Avatar : la voie de l'eau
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selenie
selenie

6 516 abonnés 6 258 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 15 décembre 2022
Le film débute assez simplement, juste ce qu'il faut pour présenter une famille qui s'est agrandie durant quelques années mais c'est aussi et surtout quelques minutes où il faut s'adapter à un film tourné en 48 images/sec, avant de rester scotcher au siège devant la beauté inouïe de Pandora, les images sont bluffantes, démentes de créativité et de fluidité avec un bestiaire aussi riche que cohérent qui va semer le récit du début à la fin. Les effets visuels sont à un niveau jamais atteint au service d'un scénario certe classique comme l'était le premier film mais empreint de messages écolos et pacifiques encore plus marqués et toujours dans un soucis d'universalité. Par contre le cinéaste saute à pied joint dans les clichés adolescents avec le panel "idéal" avec en prime les relations parents-enfants qui semblent donc être la base de toutes familles (?!). Les enfants ne sont pas laissés pour compte et qui ont toute leur part au sein de l'aventure, il ne sont pas des "seconds rôles". Néanmoins, on aurait aimé une cause plus logique pour quitter leur forêt et leur peuple pour une migration vers l'inconnu et les mers. En effet, la raison invoquée ne tient pas franchement la route, ils savent très bien que ceux qui viennent du ciel ne vont jamais en rester là. Cette décision et ce voyage qui en découle sont assez peu cohérente et même assez vite expédiées, c'est le grand et réel défaut du film.
Site : Selenie
Vador Mir
Vador Mir

265 abonnés 829 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 18 décembre 2022
On dirait 3 heures de cinématique de jeu vidéo !
Et que reste-t-il d'Avatar sans la performance technique ? pas grand chose: les personnages sont peu attachants, l'histoire est basique. Le premier Avatar n'était pas un chef d'œuvre scénaristique non plus.
Tout ce déluge de moyens pourrait être mieux utilisé.
Les avancées techniques depuis 2009 ne sont pas disruptives, la fumée en CGI fait toujours aussi fake.
nokidoki
nokidoki

83 abonnés 554 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 19 décembre 2022
Ce n'est pas un film. Ce n'est pas seulement un chef d'oeuvre, mais une oeuvre d'art.
James Cameron a dépassé tout ce à quoi on pouvait s'attendre d'un tel film.
Une histoire magnifique. On pourrait y voir juste le côté écologique, mais non. il y a tellement de messages qu'il est impossible de tous les citer. Le plus important et qui compte beaucoup pour moi, car j'ai été élevé avec ça, est la famille est la chose la plus importante dans la vie. Quand elle est bien soudée on peut faire tomber toutes les barricades.
Pour ce qui est de la créativité, c'est incroyable tout ce nous propose Cameron. Mais où va-t-il chercher toutes ses idées ? Que peut-il nous proposer de plus dans les trois films qui restent ?
Quand aux effets spéciaux, je n'en parle même pas, l'Oscar est acquis.
Et j'en arrive à ce qui m'a le plus impressionné, l'IMAGE. Une image d'une qualité et d'une beauté sans pareille.
Pour dire, j'avais la chair de poule pendant tout le film. A certains moment l'émotion me gagnait à tel point que j'étais au bord des larmes.
Merci Monsieur Cameron pour cette Magie
allcinefilm
allcinefilm

4 abonnés 29 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 16 décembre 2022
Bon je vais être honnête, dans ce 2ème Avatar le côté "Star Wars" m'a dérangé et aussi trop de redondances avec le 1er. Et trop de combats durant tout le film. On s'éloigne un peu trop du côté spirituel du 1er Avatar. Le côté combat est ennuyeux et trop de similitudes encore une fois avec le 1er.
Bdfoucher
Bdfoucher

59 abonnés 94 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 18 décembre 2022
Difficile de juger. Parce qu’on est à la confluence du spectacle et du cinéma. Exactement le dilemme du cinéma à ses origines. Georges Mélies et sa magie («Le voyage dans la Lune » en 1902) ou André Calmettes (« L’assassinat du duc de Guise » en 1908 avec la participation exceptionnelle de Camille Saint-Saëns pour souligner le potentiel artistique du cinématographe ) ? C’est un peu comme si, sur une échelle unique, il fallait juger de la littérature à travers les œuvres de J.K Rowling (Harry Potter) ou de Anne Golon (Angélique, marquise des Anges) , Guillaume Musso ou Marc Levy pour être tout à fait contemporain. Le point positif que je veux en retenir c’est que les uns ne peuvent vivre sans les autres : sans le succès des auteurs populaires , l’édition toute entière irait moins bien. Même chose au cinéma. Sans les péplums à grand spectacle, avec aujourd’hui Odorama (expérience ratée de Polyester en 1981) ou les lunettes trois D (expérience réussie de Avatar en 2009) , le cinéma aurait peut être du mal à se réinventer à l’heure de Netflix où des consoles de jeu et du smartphone. C’est cher payé pour se garder la possibilité de voir des œuvres intimistes au cinéma mais c’est ce qu’il faut payer pour continuer d’aller et d’aimer le cinéma. Et puis hier au soir … la salle était pleine. Tant mieux.

