Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
42 critiques presse
Bande à part
par Hélène Robert
La suite des aventures du héros Jake Sully porte une ambition aussi limpide qu’inouïe : nous faire visiter Pandora comme si nous étions nous-même un Avatar.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Antoine Desrues
Claque technologique et mythe moderne d’une densité folle, Avatar 2 : La Voie de l’eau est bien le miracle tant espéré. James Cameron a de nouveau signé un film monde bouleversant, dont la portée philosophique devrait occuper longtemps... au moins jusqu’à Avatar 3.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Avatar La Voie l'Eau, c'est Avatar puissance 10. Une véritable prouesse technologique doublée d'une puissance cinématographique visuelle et émotionnelle rare. Si quelqu'un peut prouver que la salle de cinéma a encore sa place aujourd'hui, c'est bien James Cameron. Le virus Pandora s'apprête à terrasser la planète. Et non, 3h15, ce n'est pas trop long !
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Le projet pharaonique est réussi. Avec ses préoccupations environnementales de préservation du vivant, Cameron signe une épopée de plus de trois heures sidérante. Du grand spectacle qui rend métaphoriquement hommage à la beauté de notre planète bleue.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Fable humaniste et ode à la famille composite. Épopée généreuse qui affirme la puissance des images et du cinéma. Tout cela dans une science-fiction amphibie dont la perfection technologique laisse quand même poindre la sueur de l’artisan. Ça valait le coup d’attendre.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Etienne Sorin
Cameron, cinéaste hydrophile, replonge dans le bain et relègue Black Panther: Wakanda Forever au rang d’aquarium vaseux. En même temps que la famille Sully, le spectateur découvre un bestiaire marin fabuleux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
On savait James Cameron capable de nous ébahir à nouveau. On ne se doutait tout simplement pas du niveau d'excellence avec lequel il le ferait. Avatar : la voie de l'eau n'est pas seulement une digne suite, c'est aussi un nouveau film, un nouveau chapitre parcouru de mille émotions, mille émerveillements.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par Renaud Baronian
Ce spectacle familial hyperimmersif, où l’on voit défiler, médusés, des images fantastiques d’une beauté irréelle et de sidérantes créatures aquatiques, doit beaucoup à son réalisateur, à son génie scientifique, son sens du romanesque et son amour des belles images.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Treize ans après avoir signé le plus grand succès de l'histoire du cinéma, James Cameron propose une suite encore plus ambitieuse. A travers le spectaculaire miroir de Pandora, Cameron ausculte les maux de notre Terre, l'écologie et l'immigration. Un conte humaniste et un très grand spectacle familial.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Marius Chapuis
Blockbuster magistral nous projetant dans une nature sublimée et menacée par un impérialisme écocide, le film de James Cameron emporte le spectateur au-delà des frontières connues du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Alliant une fresque familiale intimiste à un spectacle aux proportions inédites, "La Voie de l'eau" justifie largement les treize années qui le séparent du film original, et pave la voie à une saga qu'on peut déjà qualifier de colossale...
Positif
par Hubert Niogret
Une véritable expérience sensorielle avec une rare cohérence et un résultat magnifique qui nous entraîne dans un voyage où il faut lâcher prise pour accepter l’inouï d’un monde inconnu.
Première
par Romain Thoral
Au fond Avatar 2 semble vouloir refonder à lui tout seul la notion même de grand spectacle hollywoodien. Et le moins qu’on puisse dire c’est qu’il sait montrer la voie. En voici le début, puisse t-elle n’avoir jamais de fin.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Sarah-Lévy Laithier
La réalisation est stupéfiante, les effets spéciaux sublimes. Les images sont majestueuses. James Cameron s'est clairement surpassé.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
La magie Avatar emporte tout. Jamais gratuite, sa virtuosité est au service d’un puissant message écologique, d’une réflexion sur le vivre ensemble, la famille (dans tous ses états) et la transmission entre les générations : le salut viendra de la jeunesse. Magistral.
