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Bcar
12 abonnés
117 critiques
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5,0
Publiée le 19 août 2010
Le plus grand road-movie de l’histoire ? Peut être, en tout cas ce qui est sur c’est que Hopper réalise avec Easy Rider une formidable ode à la liberté et à la tolérance. Les acteurs sont d’un niveau assez exceptionnels avec en tête Nicholson qui une fois de plus livre une performance virtuose par la sympathie qu’il apporte à son personnage, le seul qui ne juge pas nos deux héros. Les 60’s sont magnifiquement représentés dans ce film, la BO qui est somptueuse ne fait que donner plus d’ampleur aux scènes ou Hopper et Fonda sont à motos. Pendant ces 1h30 ont adore ces personnages et ont les envie puis arrive la fin qui déchire le cœur.
A connaître absolument. Joli est l'adjectif qui qualifie le mieux ce film. De belles images surmontées d'une belle bande originale, et de bons acteurs dans une histoire ou il faut repartir dans l'époque pour prendre en compte tout son intérêt.
Acclamé par des critiques et un public dithyrambiques lors de sa sortie en 1969, Easy Rider reste un des meilleurs road-movie à ce jour.Son succès s'explique par son style novateur, qui aboutit au "Nouvel Hollywood" d'ailleurs fort inspiré par le néoréalisme italien.Ainsi, on a un cinéma qui tranche avec le divertissement de base laissant la part belle aux réalisateurs plutôt qu'aux producteurs.Pour un film qui se veut renouer avec le 7ème art, Easy Rider m'a un peu déçu de par le côté divertissement trop présent.Néanmoins, on ne peut nier qu'il a porté sa marque sur le cinéma et que malgré ce défaut mineur pour certains, inexistants pour d'autres, il jouit de bien d'autres qualités(BO, envolées lyriques, le trio Fonda/Hooper/Nicholson, les paysages) qui le rendent vraiment très bon mais pas excellent pour autant.A voir tout de même.
Sentiments mitigés après le visionnage de ce film culte. D'une part, un ennui profond jusqu'à l'apparition du grand Jack Nicholson. D'autre part, une formidable sensation de liberté (physique et morale) dans un univers pourtant marqué par des actes d'intolérance.
Envolées lyriques,road movie,énergie et dynamisme des acteurs...autant d'attraits qui font de ce film un film culte.Pourquoi?C'est avant tout une ode au mouvement hippie et à la liberté ce qui se rejoint au final.Easy Rider c'est le contact souvent brutal dans le film entre une société américaine et ces hommes et femmes libres!Si le contraste se limitait à cela,tout indique l'opposition entre deux mondes avec l'alternance de brutalité et de spiritualité par un lyrisme rock n'roll.Passionnant?peut être pas, mais le film soulève d'importantes choses et c'est ce qu'il suscite qui en fait un très grand film.
Easy Rider où comment je me suis ennuyé pendant 90 minutes. Il semble en effet que le film de, feu, Dennis Hopper est bien mal vieilli. Ode à la liberté sur fond de carte postale des États-Unis, Easy Rider est tout simplement raté. On est avec deux bikers qui traversent les E.-U. pendant les années 1960, ou plutôt on les voit. En effet, jamais il n'est possible de s'identifier à eux ou de se mettre à leur place une seule seconde. Film pilier du Nouvel Hollywood, on est en raison de se demander pourquoi à la vue du film. Effectivement, le choix d'une caméra très fixe et rigide, ainsi que les nombreux plan d'ensemble pour les déplacements à moto nous prive de toute intimité avec les deux protagonistes principaux. Ce choix au niveau de la réalisation fait plutôt pensé à du cinéma classique qu'autre chose. Les deux seuls choix esthétiques qui diffèrent et tranche avec le classique d'une réalisation habituelle sont les fondus visuels entre chaque séquence et la scène de défonce à la fin du film. C'est seulement à ce moment que le film répond à ce qu'il prétend être, mêlant mouvements de caméra original, couleur innovante, et thème scénaristique étranger à d'habitude. Pour le reste, cette vague ébauche libertaire perd énormément à cause de ces dialogues, en nombre réduit et peu construit. On aura bien compris le message de Dennis Hopper, qui nous peint un pays encore peu enclin au changement et très conservatrice, mais la réalisation de l'américain semble proposé de façon trop légère un moyen de faire passer ce message. Sans doute accentué par l'élection d'un président noir à la tête des E.-U, le film de Dennis Hopper a bien mal vielli.