Donc côté pile, il y a le spectacle. C’est une réussite totale . On en prend plein la vue. Les images sont splendides. C’était entre le « Oui oui à la plage » de Enid Blyton de mon enfance et une séance à l’Aquaboulevard de Paris (qui coûte plus cher). L’histoire est simple. Les personnages sont beaux et tout passe par le regard. On voit la vie en bleu au milieu des poulpes et des algues. Il n’est pas surprenant qu’en sortant, on trouve notre planète triste et grise et on a déjà identifié un « Post Avatar Dépression Syndrome » (PADS) qui frappe les spectateurs déçus du retour à la réalité (il faut pourtant remiser ses lunettes) . Mais le film est plaisant, plein d’action puisque les méchants terriens reviennent pour assassiner Jack Sully, l’ancien marine handicapé, qui a épousé Ney’tiri qui lui a donné quatre beaux enfants, deux garçons turbulents et deux filles malignes et charmeuses… L’action se déroule sans risque véritable puisqu’il y aura un Avatar 3 puis 4 et 5 (en 2028 qui se déroulera sur terre ) . J’irai certainement les voir comme pour rendre hommage à une nouvelle mythologie à la Roland Barthe comme je m’applique à lire chaque année le nouveau Amélie Nothomb … et puis Avatar est une affaire qui marche. Avatar 1 a coûté 237 millions de dollars et rapporté 2,78 Mds de $. Un rapport de 1 à 10. Celui -ci devrait faire au moins autant pour un investissement de 250 millions de $. En terme de marge brute, ça fait rêver et on se dit qu’avec un tel bilan financier les autres opus sortiront . Ouf…

Côté face, c’est un peu moins glorieux. Le scénario est tout de même super léger et James Cameron (né en 1954), réalisateur de Terminator (1984), Alien, le retour (1986) , Abyss (1989) et Titanic (1997) ne s’est pas trop fatigué pour recycler son savoir faire (Abyss et Titanic ) et quelques grands moments du cinéma: «Waterlord » de Kevin Reynolds (1995) avec Kevin Coster et surtout « Moby Dick » de John Huston (1956), peut être « Tarzan » pour le personnage de Spider. Si seulement ce film donnait envie aux spectateurs d’aller voir ce chef d’œuvre du Maître avec Gregory Peck, en capitaine Achab fou (car non Moby Dick n’est pas que le nom d’un rappeur… ) ou de lire le livre éponyme de Herman Melville … Bref, il y a quand même, avec Avatar, une sérieuse impression de déjà vu pour les regards avertis. Comme la 3 D n’est du coup plus vraiment révolutionnaire (le premier film 3D est de 1954, “L’étrange créature du lac noir” ), le filon risque de s’épuiser rapidement un peu comme « Dune » ou “Jurassic Park” qui marquera cependant toute une génération.

Ce qu’il y a de véritablement intéressant dans ce genre de saga c’est qu’en définitive, les épisodes, qui sont fait pour séduire, capte l’esprit du temps qui les produit et de ce point de vue, il n’y rien de futuriste. Avatar 2 n’échappe pas à la règle. Je note sur d’abord Avatar 2 est plus sombre que le premier opus. Est ce un hasard ? Ou la perception de ce que la dernière décennie est sans doute moins brillante que ce que nous annonçait le siècle nouveau en l’an 2000? Ensuite, Avatar 2 est aussi une fable écologique et océanique (“la voie de l’eau”) qui parle en terme d’équilibre entre la nature et l’homme, d’énergie entre les espèces… L’océan est la partie de la planète la moins protégée et c’est un vrai sujet d’actualité. Avatar 2 met enfin en scène, et c’est un choix , des familles classiques, maris et femmes et leurs enfants, des familles unies (“notre famille sera une forteresss” dit Jake Sully), sur fond de métissage (sa famille est hybride ; ils sont accueillis par des Na’vi aquatiques, différents de ceux des forêts; ils recueillent Spider qui est un humain) et de querelles sur l’acceptation des différences (thème il est vrai rebattu au cinéma depuis « Le garçon aux cheveux verts » de Losey en 1947, moment de grande mixité après la guerre ) . Mais c’est toujours utile de le répéter.

