A la merveille
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267 critiques spectateurs

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7eme critique
7eme critique

558 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 20 mars 2013
Philosophie et poésie autour de l'amour, plus particulièrement du couple. Malick utilise les mêmes codes que son précédent long-métrage, voix off enivrante, plans soignés, sentiments perçus avec efficacité, mais n'arrivera néanmoins pas à la cheville du monstre sacré "The tree of life". Axé principalement sur la relation de couple, on suit l'évolution de ces amants qui vivent le parfait bonheur pour en arriver jusqu'à ce destin qui nous guette tous (ou presque) de nos jours. Olga Kurylenko est somptueuse et captive à (la) merveille le spectateur par la grâce et la douceur qu'elle dégage. Une expérience moins forte et moins spirituelle que son prédécesseur, mais toujours aussi charmante dans sa poésie.
Peyton28
Peyton28

24 abonnés 331 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 8 mars 2013
Ce film est super méga chiant!!!!!!!
Il ne se passe pratiquement rien, il y a que des images, style "carte postale" de Paris, Versailles (Château), des Etats Unis, il n'y a que des conflits entre couples, des rivalités.
Les musiques ne nous embarquent pas non plus, il y a très très peu de dialogues, que des scènes lentes, sans rythme, c'est lassant au bout de 2H, quand même!!!!!!
Ben Affleck a un rôle qui ne sert à rien du tout, mise à part, son charme, son charisme et son côté sexy, son personnage ne parle presque jamais, il est juste là, debout, à marcher, la plupart du temps, il nous tourne le dos ou est de profil, super, on ne voit presque pas son visage, non, mais sérieux!!!! Faut arrêter tout de suite, votre période mystique, Monsieur Malick!!!!! Où va t-on sinon, des films chiants sur combien d'années, allez-vous nous faire endurer ça?
Déjà "The Tree of Life" était méga chiant, mystique, sans rythme, heureusement qu'il y avait dans ce film-là: Brad Pitt et Jessica Chastain qui réhaussaient le film avec leur talent et leur charisme.
Mais là, tous les acteurs sont transparents, autant Olga Kurylenko, il est vrai, qu'elle a beaucoup de grâce, qu'elle est belle, qu'elle apporte de la fraîcheur au film, mais sinon, à part danser tout le temps, et se prendre la tête avec Ben Affleck, elle ne fait rien, c'est dommage, parce que cette une bonne actrice en génèral. Rachel McAdams est très peu présente dans le film, on ne la voit qu'un quart d'heure, son personnage est insignifiant, heureusement qu'elle est assez talentueuse, pour que même en ne prononçant que quelques mots, elle marque sa présence et son talent, avec son charisme et son charme naturel, c'est une excellente actrice, dommage qu'on ne la voit que si peu.
Méga chiant et énervant, passez votre chemin, il ne vaut vraiment pas le coup.
AlexTorrance
AlexTorrance

31 abonnés 486 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 9 mars 2013
Marina ne pensait pas tomber amoureuse de nouveau. Pourtant, elle aime désormais éperdument Neil, qu’elle décide de suivre aux Etats-Unis avec sa fille, Tatiana. Très vite, l’amour qu’ils vécurent se change en une relation de malaise – parfois même d’hystérie. Ils ne comprennent pas bien ce qui leur arrive : Marina décide de rentrer en France. Neil, de son côté, remonte très vite la pente en renouant avec une de ses anciennes connaissances : Jane. Les évènements se déroulent d’une façon similaire et le malheur s’impose de nouveau dans le couple de Neil, au moment où Marina est au plus bas et doit épouser l’homme. De son côté, le père Quintana prêche chaque jour les principes de l’amour sans en connaître véritablement le sens. Depuis quelques temps, il ne sait plus où se situe sa croyance… Tandis que sa présence se faisait habituellement rare, ce n’est qu’un an après la sortie de la Palme d’Or The Tree of Life que Terrence Malick réalise son nouveau film, To the Wonder. À l’intérieur, il y est question de foi sous différents points de vue, différents personnages. La foi en l’autre, la foi en l’amour, la foi en Dieu. La tourmente de chaque figure du long-métrage évolue en crescendo, passé l’extase des premiers instants. L’évolution psychologique aurait pu, en cela, s’avérer intéressante si elle n’était pas réalisée de la sorte – avec toute cette mystique en carton que l’on retrouve dans la nature et les paysage qu’elle offre. (...) La critique complète est disponible sur le lien ci-contre.
funpav
funpav