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Ce qui s’apparentait à un melting-pot de la filmographie du maitre est en réalité une œuvre pleine de fougue sur la question du transhumanisme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film immersif est une réussite et un plaisir pour qui apprécie l’univers de James Cameron.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Avec «Avatar : la voie de l’eau», qui pèche parfois par un scénario à l’issue quelque peu prévisible, James Cameron franchit un nouveau palier, confirmant son statut de réalisateur visionnaire.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Qu’il explore la friction entre générations sur la notion d’engagement, qu’il nous confronte à la souffrance animale lors d’une époustouflante et effrayante séquence de chasse à la baleine, qu’il repousse les limites des effets visuels pour atteindre un photoréalisme étourdissant ou qu’il fasse preuve d’une maestria constante de mise en scène, tant dans la contemplation que dans l’action, James Cameron trouve ici l’équilibre parfait entre sa virtuosité et les élans de son cœur.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Josué Morel
C’est la part la plus bouleversante du film : si Cameron repousse les limites technologiques du cinéma, ce n’est que pour mieux filmer une joie originelle, l'émerveillement de la première fois.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Lucien Halflants
"Avatar, La voie de l'eau" navigue entre le classicisme tragique de son récit, la pertinence de son regard sur le contemporain et sa volonté permanente d’inventer le cinéma de demain... tout en prouvant que, parfois, l’irrationnel peut se faire matriciel de l’universel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Pourtant, tous ces défauts fondent comme neige au soleil devant l’incroyable sens du spectacle proposé et la réalisation impeccable de James Cameron.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Aussi, Cameron est-il plus metteur en scène que dramaturge. On est cependant emporté, le récit est rythmé et entraîne comme dans tous ses films. Les 3h10 de ce deuxième volet passent très vite et on en redemande.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Jeremy Patrelle
Nonobstant ces petites failles dans sa carapace dorée, Avatar 2 : la voie de l'eau est un film de cinéma unique qui vaut le coup d'œil et le déplacement en salles obscures. Peut-être même à plusieurs reprises.
La critique complète est disponible sur le site GQ
IGN France
par Tarek Diouri--Adequin
Visuellement inégalé, Avatar 2 donne véritablement vie à Pandora. Mais avec une trame narrative décousue en fin de film, on espère avoir une histoire plus solide pour les prochains volets de la saga.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Alors, à qui pourrait être réticent devant ce conte de fée de 3h12 [...], nous conseillons d'écouter une fois encore la voix de Cameron : "Oubliez la caméra, laissez-vous aller".
L'Obs
par Nicolas Schaller
On en prend plein les yeux (en 3D bien sûr) et on retrouve ce qui a fait le succès du premier opus. On attendait toutefois un souffle nouveau dans le récit.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Jérôme Vermelin
Dommage que les dialogues du film soient souvent simplistes, et le méchant bien trop caricatural. L'ensemble n’en reste pas moins mille fois plus riche et stimulant que tous les films de superhéros sortis au cours de la dernière décennie. Que demander de plus ?
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Septième Obsession
par Jean-Sébastien Massart
Peut-être fallait-il un auteur de la dimension de Cameron pour faire ce blockbuster-là : un film où la direction artistique (…) s’impose dans ce qu’elle a de plus généreux et de plus grand.
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Treize ans après un film pivot en matière de science-fiction, James Cameron revient avec un nouvel Avatar. Si La voie de l’eau est critiquable sur de nombreux détails, son sens du spectacle est inégalable.