Mais, je reste dans mes bottes. J’aime le cinéma «chiant » comme on dit et les histoires complexes si elles m’apportent quelque chose et me pousse à réfléchir. Plus donc «  Reflet dans un œil d’or » que « Le trésor de la Sierra Madre » de John Huston, déjà cité. Avec Avatar 2, je me suis diverti. Je ne me suis pas ennuyé. Je recommande de le voir comme je dis souvent lisez aussi Guillaume Musso à ceux qui le dédaignent. Car en définitive, Avatar 2 est un événement mais pas un chef d’œuvre .
traversay1
traversay1

3 757 abonnés 4 914 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 21 décembre 2022
Puisque l'Avatar n'attend pas le nombre des années, ce nouvel opus hydrophile de James Cameron sera donc le sauveur des salles de cinéma, du moins on l'espère. Même quand on a un peu de mal avec les blockbusters et leur débauche d'effets spéciaux, difficile de ne pas succomber devant la poésie du film en eaux profondes et son sens du spectacle. Le bleu est une couleur chaude, pas seulement pour Cameron, et on en prend plein les yeux sans trouver le temps long dans ce qui est une œuvre sidérante, que l'on ait des a priori ou non, que l'on trouve ou pas que les messages environnementaux pèsent des tonnes ou encore que le méchant de l'histoire n'échappe pas à la caricature la plus grossière. Et les dialogues ? Fades et convenus, pour la plus grande part, mais la vérité est que l'on s'en fiche devant l'ivresse visuelle qui nous suffoque. Le scénario n'a rien de fabuleux non plus, en rappelant des tas d'autres où il est question de la lutte du bien contre le mal et une petite pincée d'humour n'aurait pas fait de mal non plus. Que l'on y loue la famille (dans tous ses états), que l'on y condamne la frénésie écocide de l'homme ou encore que l'on y prône l'humanisme contre la violence (sic), cela fait partie d'un cahier des charges attendu d'un citoyen de la planète engagé (et qui a les moyens de les illustrer), donc rien à redire sur le sujet. A part peut-être le fait que Avatar 2, tout en stigmatisant les guerres, en tire tout bénéfice pour enchaîner les scènes d'action avec la maestria qu'on le connait à Cameron. Mais peu nous chaut, en définitive, puisque nous n'y avons vu que du bleu, avec le sentiment d'avoir regardé quand même quelque chose d'exceptionnellement virtuose.
Kevin dioles
Kevin dioles

55 abonnés 699 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 16 décembre 2022
AVATAR: LA VOIE DE L'EAU (2022) (Vu en salle Ice 3D): On aura attendu treize années avant de découvrir ce deuxième épisode d'Avatar, mais là… James réussira encore une fois à nous scotcher à notre fauteuil. Une expérience cinématographique exceptionnelle pour un extraordinaire voyage très mouvementé sur cette magnifique planète, mais cette fois-ci dans les profondeurs océaniques de Pandora. Des fonds marins paradisiaques d'une grande beauté et carrément bluffant par la perfection des images (Magnifique). Le scénario: la protection de la famille face à la crétinerie assassine de l'homme (après ça, on ne pourra que haïr le monde de la chasse). Mais comment faire mieux après "Avatar: La voie de l'eau", car ici… tout est parfait. Emotion, action, féérie, un cocktail d'images éblouissant… Oui James, vous le meilleur parmi les meilleurs, votre film en est la preuve. Du jamais vu dans le monde du cinéma. Incroyable. Waouh!
Guillaume Martins
Guillaume Martins

4 abonnés 14 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 16 décembre 2022
Je n'attendais rien, surtout pas après 13 ans d'attente. Résultat j'ai été émerveillé comme un enfant pendant 3h, techniquement je me demande comme cela a été possible. Le scénario tiens sur un timbre poste, mais très franchement on s'en fiche tellement le film reste une expérience hors du commun.
Fêtons le cinéma
Fêtons le cinéma

720 abonnés 3 148 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 16 décembre 2022
Avatar: The Way of Water s’affirme tel un avatar à part entière du premier opus sorti en 2009, soit le redoublement d’une intrigue, de personnages et de thèmes – musicaux, narratifs – empruntés à l’œuvre précédente, revisités par un déplacement dans l’espace depuis la forêt vers la lagune. Il faut bien une heure au nouveau film de James Cameron pour s’affranchir laborieusement de son modèle, occasionnant une mise en place calamiteuse faite de reprises, de réorientations et de résurrections grossières entre passé, espace et jungle ; le montage charcutier crée un effet de saccades brisant toute immersion et toute cohérence – une séquence commence le jour et se voit subitement plongée dans la nuit, des antagonistes attendent l’arrivée de renfort pendant « dix minutes » (temps estimé par le pilote) qui semble durer des heures… De même que les vaisseaux survolent les paysages, le long métrage saute par-dessus les âges, installe une jeune génération avec un sens du sommaire et de l’ellipse à revoir, martèle ce qui nous apparaît comme déjà vu et déjà dit.

