un film est raté quand on a tant aimé et défendu celui qui le précédait. Encore plus lorsque ces deux films partagent finalement les mêmes qualités et les mêmes défauts. Terrence Malick est peut être le plus grand filmeur vivant. (...

La suite sur mon blog !
Piwi47
Piwi47

53 abonnés 246 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 11 mars 2013
Digne héritier de Stanley Kubrick, l’insondable réalisateur américain Terrence Malick – le gaillard refuse de montrer sa frimousse dans les médias – est porteur d’une filmographie éclectique, du chef d’œuvre de 1978 « Les Moissons du ciel » au contemplatif et mésestimé film de guerre « La Ligne rouge », en passant par sa relecture onirique de Pocahantas, sobrement intitulée « Le Nouveau monde ».

Le metteur en scène perfectionniste et si peu prolifique a, semble-t-il, accéléré la cadence de parution de ses OFNI (Objets Filmés Non Identifiés) depuis quelques années puisqu’à peine deux ans après son choc mystico-métaphysique « The Tree of Life » (pour rappel, vainqueur de la palme d’or du Festival de Cannes 2011 à l’unanimité, chose assez rare pour être soulignée), c’est « A la merveille », présenté en compétition officielle à la 69ème Mostra de Venise en septembre dernier, qui débarque aujourd’hui sur les écrans.

« A la merveille » compose un poster de personnages interprétés par une pléiade d’acteurs talentueux : Ben Affleck, Olga Kurylenko, Rachel McAdams, Javier Bardem. Jessica Chastain, Rachel Weisz, Amanda Peet, Barry Pepper et Michael Sheen ont été engagés mais finalement coupés au montage. Un privilège que seul un ténor comme Malick peut se permettre de nos jours.

Des buffles, le Mont-Saint-Michel, des chantiers de travaux, la pêche à la mouche, la Seine, un prêtre qui a perdu la foi, des rayons de soleil à travers les feuillages de l’Oklahoma, la marée bretonne, la peur de l’engagement, la beauté étincelante de Olga Kurylenko, le charme enivrant de Rachel McAdams, la grâce d’une relation sentimentale débutante, l’effritement et la décomposition du lien unissant l’homme et la femme, la danse des sentiments, l’Amour sous toutes ses formes, tout ceci et bien plus dans « A la merveille », film totalement inclassable dans le paysage cinématographique actuel.

Après les plans de méduses et la voix-off qui murmure « Mother, Mother », place aux tortues et à la voix-over qui ne recoupe absolument pas les images que l’on voit à l’écran « Where is Truth ? ».

Perfusé avec sa propre cam, Terrence Malick poursuit avec « A la merveille » le voyage méditatif amorcé par « The Tree of Life », les interrogations sur le sens de la vie, de l’existence et de l’univers toujours accompagnées d’une ode sans faille à Dame Nature.

Les réfractaires, qui estiment son œuvre la plupart du temps ridicule ou inaccessible, demeureront probablement allergiques à cette profusion de lyrisme s’inscrivant dans la continuité des précédents long métrages du maestro. Reproche possible également au bonhomme peu bavard d’avoir tout juste griffonné les actions et motivations de ces personnages transits en peinant à proposer une substance nutritive pour l’esprit.

N’en déplaise à ces messieurs, il serait impertinent de juger Malick uniquement sur ses scénarios irréels et déroutants. Chez lui, comme chez Lynch, Carax ou Haneke, rien n’est laissé au hasard.

Doué d’une capacité unique à émouvoir et à surprendre, le messie Malick est accompagné une fois encore par ses fidèles collaborateurs (le directeur de photographie mexicain Emmanuel Lubezki, le monteur A.J Edwards).

Identifiable parmi la masse, le style Malick se distingue, en effet, par un travail sur la forme très important. Le metteur en scène des « Moissons du ciel » parvient par la fluidité de sa mise en scène et par l’élégance des mouvements de caméra à donner à ses images une grâce peu commune. Utilisation singulière du Steadycam avec fluidité des mouvements de caméra, photographie exquise, sublime composition des plans, montage colossal, improvisation des dialogues, architecture sonore partagée entre les bruits de la nature et une bande originale de musiques classiques… « A la merveille » ne déroge donc pas à la règle du poète accompli du cinéma et bénéficie d’un traitement hors du commun qui, plutôt que de faussement le faire passer pour une version longue durée d’une publicité pour parfum, atteint les ambitions d’une transcendance lyrique à l’écran.

