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Frédéric M.
180 abonnés
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2,5
Publiée le 19 novembre 2022
A part le plaisir de revoir le charmant casting du 1er, la magie n'opère plus. Le film est moins drole, plus chanté, plus longué, moins captivant. Disney puise dans ses classiques et continue à nous sortir des suites complétement inutiles pour justifier sa plateforme (Hocus Pocus 2, ...). Le 1er film était suffisant
J’avais vu le premier film, il y a plusieurs années et l’idée était très originale. Faire une suite n’est pas forcément nécessaire mais bon, voyons voir. Et c’est vrai que ce n’était pas nécessaire car le film n’est pas terrible ; l’histoire mérite d’avoir une bonne idée mais se base sur des clichés et la mise en scène n’est plus dans son temps.
Pour un film qui sort directement sur une plateforme de SVOD, il ne faut pas s’attendre à une réalisation de dingue mais il ne faut pas non plus accepter le pire. Effectivement, la mise en scène se calque trop sur un film d’animation de princesse mais en prise de vue réelle ; cela crée un trop gros décalage et gâche un peu le film. D’autant plus que les effets spéciaux sont relativement moches et les costumes manquent de travail. Sinon, les décors sont passablement regardables mais sont clairement too much. Sans oublier que le côté animation est assez beau mais trop peu présent et que la 3D est horrible.
Quant au scénario, il est regrettable. L’idée de rendre la gentille méchante est vraiment intéressante mais tout ce qui entoure le reste du film n’est qu’une comédie musicale parmi tant d’autres ; cela se transforme en un film pas du tout prenant et rapidement ennuyant. D’autant plus que les protagonistes ne sont pas très bien écrits (big up aux jeux d’acteur éclatés) ; je pense notamment à l’adolescente qui joue le cliché d’une adolescente rebelle vue par un octogénaire, et c’est quelque chose que je hais : les vieux qui inventent la vie d’un adolescent.
Bon, malheureusement, je ne peux pas conseiller ce film car je trouve que malgré une chouette idée de départ, le film s’enfonce dans une histoire trop cliché et prévisible sur une réalisation qui n’a rien de fou.
Cette suite de "Il était une fois", réalisé cette fois par Adam Shankman et sorti tout récemment directement sur Disney+, n'est franchement pas mal ! En même temps, j'avais particulièrement aimé le premier (contrairement à pas mal de critiques négatives) et j'avoue que j'attendais ce second opus, non pas avec impatience non plus, mais avec une certaine curiosité. Nous retrouvons donc Giselle et Robert qui ont cette fois un bébé et qui décident de déménager en banlieue. Déjà, j'adore l'analogie de la princesse à la petite ménagère, femme et mère au foyer car c'est tout à fait ce que nous avons dans la première partie du film : une femme qui adore s'occuper de son foyer pendant que son brave mari part au travail en ville. On retrouve d'ailleurs quelques vibes de "Ma sorcière bien aimée". J'apprécie également beaucoup cette idée que Giselle puisse s'ennuyer dans sa nouvelle vie de femme au foyer, venant alors conjurer la célèbre phrase "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants". Et ensuite, le film ne cesse de surprendre avec ce vœu que réalise Giselle consistant à vivre dans un conte de fée. Ce n'est donc plus cette fois des personnages de contes de fées venant dans notre monde mais carrément le monde magique lui-même, ce qui cause alors de sacrés dégâts. Alors dit comme ça, ça peut faire redite et c'est d'ailleurs ce que je craignais. spoiler: Mais le film surprend une nouvelle fois en faisant de la princesse, l'héroïne, la belle mère acariâtre à la "Cendrillon", voulant prendre la couronne de la Méchante Reine pour le devenir à son tour. On a alors un personnage complètement schizophrène pendant deux heures, essayant de combattre sa nouvelle personnalité de "méchante", admirablement interprété par Amy Adams, passant de la naïveté à la cruauté en quelques secondes. Amy Adams qui semble d'ailleurs n'avoir prit aucune ride en quatorze ans ! On a d'ailleurs une ambiance, mais surtout un concept, se rapprochant fortement de la série "Once Upon a Time" (mais à l'envers) puisque chaque personnage occupe alors un stéréotype de conte de fée Disney. Malgré tout, le film sonne parfois un peu cheap avec ses effets numériques se faisant de plus en plus nombreux et présents et puis surtout, nous avons quand même pas mal de longueurs ! Déjà avec les chansons qui en deviennent vite lassantes (même si celle entre Giselle et la Méchante Reine reste très bonne sur le plan de la mise en scène) et puis avec des séquences qui ne sont pas nécessairement utiles, notamment la fin qui traine beaucoup trop en longueur. "Il était une fois 2" est donc, me concernant du moins, une suite réussie qui prend quelques risques en proposant autre chose (ce qui est plutôt rare pour être souligné), tout en restant dans le même esprit que le premier !