La partition musicale que signe non plus feu James Horner mais son élève et avatar – décidément ! – Simon Franglen, que nous avions pu entendre à l’œuvre cette année dans Notre-Dame brûle, prolongeant là encore la collaboration entre un cinéaste (Jean-Jacques Annaud) et son compositeur attitré (James Horner disparu), ressasse les thèmes jusqu’à la nausée, elle frôle parfois le hors-sujet en attribuant, par exemple, le microthème de la bioluminescence à une séquence d’exploration sous-marine ayant lieu en plein jour…

Pour autant, l’arrivée de Sully et des siens dans l’archipel offre à Cameron un nouveau terrain de jeu et d’exploration visuelle : du point de vue des couleurs, des textures, de la fluidité des actions d’un peuple en constante interaction avec l’eau, naissent des scènes magnifiques. Une fois encore, la révolution, dans Avatar, tient à l’image autotélique, à l’image qui tire d’elle-même sa propre finalité, ravissant la rétine du spectateur ; car son scénario suit un tracé convenu, similaire à celui emprunté par le premier opus. Second intérêt : la tonalité tragique, déjà présente auparavant, se teinte d’une dimension furieuse bienvenue, notamment dans la clausule mémorable au sein de laquelle brille une mère meurtrie. Cette énergie tirée de la douleur et de la rage familiale, James Cameron l’exploite à fond, jusque dans ses retranchements – voir à ce titre l’acte dernier de Spider.

En résulte donc une œuvre maladroite, avatar d’Avatar premier du nom, qui propose dans sa seconde partie un spectacle digne de la renommée de son créateur, bulle de créativité et de maîtrise au sein d’un univers blockbuster contemporain proche du no man’s land artistique.
flo c.
flo c.

5 abonnés 63 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 6 janvier 2023
Un bon film doit réunir essentiellement 2 éléments : le fond et la forme.
Là on a tout misé (jusqu'à l'excès, jusqu'à l'overdose, jusqu'au dégoût ?) sur la forme, on vient bien qu'on ne s'est concentré uniquement que là-dessus, au détriment du fond qui reste vide, affreusement vide, terriblement répétitif et simpliste.
Et c'est l'erreur magistrale, monumentale, phénoménale de ce film qui a mis la charrue avant les boeufs : la forme doit servir le fond, avant toute chose.
Donc on a un superbe cadeau emballage, oh mon dieu c'est superbe, c'est tout coloré, ça pétille, ça scintille, et quand vous l'ouvrez, il n'y a rien dedans, hormis un vide sidéral...
J'ai détesté ce film alors que le un m'avait plu et transporté...
dejihem
dejihem

142 abonnés 675 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 15 décembre 2022
Par quoi commencer ? Tout d'abord, en qualité de spectateur, il faut éviter de boire trop d'eau avant la séance. C'est un impératif, sinon vous serez obligé de sortir et perdre sans doute de précieuses minutes.
Malgré ces 3h20, Avatar la voix de l'eau est bien plus dense et plus complexe que le premier.
Au-delà de l'émerveillement des paysages, des écosystèmes, de la faune et de la flore, c'est tout un système complexe de relations humaines, Inter-espèces qui est décrit , comme si il s'agissait d'un documentaire.
Mais la mise en scène, la composition poétique des plans subaquatique dépasse ce cadre.
Pour faire court, ce film est plus un objet anthropologique, voir même philosophique.
James Cameron reste un grand maître de la mise en scène, et réussi à rendre crédible et vivant sous monde intérieur.
À revoir en 3D…
Michel H.
Michel H.