Le Point
par Victoria Gairin
La mer est souvent plus bleue que bleue, le village Metkayina prend des airs de resorts de l'océan Indien et les animaux marins communiquent leurs états d'âme, oui c'est vrai, et on peut évidemment le regretter. Mais il reste un spectacle à couper le souffle, 3 h 10 d'émerveillement en apnée (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Suite très attendue, La Voie de l’eau ravit par ses visuels sublimes et une mise en scène virtuose qui soulève de nombreuses questions esthétiques.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Le deuxième volet, tardif, d’“Avatar”, bel hommage à l’action collective, offre un spectacle d’une clarté et d’une fluidité inédites.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
A l’heure où l’expérience collective et sacrée de la salle de cinéma est battue en brèche par les plateformes de streaming et les nouveaux usages numériques, «La Voie de l’eau» propose une immersion unique, donne un sens cinématographique au mot émerveillement.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Mais plus que jamais, ce nouvel univers visuel – et marin donc – balaie toutes les réserves, somptueux et époustouflant sur chaque image, révélateur d’une poésie devenue rare à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Marianne
par Olivier De Bruyn
James Cameron, le grand ordonnateur de la chose, y confirme son talent formel incontestable et signe une fiction impressionnante qui souffre néanmoins de ses longueurs (le film dure… 3 h 12) et assène quelques « grands » messages assommants.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Philippe Lmoine
Visuellement, le film est impressionnant. (...) Reste une interrogation : fallait-il dépenser autant d'argent pour parler d'amour, de migration et d'écologie ?
Sud Ouest
par Julien Rousset
James Cameron signe une odyssée splendide, mais peine à maintenir cette fresque captivante sur sa longue durée, plus de trois heures.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce mélange d’ancien et de nouveau fait la saveur d’un spectacle où des émotions intimes se glissent et qui, même s’il est moins bluffant la deuxième fois, reste de l’ordre de l’incroyable.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Une ode lyrique à la nature, critique d’une vision anthropocentriste et spéciste, qui s’inscrit toutefois dans l’air du temps et saura séduire la « génération climat ». Reste à savoir si celle-ci supportera les interminables courses-poursuites soporifico-aquatiques de Schtroumpfs géants, comme les démêlés filiaux rebattus par d’autres sagas intergalactiques.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Au rayon profits, on relève l’évidence : une grande saga familialiste pour les fêtes. Côté pertes, la surprise éventée, le scénario simpliste, les dialogues réduits à des clichés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Un monde qui se dévore lui-même nous est offert en cauchemar : la fable écologique masque une utopie totalitaire où l’image s’impose de force, sans autre position possible pour son spectateur que celle de la soumission. Cameron sera toujours du côté des bulldozers.
Bande à part
La suite des aventures du héros Jake Sully porte une ambition aussi limpide qu’inouïe : nous faire visiter Pandora comme si nous étions nous-même un Avatar.
Ecran Large
Claque technologique et mythe moderne d’une densité folle, Avatar 2 : La Voie de l’eau est bien le miracle tant espéré. James Cameron a de nouveau signé un film monde bouleversant, dont la portée philosophique devrait occuper longtemps... au moins jusqu’à Avatar 3.
Filmsactu
Avatar La Voie l'Eau, c'est Avatar puissance 10. Une véritable prouesse technologique doublée d'une puissance cinématographique visuelle et émotionnelle rare. Si quelqu'un peut prouver que la salle de cinéma a encore sa place aujourd'hui, c'est bien James Cameron. Le virus Pandora s'apprête à terrasser la planète. Et non, 3h15, ce n'est pas trop long !
L'Humanité
Le projet pharaonique est réussi. Avec ses préoccupations environnementales de préservation du vivant, Cameron signe une épopée de plus de trois heures sidérante. Du grand spectacle qui rend métaphoriquement hommage à la beauté de notre planète bleue.
La Voix du Nord
Fable humaniste et ode à la famille composite. Épopée généreuse qui affirme la puissance des images et du cinéma. Tout cela dans une science-fiction amphibie dont la perfection technologique laisse quand même poindre la sueur de l’artisan. Ça valait le coup d’attendre.
Le Figaro
Cameron, cinéaste hydrophile, replonge dans le bain et relègue Black Panther: Wakanda Forever au rang d’aquarium vaseux. En même temps que la famille Sully, le spectateur découvre un bestiaire marin fabuleux.
Le Journal du Geek
On savait James Cameron capable de nous ébahir à nouveau. On ne se doutait tout simplement pas du niveau d'excellence avec lequel il le ferait. Avatar : la voie de l'eau n'est pas seulement une digne suite, c'est aussi un nouveau film, un nouveau chapitre parcouru de mille émotions, mille émerveillements.