14 abonnés 163 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 14 mars 2013
je commence à m'interroger sur les raisons qui font que certains puissent porter tant d'estime au cinéma de terence malick. J'avais aimé les mossions du ciel il y a plus de 30 ans, j'étais resté sceptique devant la ligne rouge, j'avais trouvé très fade le nouveau monde, je m'étais embêté devant l'arbre de vie, et j'ai sans doute encore été plus déçu par ce film. Mais que peut on en retirer? que le cinéaste se fasse plaisir avec des envolées esthétiques est une chose, qu'il parvienne à trouver des producteurs pour financer une succession de scènes sans liant, fades, creuses, insipides, en est une autre, mais qu'on trouve des gens à s'extasier devant ce type de cinéma m'étonne. Je suis prêt à parier qu'on montre ce film sans dire qu'il est de malick, 90% des gens qui encensent ce film diront que c'est inepte! pitié! qu'on ne compare pas ce cinéaste à kubrick comme j'ai vu que quelqu'un le faisait! kubrick était un génie dans tous les types de cinéma qu'il abordait, malick est un metteur en scène prétentieux, et son art ne m'émeut pas, sa réalisation me conduit à regarder ma montre toutes les 10 minutes, à me dire toutes les 5 minutes mais c'est quoi ce film (dont j'ai l'impression qu'une partie a du être faite dans les rushes de l'arbre de vie, tant on retrouve la même façon de filmer. Il veut "faire genre" de filmer comme cela... a oui il y réussit. Mais qu'est ce qu'on s'embete, devant tant de froideur. C'est glacial ce cinéma - et pardon de le dire, c'est profondément chiant jusqu'à la dernière scène dont on ne comprend même pas comment elle finit le film! a fuir!
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 19 mars 2013
Terrence Malick deviendrait-il stakhanoviste ? Alors qu’il lui arrivait de prendre son temps entre deux projets, voici qu’il nous sort A La merveille à peine deux ans après son Tree Of Life majestueux pour certains et problématique pour d’autres. Sur quel pente le cinéaste américain allait-il nous amener ?
danna2509
danna2509

24 abonnés 231 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 12 mars 2013
C'est magnifique! Dommage que le film s'essouffle dans les vingt dernières minutes. Cela dit il y a tellement d'idées et une telle maîtrise du langage cinématographique que même s'il y a des défauts, ce film est à découvrir. Les changements de point de vue et la caméra en mouvement permanent de Malick donne à cette oeuvre quelque chose de dansant et d'enthousiasmant. Cependant, j'avoue que j'en suis ressorti moins abasourdi qu'après avoir vu Tree of Life qui est bien plus aventureux. A la merveille est plus intime, peut-être plus féminin.
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 7 mars 2013
Objet cinématographique difficilement appréhendable et compliqué à expliquer, ce A la merveille m’a plutôt convaincu même s’il m’a manqué de l’émotion pour le faire passer au stade supérieur. Mais, bon, Malick, ça reste quand même très costaud…
Pascal L.
Pascal L.

51 abonnés 3 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 15 mars 2013
A mon sens, le plus grand chef d'oeuvre que le cinéma ai porté.
Traduisant les complexes destinée de l'amour avec un grand TOI...
Une manière de filmer où l'on vit la scène comme si c'était notre dernier souffle.
Je ne peux que vous inviter à pénétrer le merveilleux monde du sens aimer.
Romanista
Romanista

12 abonnés 200 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 1 décembre 2015
Autant j ai bien aimé les précédentes oeuvres de Terence Malik, autant celle ci a été difficile à suivre jusqu'à la fin. Bien-sûr, on retrouve la beauté de la photographie, la musique enivrante mais l histoire est somme toute déjà vu, même si c est à travers l oeil de ce réalisateur à part, elle reste banale et ne m a pas apporté la réflexion que j ai pu avoir sur les précédents films. Dommage... j attends de voir le prochain pour rectifier le tir 😉
Ykarpathakis157
Ykarpathakis157

