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Un visiteur
2,0
Publiée le 25 novembre 2011
« Ca va être dur de faire ça en finesse » « Oublie la finesse ! »
Ca commence on ne peut plus normalement. Don, gueule patibulaire mais presque, condamné à la prison à vie, est transféré vers sa prison dans un bus aussi bien défendu qu’un distributeur de M&Ms. Avec deux voitures de courses, sa sœur et son complice le font échapper non sans faire réaliser au dit bus un quintuple salto arrière en se servant d’une des deux bagnoles comme tremplin. Heureusement, le reporter arrivé sur les lieux nous informe qu’aucune victime n’est à déplorer. Ouf. Tout ça avant le générique.
A partir de là, on se dit qu’on tient peut-être ce que l’on était venu chercher : un authentique nanar décérébré, plein de testostérone, de grosses bagnoles et d’une niveau abyssal d’idiotie. La première demi heure depuis Rio De Janeiro est un enchantement. Entre deux plans du Corcovado, le film vous apprend par exemple à voler des voitures depuis un train en marche dans le désert, à l’aide d’un chalumeau et d’une grosse paire de couilles. Mais le meilleur est à venir en la personne de l’agent fédéral qui débarque dans la cité brésilienne pour mettre la main sur les fugitifs . On sait depuis la semaine dernière qu’un commando américain a le pouvoir d’aller flinguer des gens à peu près partout sur la planète, avec les flics locaux qui leur déroulent le tapis rouge. S’appuyant sur cette jurisprudence Ben Laden, The Rock, ses 130 kilos de muscles et son improbable bouc en permanence trempé de sueur prennent donc un malin plaisir à traquer nos trois héros en tuant à peu près la moitié de la ville sur leur passage. Cette sensation d’assister à quelque chose d’unique est renforcée quand débarque Elsa Pataky (ex Mme Michael Youn) en tant que traductrice assermentée, pour participer au concours d’interprétation minimaliste lancé par Paul Walker qui prouve que l’on peut tenir un film de deux heures avec une seule expression faciale.
Du grand n’importe quoi donc, mais qui s’effiloche au fil de minutes pour ramener tout ce beau monde vers un film de braquage presque banal, espèce d’Ocean’s Eleven du pauvre, avec un grand méchant et un commando où chacun a un rôle précis dans la longue préparation du casse. On en est à regretter franchement le début du film quand le réalisateur, manifestement fatigué de filmer des personnages parler et réfléchir, revient enfin à la raison dans la dernière demi-heure. Au programme : corps à corps de 250 kilos cumulés entre The Rock et Vin Disesel, abatage de murs du commissariat central de la ville, destruction de la plus grande partie de la flotte des voitures de l’état de Rio, prouesses au volant en couple (programme libre), morale positive sur l’amitié et la famille et vieilles feintes de l’ours que tout le monde comprend bien avant les flics. En somme, de quoi faire passer Michael Bay pour Claude Sautet. Et donner au film une filiation totalement incongrue avec Tex Avery ce qui pousse le spectateur vers un état de perplexité avancée. On en ressort sûrement un peu plus bête que quand on y était entrés, mais si vous cherchez le film débile mais hautement euphorisant de ce début de période estivale, vous l’avez trouvé.
Superbe film, tous les acteurs réunis a part Rodriguez, et en plus Rock le monstre, superbe combat entre les 2 meme si j'aurais pref Rock win, je ne mets pas 5 car pas assez de course de voiture et surtout le chinois monstrueux en drift ne fait rien
Tout simplement le meilleur de la franchise. En abandonnant les courses poursuites, en se focalisant plus sur les personnages et en y ajoutant des scènes d'action bien explosives, "Fast Five" assume littéralement son statut de divertissement très efficace de bout en bout. L'oeuvre se permet même d'être plus dense que ses prédécesseurs en proposant un scénario un poil plus fin avec l'introduction de quelques valeurs familiales et le réunion de la bande qui a fait le succès de l'entier de la série. Mais n'oublions pas que "Fast & Furious" reste un film de voitures et de ce côté-là, pas de déception à l'horizon: les scénaristes n'ont pas oublié d'inclure de très belles carrosseries qui feront rêver tous les fans d'automobiles.
C'est marrant, mais pas tres intelligent, en meme temps c'est pas ce qu'on lui demande. Du vrai JACKIE TUNNING, car les HONDA et autres merdes tunnés c'est pas possible et pathetique, ils pourraient prendre de bonnes voitures, car elles sont moches et ont des moteurs de merde. Je ne comprend pas pourquoi ils ne gardent pas la porshe gt3 RS. A quand les logans?
Techniquement il est bien , il y a de bonne scène d'actions . . . Mais plus de courses !!! :O non !!! et long des fois , et puis c'est vraiment pas mon style de film .
Un film survitaminé mais tout de même bien limité. Pour quiconque ne connait pas les autres volets ( dont je fais parti ),il y a de quoi frémir lorsque l'on apprends que celui çi est le meilleur de la saga selon beaucoup de spectateurs... On ose à peine imaginer les autres .
On attendait le petit plaisir coupable... C'est ça et bien plus encore. Il aura fallu 4 films pour arriver à un très bon, il était temps, mais l'attente vallut le coup.
Un film d'action vraiment efficace !! L'histoire ce laisse suivre tranquillement, le casting est bon et les scènes d'actions sont vraiment bien réaliser en plus d’être spectaculaire. Ce cinquième volet fait vraiment gagner en intensité la saga Fast and furious.
Un peu de sérieux messieurs... Un film débile, une histoire tirée par les cheveux, des acteurs mauvais, des enjeux qui ne sont pas à la hauteur, beaucoup de longueurs et de l'action pendant les 15 dernières minutes. C'est un film qui se regarde mais qui ne fait pas vraiment passer un bon moment.
Un très bon film d'action avec un scénario classique mais entrainant et un casting plutôt bon. La toute fin m'a surpris, ce qui fait un point positif en plus. 13/20