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Flotibo
52 abonnés
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1,5
Publiée le 19 juillet 2010
Pas très fan des road movies, on ne peut pas dire qu’Easy rider m’est enthousiasmé bien au contraire. Désolé pour les fans, mais côté scénario, on frôle le néant, deux types traversent les Etats-Unis sur leurs bécanes et… quelques rencontres loin d’être passionnantes par ci par là et c’est tout. Drug, sex and rock and roll est le slogan de ce film : Hopper nous emmène avec lui dans son délire. La qualité technique du film est très médiocre sur le plan technique, seule la BO est sympathique. Le film en gagnant en clarté aurait certainement mieux fait passer son message. Grosse déception !
Easy Rider se laisse regarder tranquillement. L'intrigue n'est pas compliqué à suivre et elle est de plus accompagnée d'une excellente BO, ce qui rend le film simple. Cela dit il s'agit d'un bon film car il a une certaine capacité à nous tenir en haleine et c'est important. A voir.
En 1968, Dennis Hopper signait là son premier long-métrage en compagnie de Jack Nicholson (Chinatown, Shining...) et Peter Fonda (fils de Henry) côté casting. Hopper se fait réalisateur-acteur-scénariste avec Peter Fonda (donc un film d'auteur) lui-même producteur du film. "Easy rider" est sans doute le meilleur road-movie de tous les temps qui révolutionna l'ère américaine. Alors pourquoi une étoile seulement ? Parce que : il n'ya aucun scénario ; des dialogues inutiles ; une scène que l'on revoit éternellement (les bikers hippies) ; et une caméra brouillon pour des acteurs qui ne font rien. Mais... que du bonheur !! Je souligne le fait que Dennis Hopper laisse libre cours à son imagination au fil de "Easy rider" et que chaque plan, chaque décor, chaque dialogue, chaque couleur, chaque coup de caméra est une prise de génie sur ce film devenu culte. Hopper a réalisé le film avant même de savoir ce qu'il allait réaliser ! Inimaginable !! Un moment affranchi de liberté pour toute l'équipe du film, le réalisateur et les acteurs (en roue libre) en tête ! Un véritable réquisitoire de la vie entre Los Angeles et Miami, au coeur des Etats-Unis, qui est différent selon les Etats. Un état d'esprit différent lui aussi des hippies (Nicholson en tête avec un bijou, son dialogue farfelu sur les extra-terresres). Un chef d'oeuvre intemporel qui n'a pas pris une seule ride. Notons aussi une BO d'enfer avec les Byrds et l'emblématique "Born be wild" pour ne citer que ça. Inclassable, cet état (ou éclat) de liberté nous transporte (corps et âmes) pour ne laisser brûler que notre esprit, incandescent. Je n'ai mis qu'une étoile, amis spectateurs, uniquement pour juger "Easy rider" de Dennis Hopper sur son scénario, sa réalisation, le jeu des acteurs, décors et autres sans oublier la musique des années 1970. En revanche, je peux mettre trois étoiles et laisser cette critique, je ne sais pas combien d'étoiles "Easy rider" mérite... On ne peut pas ne pas connaître ce film coup de poing. A regarder de toute urgence ! Spectateurs, à vos bécanes !!
Un film de la fin des années 60, avec des personnages types (bikers, hippies, américains conservateurs), à la sauce sex drug & rock n roll. Le road trip démarre avec une lenteur appréciée, puis le film s'accélère subitement, et finit par une explosion inattendue, dont la rapidité est à la fois frustrante et intense. L'absurdité humaine, l'intolérance, révélées dans un étourdissement final. Jack Nicholson déjà épatant à ses débuts. Et super B.O. !
Easy Rider (1969) c’est avant tout une histoire simple, celle de deux hommes chevauchant leurs Harley-Davidson afin de rejoindre le carnaval de la Nouvelle-Orléans. Mais ce voyage n’est qu’un prétexte pour enchaîner les km sans réel but si ce n’est celui de se sentir libre, de pouvoir errer où ils veulent, de bivouaquer n’importe où au grès des rencontres qu’ils feront sur leur route.
Pour son premier long-métrage en tant que réalisateur, Dennis Hopper dresse ici un pamphlet sur l’Amérique, un véritable manifeste de la contre-culture. Scénarisé avec Peter Fonda, ils ne se doutaient pas un seul instant que leur film marquerait l’Histoire du cinéma en donnant naissance au Nouvel Hollywood (qui s’inspire fortement de la Nouvelle Vague française).
Le scénario est simple mais révèle un message très fort et le twist ending quant à lui aura de quoi en dérouter plus d’un. Un road-movie en quête de l'anticonformisme, une ode à la liberté, à la liberté d’expression et dénonce par la même occasion l’intolérance qui gangrène l’Amérique des années 60.