Quel dommage de passer autant à côté de son sujet. Il y avait pourtant mieux à exploiter. On ne retrouve pas son innocence. Cela aurait pu être le conte de Noël, c'est une simple comédie musicale avec de la fausse magie.
Cette suite peu attendue, qui semblait tout droit débarquée pour alimenter la plateforme prend une nouvelle direction. Toujours gavé de références, plus vraiment nécessaires dans cette résurgence, se renouvelle, change de décors et bouscule nos certitudes en faisant de la gentille une méchante et en faisant pénétrer tout l'univers des princesses dans le monde réel pour un spectacle en grande pompe. Toujours aussi familiale et enchanté. Que ça plaise ou pas, ce second épisode en ressort finalement surprenant et mieux ficelé que le premier, moins attendus et plus spectaculaire.
Résumé à la con : Une nana avec une vie bien trop simple décide de mettre le paquet pour se la compliquer.
L’avis cool : Une relecture des contes de princes et princesses qui évite de mettre les deux pieds dans le plat du jeunisme et de la mièvrerie en parvenant en un coup de baguette magique à distiller quelques touches d’humour efficaces et empreintes de second degré. Le divertissement est honnête pour qui apprécie voir des trublions colorés se mettre à chanter au mot pré ce qu’ils viennent déjà de raconter dans un dialogue trop excessif pour être vrai.
L’avis moins cool : L’aspect musical est par ailleurs tout à fait inégal mais certaines chansons sont surprenamment efficaces. Le film ne parvient jamais à retrouver le souffle épique (made in aliexpress), l’effet de surprise ni la fraicheur du premier volet qui abordait une dimension parodique assez originale. Un bonbon nostalgique mille fois trop sucré pour certains, une papillote imbouffable où le pétard vous explose à la tronche pour d’autres, faites votre choix!
De meilleurs films pour mioches qui plairont aussi aux grands : - SHREK, 2001 - Andrew Adamson, Vicky Jenson - TEMPÊTE DE BOULETTES GÉANTES, 2009 - Phil Lord, Christopher Miller
Ce film de 18 novembre 2022 on peut le trouver sur disney+ et est est pas mal, j'ai vu le premier film mais il a avait pas besoin de 2ème film, breff le film est adorable a regarder.
Les effets spéciaux sont très bien fait et en même temps les costumes des acteurs sont trop bien fait et trop beau, ainsi que l'histoire.
L'histoire en plus détaillé est que Giselle et Robert sont mariés depuis 10 ans. Lassés de la vie citadine, ils emménagent dans le quartier résidentiel de Monroeville avec leur petite famille, dans l’espoir de mener une existence un peu plus féerique. Malheureusement, les choses ne se déroulent pas sans accrocs. Les banlieues chics sont régies de façon stricte, comme ne cesse de le rappeler Malvina Monroe, gardienne du temple autoproclamée. Résultat : Giselle se sent plus isolée que jamais. Frustrée que le bonheur promis soit si difficile à trouver, elle fait appel à la magie d’Andalasia et transforme accidentellement son quartier en un véritable conte de fées, au risque de mettre en péril le bonheur de sa famille. Embarquée dans une course contre la montre, elle devra conjurer l’enchantement et se poser la question de savoir ce qu’elle et sa famille entendent vraiment par l’expression « … Ils vécurent heureux ».
Quinze ans après le premier volet qui influença toute une génération, sa suite «Il était une fois 2» sort enfin sur nos écrans ? Est-ce que ce retour semblait nécessaire ? Est-ce que cette suite est à la hauteur des attentes ?
