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Un visiteur
1,0
Publiée le 23 novembre 2010
Quand le libéralisme rencontre le puritanisme c'est un peu voir intégralement l'idée élémentaire du film, le problème c'est que ce Road Movie est plat, y a pour ainsi dire aucun scénario, les dialogues sont creux et le film est truffé de stéréotype et Denis Hopper ne sait pas se servir d'une caméra et puis qu'est qu'on s'ennuie et comble de tout les personnages sont pas du tout attachant, un énième film qui ne mérite pas sa renommée, quoique les gens sont plus indécis concernant ce film fort heureusement
Symbole de la contre-culture américaine, « Easy Rider » jouit à juste titre d’une solide réputation. Il faut dire que la mécanique est rodé. Pour son premier film, Dennis Hopper fait fort imprégnant une puissante odeur de liberté. Lorsque Peter Fonda et Dennis Hopper enfourche leurs bécanes c’est une bande originale monstrueusement jouissive qui nous cramponne au film. Le sentiment de liberté est telle que l’envie viendra à plus d’un de prier pour que la virée continue. Pendant que le mouvement hippie trace sa route, Hopper multiplie les arrêts au bord de la route explorant l’Amérique profonde. Les pauses de ce road-movie sont l’occasion d’établir une critique acide d’un conservatisme dépassé. Culminance de sa puissance contestataire, sa fin, qui achève l’intolérance et sonne la naissance d’un film historiquement nécessaire.
C'est un classique , et culte , film sur les bikers . Dennis Hopper , en plus , de réaliser parfaitement le film avec classe , joue aussi l'un des personnages principaux , digne des plus grands , dans le cinéma. Malheureusement décédé , il n'y a pas si longtemps , cet homme reste l'une des grandes icônes du cinéma au 20e siècle . Sinon , Easy Rider, ça se voit , a eu un succès inattendu , car le budget était minime . Que dire que la traversée des USA , est loin d'être ennuyeuse , on rejoint les mêmes scènes à chaque fois , mais des dialogues différents . Et puis , les personnages ont toujours avec eux leur herbe , pour la fumer , qui montre que malgré tout , ils font autre chose que rouler dans leurs motos . Et puis , la partie assez psychédélique a 10 minutes de la fin , est terrible , on y comprend pas grand chose à vrai dire . C'est cruel !
Référence cinématographique incontournable, "Easy rider" représente l'archétype du road movie. Deux mecs, des vrais, avec deux grosses paires de couilles, sillonnent l'Amérique profonde du haut de leurs bécanes. Au fil des rencontres qu'ils effectuent sur la route, on découvre les travers de l'Oncle Sam, des hippies aux évangéliques en passant par les culs-terreux reacs jusqu'aux bouts des ongles. Un programme alléchant, certes, mais qui ne tient finalement pas ses promesses. On s'ennuie. Les dialogues restent bien primaires, seul le passage avec Jack Nicholson éclaire le film dans ce domaine. Les images de paysages, loin d'être exceptionnelles, semblent avoir surtout pour objectif de combler le vide scénaristique. Les petits parallèles, comme celui avec le cheval en train d'être ferré et la roue de la moto en train d'être changée, sont trop peu nombreux pour relever le niveau. Le début est über-mou, il faut bien attendre 15 mn pour que le film soit lancé. La fin, pour sa part, est abrupte et donne l'impression d'être bâclée. Bref, un succès cinématographique qui reste pour moi un mystère.
Un film culte qui a changé pas mal de choses dans le cinéma américain, à la fin des années 60. Pas vraiment de scénario, mais de bonnes scènes, de la bonne musique (1er film avec B.O. composée de chansons pré-existantes), et un aspect bordélique terriblement sincère. D'une certaine façon, ce film est un véritable document historique sur une époque et une génération. Il faut le voir, ne serait-ce que pour ça...
Tout simplement époustouflant ! Ce film qui a plus de 40 ans décrit tellement bien une Amérique conservatrice et raciste des années 60 qu'on pourrait parfaitement transposer le scénario aujourd'hui. Peter Fonda est charismatique comme peu le sont en Captain America, Jack Nicholson est très juste en avocat alcoolique, et ce road movie à travers les USA sur le siège en cuir d'un Chopper nous transporte à toute vitesse sur l'Highway to Hell. A voir de suite
Easy rider, un road movie servie par une bande originale magistrale, un duo d'acteurs signant certainement leurs plus grands rôles et le très grand Jack Nicholson. Ce n'est pas avec un scénario pas vraiment présent et un montage d'images assez étrange que ce film est devenu culte. Ses qualités sont ailleurs, Dennis Hopper met en avant la liberté et dénonce la bêtise humaine.
Bon film, qu'il faut savoir apprécier à sa juste valeur. Un peu long par moments, mais certains passages sont magnifiques (notamment les passages avec Jack Nicholson, très en forme).
Fond hippie. Utopie désabusée. Paysage sauvage. Dennis Hopper réalise une oeuvre magistrale emprunt d'humanisme, dénonçant l'intolérance et faisant le constat des contradictions d'une Amérique profonde au milieu d'une société en pleine mutation. Une épopée mythique au coeur des sixties.
road movie pas trop mal, heureusement le charisme de peter fonda et jack nicholson évite de boire la tasse.. mais on est content que ca se termine quand même...
C'est la gigantesque bande-son, les formidables acteurs et l'apologie de la liberté et de la marginalité développée tout au long du film qui font de ce road-movie cruel et désenchanté un film culte.
Culte tout simplement. Qui n'a pas révé d'enchevaucher une bécane pour traverser l'Amérique des 70's, de vivre au jour le jour en paix avec sois même et de se battre contre les valeurs puritaines des Etats-Unis. Ce film est reconnu comme celui qui a lancé la "contre-culture".