Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Libération
par Didier Péron
(le) film démontre une grande générosité d'intrigues et un sens continu de la fantaisie qui font plaisir à voi.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Planetcinema.com
par Marc Bianco
Hormis des messages parfois relous, le film vaut surtout pour la galerie de personnages que rencontre le beau Léo (Sagamore Stévenin, une découverte).
La critique complète est disponible sur le site Planetcinema.com
Première
par Christophe Carrière
Putain, deux heures! Ce n'est pas qu'on se lasse, mais ça s'éparpille. On a beau avoir fait Et la tendresse?... Bordel!, ce n'est pas une raison pour faire du bon sentiment à tout prix.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Le film de Patrick Schulmann se révèle très vite insupportable tant il semble appartenir à un cinéma qui ramène à la glorieuse époque des Charlots et de la 7e compagnie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Le mot salmigondis semble avoir été inventé pour Patrick Schulmann, qui enquille les séquences avec un sens tout à fait spécifique du coq-à-l'âne
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
(le) film démontre une grande générosité d'intrigues et un sens continu de la fantaisie qui font plaisir à voi.
Planetcinema.com
Hormis des messages parfois relous, le film vaut surtout pour la galerie de personnages que rencontre le beau Léo (Sagamore Stévenin, une découverte).
Première
Putain, deux heures! Ce n'est pas qu'on se lasse, mais ça s'éparpille. On a beau avoir fait Et la tendresse?... Bordel!, ce n'est pas une raison pour faire du bon sentiment à tout prix.
Le Monde
Le film de Patrick Schulmann se révèle très vite insupportable tant il semble appartenir à un cinéma qui ramène à la glorieuse époque des Charlots et de la 7e compagnie.
Télérama
Le mot salmigondis semble avoir été inventé pour Patrick Schulmann, qui enquille les séquences avec un sens tout à fait spécifique du coq-à-l'âne