Pour rappel en 2007 : Disney proposait avec «Il était une fois» une comédie musicale qui certes s’amusait à parodier avec style et élégance les vieux classiques de la maison tout en y offrant un spectacle d’envergure et de nouveaux personnages hyper attachant. En particulier celui de la princesse Giselle. On avait alors Alan Menken (compositeur phare de la firme – récompensé 8 fois aux Oscars) derrière la partition entre autres accompagner de Stephen Schwartz (auteur de la comédie musicale Wicked). Le film signait la première incursion de la chanteuse Idina Menzel qui six ans plus tard devait laisser sa voix à Elsa dans «La Reine des Neiges». Et tout comme Anne Hathaway et Selena Gomez a une autre époque : la comédie musicale made in Disney propulser sur le devant de la scène l’actrice Amy Adams dont la popularité n’as jamais démentie depuis. Dire que les attentes étaient élever serait peu, et heureusement que la suite est arriver quinze ans plus tard.
Une fois dis cela est-ce que ce retour semblait nécessaire ? Bien qu’il laisser la fin totalement libre, «Il était une fois» ne semblait pas avoir besoin de suite. En tout cas au premier regard. Et en même temps quand on regarde cette suite, on se dit qu’il aurait été dommage de se priver de ce second volet et qu’au final elle semblait tout à fait logique. Il ne s’agit nullement de la suite de trop avec «Il était une fois 2». Au contraire, le film renouvelle la recette du premier film – poussant encore une fois au paradoxe le concept de la relecture des contes de fées. Ne reniant jamais son héritage, le long-métrage d’Adam Shankman n’hésite pas à user des références, parfois il est vrai à la défaveur du film. Quand on connaît les recettes de la maison Disney, rien ne semblera nouveau. Et pourtant la recette marche encore. On appuie peut-être trop sur la nostalgie par moment, mais que ce soit visuellement dans sa mise en scène ou ses décors : «Il était une fois» est un enchantement. Et cela sauve un peu les meubles bien que le script aurait mériter plus de profondeur mais on va dire que ça passe.
La quasi-totalité des acteurs du premier volet est de retour. Amy Adams en tête qui reprends avec une fougue bienvenu et il faut dire un certain panache son rôle iconique. Elle apporte au personnage une touche de «méchanceté» bienvenue tout en conservant le côté princesse du rôle. A nouveau elle est juste épatante dans ce rôle, elle danse, chante et joue divinement bien et on ne comprends toujours pas qu’elle n’est pas reçut d’Oscar. En face d’elle : Maya Rudolph fait une méchante bien plus fourbe et intéressante que Susan Sarandon et offre une performance jubilatoire, quasi à l’image de sa rivalité avec Adams. Toute deux rappelent beaucoup chacune dans un registre ce que «Cruella» pouvait proposer allant même à pousser la caricature jusqu’au bout. Elles sont les véritables gros atouts du film. Patrick Dempsey est intéressant dans un rôle à contre-emploi, James Marsden comme à son habitude sous-exploiter un peu comme Idina Menzel mais qui s’en sort bien puisque c’est elle qui interprète le hit du film «Love Power». La jeune Gabrille Brancchiano succède à Rachel Covey avec naturelle et justesse dans le rôle de Morgane. Les autres acteurs sont plutôt bons dans les seconds rôles mais ne se démarquent pas plus que ça.
Côté réalisation Adam Shankman offre une réalisation et mise en scène de qualité. Un poil kitsch mais c’est ce qui fait la saveur d’ «Il était une fois». Il succède avec beaucoup d’aisance à Kevin Lima, apportant une touche de folie plus exacerber. Chaque scène est un tableau à lui même. Après, ce n’est pas non plus un chef d’oeuvre sur le plan technique, mais l’ensemble est honnête. Les costumes sont magnifiques, les chorégraphies aussi, beaucoup d’effets spéciaux mais pas non plus à gogo, et j’ai adoré tout les messages en 2D d’ailleurs confier au studios animé derrière «Le Retour du Mary Poppins».
Ne reste alors que la musique. Alan Menken et Stephen Schwartz remettent donc le couvert pour ce second volet. Après le succès du premier film, difficile de faire mieux. Tout comme le duo Lopez-Anderson avec «La Reine des Neiges 2», ils proposent de nouvelles qui à la fois ne veulent pas trahir l’original mais ne se démarque pas totalement par peur de briser une certaine hype créer par les ainés. Ce qui est un peu dommage. Alors même si elles sont sympa dans l’ensemble et un poils plus percutante que celle du «Retour de Mary Poppins» mais moins mémorable que «La Reine des Neiges 2» : on sent une certaine frilosité de la part d’Alan a être audacieux. Quelques unes se démarquent notament «Lover Power» qui est ma préférée et «Banner» mais voilà c’est vrai que j’attendais sur certaines plus de charme sur certaines.