Le Parisien
Ce spectacle familial hyperimmersif, où l’on voit défiler, médusés, des images fantastiques d’une beauté irréelle et de sidérantes créatures aquatiques, doit beaucoup à son réalisateur, à son génie scientifique, son sens du romanesque et son amour des belles images.
Les Echos
Treize ans après avoir signé le plus grand succès de l'histoire du cinéma, James Cameron propose une suite encore plus ambitieuse. A travers le spectaculaire miroir de Pandora, Cameron ausculte les maux de notre Terre, l'écologie et l'immigration. Un conte humaniste et un très grand spectacle familial.
Libération
Blockbuster magistral nous projetant dans une nature sublimée et menacée par un impérialisme écocide, le film de James Cameron emporte le spectateur au-delà des frontières connues du cinéma.
Mad Movies
Alliant une fresque familiale intimiste à un spectacle aux proportions inédites, "La Voie de l'eau" justifie largement les treize années qui le séparent du film original, et pave la voie à une saga qu'on peut déjà qualifier de colossale...
Positif
Une véritable expérience sensorielle avec une rare cohérence et un résultat magnifique qui nous entraîne dans un voyage où il faut lâcher prise pour accepter l’inouï d’un monde inconnu.
Première
Au fond Avatar 2 semble vouloir refonder à lui tout seul la notion même de grand spectacle hollywoodien. Et le moins qu’on puisse dire c’est qu’il sait montrer la voie. En voici le début, puisse t-elle n’avoir jamais de fin.
Public
La réalisation est stupéfiante, les effets spéciaux sublimes. Les images sont majestueuses. James Cameron s'est clairement surpassé.
Télé 7 Jours
La magie Avatar emporte tout. Jamais gratuite, sa virtuosité est au service d’un puissant message écologique, d’une réflexion sur le vivre ensemble, la famille (dans tous ses états) et la transmission entre les générations : le salut viendra de la jeunesse. Magistral.
aVoir-aLire.com
Ce qui s’apparentait à un melting-pot de la filmographie du maitre est en réalité une œuvre pleine de fougue sur la question du transhumanisme.
20 Minutes
Ce film immersif est une réussite et un plaisir pour qui apprécie l’univers de James Cameron.
CNews
Avec «Avatar : la voie de l’eau», qui pèche parfois par un scénario à l’issue quelque peu prévisible, James Cameron franchit un nouveau palier, confirmant son statut de réalisateur visionnaire.
CinemaTeaser
Qu’il explore la friction entre générations sur la notion d’engagement, qu’il nous confronte à la souffrance animale lors d’une époustouflante et effrayante séquence de chasse à la baleine, qu’il repousse les limites des effets visuels pour atteindre un photoréalisme étourdissant ou qu’il fasse preuve d’une maestria constante de mise en scène, tant dans la contemplation que dans l’action, James Cameron trouve ici l’équilibre parfait entre sa virtuosité et les élans de son cœur.
Critikat.com
C’est la part la plus bouleversante du film : si Cameron repousse les limites technologiques du cinéma, ce n’est que pour mieux filmer une joie originelle, l'émerveillement de la première fois.
Culturopoing.com
"Avatar, La voie de l'eau" navigue entre le classicisme tragique de son récit, la pertinence de son regard sur le contemporain et sa volonté permanente d’inventer le cinéma de demain... tout en prouvant que, parfois, l’irrationnel peut se faire matriciel de l’universel.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Pourtant, tous ces défauts fondent comme neige au soleil devant l’incroyable sens du spectacle proposé et la réalisation impeccable de James Cameron.
Franceinfo Culture
Aussi, Cameron est-il plus metteur en scène que dramaturge. On est cependant emporté, le récit est rythmé et entraîne comme dans tous ses films. Les 3h10 de ce deuxième volet passent très vite et on en redemande.
GQ
Nonobstant ces petites failles dans sa carapace dorée, Avatar 2 : la voie de l'eau est un film de cinéma unique qui vaut le coup d'œil et le déplacement en salles obscures. Peut-être même à plusieurs reprises.