Très bon film sur les réalités de l'Amérique des 60's. Bel hymne à la liberté, dénonciation de l'intolérence. Quelques scènes sont cêpendant un peu longue. Nicholson est excellent
Un bon film, à voir surtout parce que c'est un mythe, et pour l'interprétation des acteurs !! Un film très particulier, où je n'ai pas tout compris, mais très sympa à voir !!
Un très bon film, avec de bons acteurs, je me suis quand même un peu ennuyé lors de la scène de prise de drogue dure (un tantinet trop longue) sinon tous le reste du film est vraiment superbe, sur les états du SUD (pour ceux qui connaissent leur histoire...) Bien mieux que Harvey Milk hahaha
Magistral devant et derrière la caméra , Dennis Hopper crève l'écran avec ce road movie magnifiquement trash. Deux amis roulant sur deux superbes chopperss a travers l'Amérique puritaine de l'époque , raciste et conservatrice. La mise en scene d'Hopper est totalement grandiose par les très belles vues sur un décor de toute beauté, les personnages extrèmement fouillés , l'intelligence du procédé de fisheye dans la scene de prises de drogue dure ,une musique en accord total avec l'ambiance du film. Hopper montre bien ici le refus de la culture américaine par ces personnages puritains écoeurants qu'il met en scène. Jack Nicholson aussi est bsolument poignant dans ce film et la scene où il fume du haschish avec ses deux compères, très belle. Avec un final on ne peut plus dramatique, ce "Easy Rider" peut etre sans aucun doute rangé au rang de film culte.
Le film de toute une génération autour de la traversé à travers les Etats Unis de deux marginaux (Dennis Hopper et Peter Fonda dans des rôles qui leurs colle à la peau) affranchis d'une société américaine puritaine et intolérante. Avec Easy RIder, Dennis Hopper montre qu'il est cappable de sortir de ses travers pour filmer les magnifiques paysages d'une Amérique à la nature sauvage et aux habitants hostiles à la differance. Jack Nicholson crève l'écran par son immense talent avec un rôle assez éphémère mais marquant. Une oeuvre culte.
Enfin, depuis le temps que j'attendais de le voir, je l'ai enfin vu. tout d'abord, je dois dire que le film n'est pas une réussite total, mais pas un ratage total non plus, la Bo est magnifique et culte, les acteurs sont parfait, mais que le film est lent, et pourtant il ne dure que 1h30, faut croire que ce n'est pas mon genre de film, parce que même si tout est bien, je me suis fait chier pendant une heure de temps. bref, c'est un bon film, mais je ne le regarderais pas tout le temps. à voir pour les fans de Road Movie. pas mal.
Considéré comme un film culte, Easy Rider n'est pourtant pas si bon que ça. Traitant de la quête de liberté de deux motards face à la peur et aux préjugés de l'Amérique profonde des années 60, ce road-movie a un beau fond à la base. Mais avec un montage bancal et une mise en scène à la ramasse qui n'exploite pas les éléments intéressants de l'histoire et qui ralentit considérablement le rythme, ce fond de base est traité superficiellement et certaines scènes sont souvent répétitives. Easy Rider devient alors vite inintéressant, ennuyeux et ridicule. On peut toujours se rabattre sur le trio Dennis Hopper / Peter Fonda / Jack Nicholson, les grands espaces dépaysants et les balades en moto accompagnées de chansons bien choisies, mais ce n'est pas suffisant.
Une incitation à la drogue, au sexe, à la liberté, arriver à se détacher de cette Amérique profonde et puritaine. Un voyage en moto, avec le drapeau américain, à travers le désert, des rencontres voilà le chemin emprunté par Peter FONDA et Dennis HOPER. Un chemin vers la liberté, ils font ce qu'il leur plait, ne sont soumis à aucune contrainte, en tout cas quand ils sont en-dehors des villes. En effet arrivés à un bar avec un nouveau compagnon, interprété par NiCHOLSEN avocat cherchant à se libérer des "codes", ils se font insulter, lyncher, rejeter, attaquer pour leurs différences, parce qu'ils sont différents, ils sont libres, en harmonie avec la nature. Ce film fort, nous montre cette utopie que peut être la rêve américain mais aussi cette amérique puritaine et destructrice. Le rejet de la société, un pas vers la liberté, vers la nature voilà ce que l'on peut tirer comme message de ce film, un véritable portrait de ce rêve américain et aussi du danger de ces puritains.