Drôle, intelligent, poétique : «Il était une fois 2» conclut avec émotion et charme ce qu’avais initié les studios Disney et ses équipes en 2007. C’est une suite tout à fidèle au style de la maison et une suite digne du premier film qui sans la dépasser convie les nostalgiques et la jeunes générations à un divertissement de qualité. Bref du grand Disney et certainement l’une des conclusions les plus réjouissantes que la firme aux grandes oreilles ai proposer à un de ses succès. Les deux sont très bien, alors pas de troisième volet. Coup de cœur nostalgique assumé pour moi.
Une suite très intéressante qui fait redécouvrir tous les personnages et acteurs originaux du 1er film quelques années plus tard. Gisèle qui incarne un nouveau rôle très différent de celui qu'elle incarnait dans le premier opus. Le rythme Disney y est très présent par les décors, les musiques et beaucoup de clins d'oeil aux autres princesses... Petit bémol : ce film n'est pas aussi drôle que le premier et un peu moins divertissant mais malgré très bien !
J'ai adoré cette suite, avec les même acteur même si certains on pris chère, mais il y a encore plus de magie et de féerie que dans le premier , spoiler: enfin quel plaisir de retrouver de l'animation, depuis mary Poppins 2 et Tic et Tac!!! je recommande fortement!!!
Alors que le premier "Il était une Fois" (2007) était en majorité inspiré par "Blanche-Neige et les Sept Nains" (1937), cette fois la source principale est "Cendrillon" (1950). Ce qui n'empêche pas que cette suite reste aussi référencée que l'opus original avec une collection de séquences qui renvoient aux Classiques de Disney, pêle-mêle vous pourrez chercher le miroir magique de "Blanche-Neige...", l'évasion à la façon d'une "Raiponce" (2010), les douze coups de minuit, la scène de bal de "La Belle et la Bête" (2017), le personnage Mode d'Emploi qui renvoie à un autre personnage de "Alice de l'Autre Côté du Miroir" (2016), le parallèle avec les allumeurs de réverbères du film "Le Retour de Mary Poppins" (2018) ou encore le luciole de "La Princesse et la Grenouille" (2010). Néanmoins, le conte de fée se fait cette fois plus dramatique, plus sombre, plus sérieux. En effet, la drôlerie est beaucoup moins présente, les gags semés avec plus de parcimonie. Le film perd donc ce qui faisait le sel du premier opus, à savoir l'autodérision. Dommage donc, mais le film reste plutôt cohérent pour un joli joli moment familial bien que moins amusant, peut-être trop mature et trop long dans sa dernière partie. Site : Selenie.fr
Une suite très dispensable du premier Il était une fois, film Disney qui n'était pas particulièrement remarquable à sa sortie en 2007 (de la niaiserie à gogo, des chansons à foison... On y avait été trainé par la famille, on s'en rappelle encore). Ce Il était une fois 2 (alors que "Il était deux fois" était tellement plus classe) reste dans la veine de son précédent, et ne décevra pas les férus du genre. On retrouve donc Amy Adams (toujours en forme), Patrick Dempsey (bien plus en retrait que dans le premier film, dommage), Maya Rudolph (qui s'éclate en méchante, ça, on ne lui enlèvera pas) et James Marsden (qu'on ne voit quasiment pas, dommage aussi). Ici, on s'intéresse seulement à la dualité entre les deux "méchantes" du film, dont la petite chanson en duo est l'unique potable (oubliable, mais au moins agréable sur le moment), mais n'espère pas jouer d'autres sous-intrigues en parallèle, ce qui nous ennuie assez vite. L'ensemble des personnages secondaires pourrait disparaître, que le scénario ne le remarquerait même pas (seul le binôme antagoniste compte), une belle panoplie de papier-peints bariolés derrière Amy Adams et Maya Rudolph (ambiance Leroy Merlin). Côté chanson, vous pouvez zapper, aucune ne sort du lot, et on ressort du film sans en avoir retenu une seule. Le final est moins impressionnant que dans le premier film (le combat est faiblard...), et le twist niais spoiler: qui sauve tout le monde (même les méchants) nous a convaincu que seuls les fans de l'opus précédent peuvent apprécier de regoûter à cette soupe fade.
Passez votre chemin. Bande annonce correcte, un peu méta. Mais, sinon, hormis un morceau, chansons pénibles hurlées à la chaîne, scénario sans inventivité, humour quasi absent. Sans intérêt, au contraire du 1er opus.