IGN France
Visuellement inégalé, Avatar 2 donne véritablement vie à Pandora. Mais avec une trame narrative décousue en fin de film, on espère avoir une histoire plus solide pour les prochains volets de la saga.
L'Ecran Fantastique
Alors, à qui pourrait être réticent devant ce conte de fée de 3h12 [...], nous conseillons d'écouter une fois encore la voix de Cameron : "Oubliez la caméra, laissez-vous aller".
L'Obs
On en prend plein les yeux (en 3D bien sûr) et on retrouve ce qui a fait le succès du premier opus. On attendait toutefois un souffle nouveau dans le récit.
LCI
Dommage que les dialogues du film soient souvent simplistes, et le méchant bien trop caricatural. L'ensemble n’en reste pas moins mille fois plus riche et stimulant que tous les films de superhéros sortis au cours de la dernière décennie. Que demander de plus ?
La Septième Obsession
Peut-être fallait-il un auteur de la dimension de Cameron pour faire ce blockbuster-là : un film où la direction artistique (…) s’impose dans ce qu’elle a de plus généreux et de plus grand.
Le Dauphiné Libéré
Treize ans après un film pivot en matière de science-fiction, James Cameron revient avec un nouvel Avatar. Si La voie de l’eau est critiquable sur de nombreux détails, son sens du spectacle est inégalable.
Le Point
La mer est souvent plus bleue que bleue, le village Metkayina prend des airs de resorts de l'océan Indien et les animaux marins communiquent leurs états d'âme, oui c'est vrai, et on peut évidemment le regretter. Mais il reste un spectacle à couper le souffle, 3 h 10 d'émerveillement en apnée (...).
Les Fiches du Cinéma
Suite très attendue, La Voie de l’eau ravit par ses visuels sublimes et une mise en scène virtuose qui soulève de nombreuses questions esthétiques.
Les Inrockuptibles
Le deuxième volet, tardif, d’“Avatar”, bel hommage à l’action collective, offre un spectacle d’une clarté et d’une fluidité inédites.
Paris Match
A l’heure où l’expérience collective et sacrée de la salle de cinéma est battue en brèche par les plateformes de streaming et les nouveaux usages numériques, «La Voie de l’eau» propose une immersion unique, donne un sens cinématographique au mot émerveillement.
Rolling Stone
Mais plus que jamais, ce nouvel univers visuel – et marin donc – balaie toutes les réserves, somptueux et époustouflant sur chaque image, révélateur d’une poésie devenue rare à l’écran.
Marianne
James Cameron, le grand ordonnateur de la chose, y confirme son talent formel incontestable et signe une fiction impressionnante qui souffre néanmoins de ses longueurs (le film dure… 3 h 12) et assène quelques « grands » messages assommants.
Ouest France
Visuellement, le film est impressionnant. (...) Reste une interrogation : fallait-il dépenser autant d'argent pour parler d'amour, de migration et d'écologie ?
Sud Ouest
James Cameron signe une odyssée splendide, mais peine à maintenir cette fresque captivante sur sa longue durée, plus de trois heures.
Télérama
Ce mélange d’ancien et de nouveau fait la saveur d’un spectacle où des émotions intimes se glissent et qui, même s’il est moins bluffant la deuxième fois, reste de l’ordre de l’incroyable.
La Croix
Une ode lyrique à la nature, critique d’une vision anthropocentriste et spéciste, qui s’inscrit toutefois dans l’air du temps et saura séduire la « génération climat ». Reste à savoir si celle-ci supportera les interminables courses-poursuites soporifico-aquatiques de Schtroumpfs géants, comme les démêlés filiaux rebattus par d’autres sagas intergalactiques.
Le Monde
Au rayon profits, on relève l’évidence : une grande saga familialiste pour les fêtes. Côté pertes, la surprise éventée, le scénario simpliste, les dialogues réduits à des clichés.
Cahiers du Cinéma
Un monde qui se dévore lui-même nous est offert en cauchemar : la fable écologique masque une utopie totalitaire où l’image s’impose de force, sans autre position possible pour son spectateur que celle de la soumission. Cameron sera toujours du côté des bulldozers.