On relèvera également cette étrange dimension spirituelle, déjà présente dans « The Tree of Life » avec la vision du cosmos, retrouvée ici par l’intermédiaire du personnage catholique qu’interprète avec brio Javier Bardem, perdu dans ses convictions, qui permet ainsi de conjuguer Amour « Terrestre » et Amour « Biblique ».

Bilan : Véritable opéra lyrique, « A la merveille » se présente comme un « The Tree of Life 2 », les dinosaures & le Big Bang en moins, le Mont-Saint-Michel en plus. Difficile de qualifier ce périple, à consommer avec modération tout de même.

Souvent décrié pour le fond abyssal de ses textes, Malick azimute de toute façon à chaque opus la planète Hollywood, à laquelle il devrait ironiquement s’atteler dans son prochain projet, l’alléchant « Knight of Cups » – le parcours d’un homme en quête d’amour et de vérité – au casting dingo (Christian Bale, Natalie Portman, Michael Fassbender, Cate Blanchett, Isabel Lucas, Wes Bentley, Matthew McConaughey, Freida Pinto, Imogen Poots, Ryan O’Neal, Michael Wincott, Teresa Palmer, Joel Kinnaman). Une question subsiste : qui sera-il trucidé au montage ?
anonyme
Un visiteur
1,0
Publiée le 7 mars 2013
Bien chiant. L'ami Malick a réussi trois premiers film autour de la violence, de la guerre, et même d'une passion amoureuse violente, grâce à des digressions esthétiques sublimes qui nous faisaient effleurer poétiquement du mystique et du lyrisme émotionnelle. Depuis ses derniers films il ne reste que les digressions. Adieu l'histoire, au revoir le scénario cohérent. L'ennui profond ne nous fera pas oublier les belles images, mais celles-ci pendant deux heures ne nous feront pas oublier de soupirer en attendant les lumières se rallumer. Bref, qui va encore encenser la perdition d'un ex diamant du cinéma mondial? Ceux qui comme lui se tritureront le nombril autour du vide du néant, l'amour la mort tout ça tout ça, vide vide vide, errements manquements, dans quel étagère? Y mettre toutes ses frustrations, son sens (mauvais donc) du beau, et se gargariser d'être membre de l'élite intelligente capable de s'enorgueillir fièrement de jouir de cette Merveille d'autosuffisance stérile c'est avouer sa vacuité spirituelle, qu'elle soit germanopratine ou anachorète. Ah Terrence ! Si un jour tu reviens du trou que tu te creuses lentement mais sûrement, t'es très fort. Là tu es très faible. A ton âge ça sent le sapin... Remets-toi vite, même si pour toi le temps est une conception très élastique; ce qui nous fait malgré tout un point en commun, mais ne nous donnera pas la jeunesse éternelle.
anonyme
Un visiteur
3,0
Publiée le 9 mars 2013
Un film déroutant et étrange divisant le monde en deux, ceux qui adorent et ceux qui haïssent. Pour ma part je suis plutôt mitigé, j aime l idée de contemplation de Malick avec toute sa mise en scène mais je n adore pas cela, c est néanmoins original de nous faire tout une histoire d amour sans aucun dialogue même si on retrouve parfois quelques longueurs et si la présence de Rachel McAdams n est pas très nécessaire. Après rien à redire sur le jeu d Olga Kurylenko qui signe une très belle performance et Ben Affleck qui pour un après Argo se débrouille franchement pas mal. J avouerais néanmoins que toute l histoire autour de dieu m à plutôt déplue, on dirait un gros cliché américain ce qui m étonne du réalisateur. Un film à voir pour la beauté des plans et que je révisionnerai un jour volontiers.
REM_75
REM_75

1 abonné 29 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 10 mai 2013
Une fois de plus Terrence Malick le virtuose nous offre une ode poétique, une variation au style narratif toujours aussi lyrique. Un vrai régal contemplatif et philosophique.
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