5 032 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 18 octobre 2020
A la merveille est un film du réalisateur Terrence Malick. L'histoire commence avec le personnage de Ben Affleck à Paris où il tombe amoureux d'une mère célibataire nommée Marina jouée par la belle Olga Kurylenko. Lorsque le visa de Marina expire et que le personnage d'Affleck hésite à l'épouser, Marina et sa fille retournent à Paris. Il est impossible de ne pas comparer A la merveille à Tree of Life simplement parce que les deux films sont tournés exactement dans le même style. De beaux plans et une réalisation magnifique accompagnés d'une partition classique. Je pensais que A la merveille était peut-être un peu trop tôt pour une autre épopée de Malick et je ne pense pas que ce soit le cas en ce qui concerne la raison pour laquelle ce film échoue. Les deux personnages que je cherchais et que je voulais voir le plus étaient le Père Quintana et Jane de Rachel McAdams. Nous avons ici un prêtre qui lutte dans sa relation avec Dieu et une femme qui a souffert du chagrin et de la perte d'un enfant mais qui a trouvé un moyen de continuer à vivre en harmonie avec une grande foi. Ces personnages très intéressants sont sous-utilisés car le film se concentre davantage sur Neil et Marina que nous commençons à détester à la fin du film. Peu importe à quel point un film est abstrait ou alambiqué je n'ai jamais eu de problème pour arriver à une sorte de compréhension et généralement plus un film me laisse libre de l'interpréter plus je respecte le film. Cependant A la merveille nous laisse avec deux personnages dont nous n'avons plus aucune raison de nous soucier et le film ne nous donne aucun moyen de les comprendre ou de comprendre sa fin...
Sid Nitrik
Sid Nitrik

64 abonnés 416 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 12 avril 2014
Encore une fois Terrence Malick maîtrise indéniablement son sujet mais la notion de partage n'est, une nouvelle fois, pas au rendez-vous. Sorti dans la foulée de « The tree of life », alors que le réalisateur faisait de sa rareté une force, « A la merveille » s'inscrit dans la droite lignée du précédent. Autant vous dire que si « The tree of life » vous a laissé de marbre, en bien ou en mal, vous allez soit jouir, soit souffrir ici. Moi je pourrais me contenter de copier-coller mon analyse du cinquième film de Malick sauf que s'il existait tout de même un petit fil conducteur dans ce dernier, cet élément est ici totalement absent. Le réalisateur se contente d'étaler sa maestria technique et d'enchaîner des images magnifiques et empreintes de poésie mais sans aucun souci de coordination et de réelle construction d'une histoire. Pendant que l'on se contente, passivement, de peigner la girafe en attendant la fin des quasi 2h, Malick exécute un numéro abstrait qui n'intéresse que lui et passera pour stérile auprès du commun des mortels, du moins de ceux ne possédant pas un doctorat en philosophie métaphysique option secouage de cacahouètes. Les points vont à la réalisation, toujours impeccable, aux musiques, toujours magnifiques, ainsi qu'à Olga Kurylenko, toujours bandante. Espérons que, pour ses prochains films, le réalisateur remette son génie au service de choses plus simples, du moins plus accessibles aux idiots que nous sommes.
Romahnn
Romahnn

20 abonnés 47 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 2 avril 2013
Le gros problème de ce film, c'est qu'il se veut profond et spirituel, alors qu'il ne parle que de lassitude amoureuse. On peut aborder ce thème par la satyre (l'Amour dure trois ans) ou la banalité (les feux de l'amour), mais les contre-plongées et les allusions christiques, ça ne va pas, ça sonne creux comme un cailloux qui tombe dans un puit à sec.
dominique P.
dominique P.

856 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 8 mars 2013
C'est sincèrement un très beau film poignant, touchant, bouleversant.
Le souci c'est qu'il est un peu ennuyeux également et de ce fait la plupart des personnes ne vont malheureusement pas du tout l'apprécier.
Il ne faut pas s'attarder sur son côté ennuyeux et donc il faut voir et prendre en compte que la beauté et l'émotion qui se dégage de cette histoire.
Skipper Mike
Skipper Mike