A la distribution, on retrouve Dennis Hopper dans le rôle titre entouré d’une belle brochette d’acteurs, à savoir Peter Fonda (en acolyte de la route), ainsi que Jack Nicholson (en avocat alcoolique). Un road-movie psychédélique mêlant sexe, drogue & rock. Des répliques savoureuses, des rencontres étonnantes, des paysages qui invitent au voyage et une B.O au diapason, Dennis Hopper marque de son empreinte la "Nouvelle Vague Américaine".
Quel road movie ! Un des meilleurs de toute l'existence du cinema sans doute ! Par et avec notre regretté Dennis Hopper , qui a réalisé ici un film culte de l'époque , un film de hippie. Peter Fonda et Dennis Hopper sont extremement attachant, (leurs motos aussi peut on dire ^_^). La BO est sensationnel , elle commence par The Pusher de Steppewolf qui est un véritable hymne de rock n roll , et se finit sur le générique avec Ballad Of Easy Rider des Byrds (qui a donné son nom à l'album de 69) , qui est a tomber. On prend un plaisir fou a voir ça , et les 1h30 passent à la vitesse de l'éclair. Des passages oniriques accentuent cette beauté du cinéma (l'évasion avec les drogues). Ce film est a ne manquer sous aucun prétexte , on ne s'en remettra jamais. RIP Dennis Hopper.
Rarement une chanson n'aura été autant en harmonie avec le film qu'elle accompagne, que le tube de steppenwolf "born to be wilde". Véritable hymne à la liberté, easy rider a lancé le nouvel hollywood. Un film culte.
Bonne histoire dont j'aime l'idée de liberté qu'elle défend mais la mise en scène est souvent étrange, en effet certains plans sont filmés curieusement et au niveau du montage les transitions se font à plusieurs reprises entre deux rythme d'une musique ce qui donne un aspect de manque de finition. Il reste un très bon film qui nous fait traverser l'Amérique avec de beaux paysages, à voir.
Ce film est le récit d'une époque, un plongeon dans l'univers de ceux que la société américaine bien pensante considérait comme des marginaux. Que l'on soit porté ou non par cette façon de concevoir la vie, il est malheureux que nos deux compères se voient subir les affres de la frustration de cette société embrigadée et fermée dans ses traditions puritaines. A voir et à méditer. Pour finir, mention spéciale pour la séquence du "trip" dans le cimetière !!
Il faut être défoncé pour apprécier et comprendre cette oeuvre. Un film culte et tant d'éloges à son sujet, pour pas grand chose; çà boit, çà fume, et le tout est mou du genou. Rien ne s'y passe, et seul les morceaux Rock'n'roll sont sympas et donne un peu de punch à ce road movie. Une hymne à la liberté, où l'on retiendra la performance de Jack Nicholson, toujours au top.
Film road movie par excellence, sur la liberté au USA a la fin des 60's, les grands espaces avec du bon son. le dialogue a retenir: -------------------------------------------------------------------------- "- Tu sais, ce pays est chouette. Je n’arrive pas à compredre ce qui a mal tourné. - Tout le monde a la trouille (…) Ils pensent qu’on va leur couper la gorge. Ils ont peur. - Ils n’ont pas peur de toi, ils ont peur de ce que tu représentes. - Tout ce qu’on représente pour eux, c’est des cheveux trop longs. - Ce que tu représentes pour eux, c’est la liberté. - La liberté, c’est ce qui compte. - C’est vrai, il n’y a que ça qui compte. Mais, en parler et être libre, ce n’est pas la même chose. C’est d’être libre quand on est un produit acheté ou vendu sur le marché. Ne leur dis jamais qu’ils ne sont pas libres ; ils se mettraient à tuer, à massacrer pour prouver qu’ils le sont. Ils vont te parler tout le temps de liberté individuelle. Mais, s’ils voient un individu libre, ils prennent peur. - Non, ça les rend dangereux."
bref, pouvoir revoir Easy rider au cinema c'est quand même pas mal.. bien que se soit a cause de la mort de dennis Hopper
inoubliable. hymne à la libre pensée et à la poesie. beat génération movie. les 3 acteurs sont majestueux, avec les scènes tordantes de nicholson... film intemporel dénonçant l'intolérance sous toutes ses formes.
Film culte de 1968, Easy Rider est un road-movie réalisé par Dennis Hopper. Retraçant la traversée des Etats-Unis par deux motards en marge de la société, le film aborde des thèmes tels que l'aventure et la liberté. Il nous montre aussi la dure réalité de la société. Ne pas se plier aux préceptes et à la conformisation est synonyme de non reconnaissance, et de mort. L'acteur/réalisateur nous entraîne dans un voyage aux jolis paysages désertiques, tandis que le rêve, délire psycho-visuel, va laisser place au réel. Le symbolisme est fort dans Easy Rider, même si la mise en scène est parfois imprécise. Dommage aussi que l'ennui soit présent. Heureusement que l'arrivée de Jack Nicholson relance l'intérêt du film. Peut-être un peu vieillot, Easy Rider reste tout de même un beau film, traitant de thèmes universels.