3 abonnés 3 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 15 décembre 2022
je veux pas être trop dur avec Avatar du fait que j'ai vraiment aimé le premier opus, par contre beaucoup trop de redondance par rapport au premièr, en tout cas je trouve qu'il y a trop de violence dans ce film et je suis un peu déçu malgré tout au final, même si il y a de très belles scènes visuellement parlant, mais pas assez de surprises, c'est vraiment dommage pour tant d'années d'attente. j'ai vraiment découvrir un autre univers être beaucoup plus interpellé. dommage la prochaine fois peut-être.
Kiara Clément-Martin
Kiara Clément-Martin

1 abonné 6 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 14 octobre 2023
Je ne comprends absolument pas l'engouement autour de ce film.
Le scénario est d'une platitude à crever, bourré d'incohérences, et Monsieur Cameron s'évertue à étaler la pâte de son scénario si longtemps que les craquelures ne peuvent plus être ignorées désormais. Vous avez vu Avatar 1 ? Vous avez vu Avatar 2. Même scénario, rien de nouveau sous le soleil, à un tel point que ça en devient presque une insulte au spectateur. Et si les 3 autres films prennent la même voie, les producteurs vont tomber de très haut.
Quant à la tant renommée "claque visuelle", elle fait beaucoup moins d'effets après des années de films à gros budget quasiment tous réalisés en effets spéciaux. Est-ce que les effets spéciaux sont de meilleure qualité ? Oui, pour une maniaque des bordures de fond vert comme moi, c'est un plaisir de voir un tel travail de précision. Mais mis à part la qualité de l'eau, Cameron ne réinvente pas ses graphismes du premier film, et surtout un film aussi beau sans histoire est aussi pertinent qu'une belle personne totalement insipide ; le premier regard attire, mais il ne faut pas être très exigeant pour rester.
Vous cherchez la qualité visuelle ? Le film se laisse regarder. Vous cherchez la qualité scénaristique ? Rincez vous les yeux à l'acide, ce sera toujours moins douloureux.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 20 décembre 2022
Ben voilà, désolé, mais... non, ça ne le fait plus. Et pourquoi Avatar 2 ne fonctionne pas ? C'est parti :
Parce que la surprise du visuel - toujours parfait - ne surprend plus, justement. A présent ça se regarde comme un DVD de relaxation avec de très belles images d'aquarium mais, le choc est passé.
Parce que le scénario est d'une terrifiante pauvreté, pire encore que dans le premier. Les terriens mettent en œuvre des moyens démentiels, pour ne pas dire "un pognon de dingue", spoiler: pour que puisse s'accomplir la vengeance d'un seul homme qui, en plus de ça, est mort !?!
et on se demande vraiment à quoi ça sert ??? Une intrigue parallèle qui aurait pu être intéressante mêlant à notre affaire une militaire séniore et burnée, disparait complètement du scénario vers le milieu de la séance. Pourquoi ? Mystère.
Parce que ce film est calibré "spécial ados" et qu'on se croirait dans une série pour 12 - 16 ans qui pourrait parfaitement se dérouler dans un camp de vacance californien. C'est d'ailleurs valable aussi pour les adultes. Jack Sully que l'on taquinait avec plaisir lorsqu'il essayait de se plier aux coutumes des naavis dans Avatar, a visiblement vite retourné l'atmosphère à son ambiance native puisqu'il n'est désormais question que de famille exemplaire et soudée par les bonnes valeurs (américaines) avec ses réunions de crise, ses engueulades orchestrées des mômes et sa petite devise niaiseuse "chez les Sully (j'ignorais qu'il était question d'état civil sur Pandora), on se sert les coudes !". Niveau sitcom des 80's.
Parce que la promesse du titre, qui laissait espérer un synopsis plus original où l'océan aurait fait l'objet d'une découverte plus vaste plus lointaine voir, d'une odyssée et/ou d'une exploration des grandes profondeurs (pourtant chères à Cameron) n'est absolument pas tenue. Les protagonistes de la chose se fixent sur une plage d'où ils ne s'éloigneront quasiment jamais et l'action patauge, au maximum, à 150 mètres du rivage pendant trois heures.
Parce que enfin... c'est in-ter-mi-na-ble ! L'intrigue n'étant pas franchement passionnante dans la première moitié et, les mystères qui entourent certains personnages n'étant qu'à moitié, ou mal, résolus ; la seconde partie est remplie par un bourrage de 90 minutes de baston qui, bien que terriblement bruyant, m'a tout de même porté à effectuer une série de micro-siestes.
En définitive : tout ça pour ça !!? Dommage.
Louis Dauchy
Louis Dauchy

34 abonnés 226 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 30 juin 2023
Plus d'une suite un nouveau chef-d'œuvre, une nouvelle claque de James Cameron
La photographie et les couleurs sont incroyable et la bande son incroyable.
Pour finir comme pour le premier film Avatar, James Cameron nous délivre un message sur environnement à protéger.
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