94 abonnés 650 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 17 août 2014
Pour la première fois de sa carrière, Terrence Malick ne réalise pas un chef-d’œuvre. En effet, si "À la Merveille" recycle un grand nombre de techniques et de ficelles utilisées dans l'immense "The Tree of Life", on sent ici un vide, comme si le cinéaste ne parvenait pas à atteindre la puissance lyrique de son prédécesseur, malgré la beauté des images, les amples mouvements de caméra et la profondeur de l'écriture. Il n'y a nulle ambition cosmogonique dans "À la Merveille" et la splendeur graphique semble donc ici moins justifiée, comme si les thèmes abordés étaient trop terre-à-terre, pas assez imposants pour se fondre dans le décorum malickien sans créer de décalage. De même, on se souvient des introductions bouleversantes de "La Ligne rouge" et "The Tree of Life", qui faisaient monter les larmes aux yeux du spectateur en moins d'une minute ; ici, la platitude semble être de mise, et le réalisateur s'être engouffré dans une impasse artistique, ne parvenant pas à filmer l'époque contemporaine au tournage, qu'il aborde pour la première fois dans son intégralité. Cependant, il s'agit seulement des premières impressions, car si la Palme d'Or 2011 était un chant universel à la Vie, on comprend vite que "À la Merveille" est son équivalent pour l'Amour. En effet, à travers des acteurs habités, le scénario fait confronter l'amour terrestre à l'amour divin, avec tous les sentiments qui leur sont liés, extase, déprime, jalousie, colère, et le résultat est à ce niveau très convaincant. L'histoire est après tout simple et linéaire, mais la façon dont elle est filmée augmente sa profondeur et l'universalise bien – à ce propos, il faudra attendre le générique de fin pour apprendre les noms des personnages, et il est à noter que le drame qui se joue est autobiographique.
Cela dit, même pour les admirateurs de Malick, l'approche prise ici est assez déstabilisante, principalement en raison d'un choix nouveau vers lequel toute sa carrière tendait mais qu'il avait su éviter jusqu'à présent : si la voix off est la marque de fabrique de ses films et joue un rôle majeur dans leur beauté et dans leur profondeur, c'est la première fois qu'elle supplante complètement les dialogues, qui sont ici très rares. Cela est parfois dérangeant car, si l'écriture du cinéaste est incontestablement très belle et emplie de poésie, certaines répliques semblent ici superficielles, incongrues voire même ridicules. Ceci est surtout dérangeant si l'on ne parvient pas à rentrer dans le film, car le spectateur va alors prendre de plus en plus de distance et plonger dans l'ennui, mais en vérité, la poésie est toujours présente en quantité.
Quant aux acteurs, s'ils n'ont pas la fraîcheur des enfants de "The Tree of Life", ils sont néanmoins excellents et surtout emplis de naturel. On ne sait pas grand-chose de leur histoire ou de leur passé, mais on a l'impression de les connaître intimement – en particulier grâce aux voix off. Olga Kurylenko est singulièrement exquise, pleine de grâce et de folie intérieure ; elle représente à la perfection l'amour et s'impose surtout comme l'un des personnages de la filmographie de Malick dont il est le plus facile de se sentir proche. Quant à Rachel McAdams, elle est rayonnante et la séquence où elle apparaît est assurément la plus belle du film, peut-être la seule à égaler les instants transcendants qui parcouraient ses films précédents, avec le passage au Mont-Saint-Michel et les plans finaux. En effet, outre la beauté plastique de cette scène, on trouve plus de dialogues – les deux personnages étant américains, ils peuvent communiquer ensemble dans la même langue – mais on sent aussi une histoire tacite entre les amoureux, histoire garnie d'émotion. Dommage que la présence de Jane ne dure qu'un quart d'heure, car il y avait là de quoi tenir un chef-d'œuvre. En revanche, le personnage de Javier Bardem est beaucoup plus problématique. Non pas que l'acteur joue mal, mais son histoire personnelle, ses doutes et sa crise de foi s'insèrent difficilement dans l'intrigue principale, voir la gâtent un peu. Il aurait donc été préférable que le père Quintana reste un personnage secondaire, parfait quand il s'agit de montrer l'importance de l'amour et de souligner les rapports de Marina à la foi, mais bien trop pesant quand il passe au premier plan, via ses rencontres avec la population malade de cette ville américaine. C'est donc bien lui le principal responsable du caractère bancal du film et de l'ennui qu'il peut provoquer. Les longueurs s'installent d'ailleurs sur la fin lorsqu'il revêt plus d'importance, et l'œuvre se clôt donc de manière inégale, sauvée aux derniers instants par une conclusion tarkovskienne remarquable, aussi apaisante que déprimante mais contenant des images superbes, au point que le sentiment océanique rencontré par Marina (le même que celui que connaissaient Mme O'Brien dans "The Tree of Life" lors de la séquence cosmique et son fils à la fin du long-métrage) se transmet facilement au spectateur.
En somme, "À la Merveille" est un film difficilement accessible, parfois inégal mais bien marquant voire bouleversant, préférant l'immanence à la transcendance de "The Tree of Life", et qui pâtit peut-être des coupes du montage final, mais qu'il convient de voir plusieurs fois pour bien l'apprécier – encore faut-il en avoir le courage. Pour ma part, s'il m'a ennuyé au premier visionnage, il a été une véritable révélation au second.
anonyme
Un visiteur
3,5
Publiée le 3 avril 2013
Je suis trés divisé par ce film, outrancièrement descendu par la critique parisienne. Le film est d'un bon gout absolu, une sorte d'opéra visuel et sonore, lyrique, subjuguant... Le propos du film verse hélas dans un catéchisme catholique avec un premier degré épuisant et dérangeant. A voir, tout de même, car... c'est du vrai cinéma, tout de même !
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