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    Easy Rider
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    3,8
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    347 critiques spectateurs

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    96 abonnés 1 939 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2024
    Enfin vu ce film que tout cinéphile se doit de voir.

    Une peinture de l’Amérique profonde déprimante.
    Dennis Hopper narre un road movie western sur moto. Il brise le rêve américain en me présentant une Amérique désenchantée.

    Le trait peut paraître grossier mais cette Amérique profonde m’est souvent illustrée dans les films, par conséquent je doute que le trait soit grossier comme j’ai pu le lire dans une des critiques au moment de sa sortie en salle.
    Maintenant, Dennis Hopper porte-parole d’une certaine jeunesse, d’un mouvement hippie trouve en la drogue, les voyages en moto une vraie liberté. La sienne. Et elle dérange une Amérique conservatrice.
    Triste Amérique que me dépeint Dennis Hopper.
    Alors je me console avec une playlist des plus agréables et d’un Jack Nicholson déjà étonnant.
    Starwealther
    Starwealther

    76 abonnés 1 198 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2023
    "Easy Rider" est un film phare des années 60-7, une période où est apparu le mouvement hippie, symbole de liberté absolue. Ce road trip nous fait parcourir des magnifiques paysages américains en suivant deux bikers ( Peter Fonda et Dennis Hopper) parti pour assister au carnaval de la nouvelle Orléans. Le périple sera une véritable aventure où les deux motards aux cheveux longs ne seront pas toujours bien accueillis par d'autres compatriotes conservateurs de l'Amérique profonde. La prise de drogue lors de soirées en pleine nature permet aux deux hommes de disserter sur leurs visions de la vie et de leur existence. La musique qui accompagne tout le long du film sur les longues lignes droites américaines nous plonge véritablement dans une ambiance sex, drugs and rock'n roll!! Un très bon film qui décrit parfaitement une époque où le refus des valeurs dominantes était plus qu'une opinion mais plutôt une façon de vivre.
    Fabios Om
    Fabios Om

    52 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 novembre 2023
    l'Amérique profonde des années 70 montrer à travers un voyage en moto. et dont a part montrer le côté hippie des deux protagonistes principaux de l'histoire il ne se passe absolument pas grand-chose et oui les scène durant lesquels il se passe quelque chose d'intéressant sont trop peux nombreuse malheureusement. Le problème vient du fait que le film ne décolle jamais et se résume à des scènes de dialogues pseudo-philosophiques autour d'un feu de camp et de longues promenades à moto et encore philosophique c'est ce que nous disent les scénaristes et c'est ce qui essaie de nous faire croire car deux motard qui fume des joints et qui discute de trouver de rien mais surtout de rien et qui essaie de discuter de la vie mais comme deux gens de leur espèce et dans leur état peuvent en parler ce qui montre à quel point c'est philosophique n'est-ce pas et oui c'est ironique totalement assumé de ma part . Les quelques gros rebondissements et moments forts sont vraiment absurdes et témoigne de la faiblesse et du manque d'inspiration du scénario. Bref, sur le plan artistique, on repassera mais on pourra toujours apprécier le voyage. Une réalisation assez creuse et soporifique qui s’inscrit dans une époque bien spécifique dans laquelle il est dur de se plonger !
    Rodrigue B
    Rodrigue B

    20 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 août 2018
    Ce film est la raison pour laquelle je rêve de faire la traversée des Etats-Unis (pas à moto mais en voiture, c'est déjà pas mal...). Dès le début, on a envie de les suivre, le générique sur « Born to be wild » vous met un punch d'enfer. Réussir son générique de départ ou sa scène d'introduction est d'une importance capitale pour le spectateur. Là, il est servi ! Il sait directement à quoi s'attendre : il sait qu'il aura un choix musical généreux et des décors grandioses.
    Le film se présente donc comme un Road Movie « classique ». Seule différence : C'est que c'est l'un des premiers, en tout cas celui qui inspirera tous les autres.
    C'est aussi le symbole d'une époque, le film arrive fin des années 60 et transpire le charme des sixties. On y retrouve toutes les aspirations de la décennie : look, drogue, alcool, sexe, goût pour la liberté, ambitions démesurées, lutte de la jeunesse contre l'autorité (mai 68 n'est pas loin), etc...
    Dennis Hopper, alors réalisateur débutant, remporte plusieurs prix totalement mérités. En effet, son oeuvre traverse le temps (presque un demi-siècle) et elle est toujours aussi efficace, elle vous bouscule, bouleverse vos idéaux.
    Le film trouve son apogée à l'apparition de Jack Nicholson en avocat désorienté, personnage que nos deux héros rencontrent en prison.
    Nicholson est éblouissant. Il s'agit incontestablement de son premier Grand rôle ! Je garde un souvenir impérissable des deux scènes au coin du feu où Nicholson développe sa philosophie à ses amis. Ces débats « monologues » s'adressent à nous et ils visent juste.
    Le final est tragique et révoltant comme il devait l'être. Un grand moment de cinéma à (re)découvrir !
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 365 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mai 2019
    Sorti en 1969, « Easy Rider » est un film culte, véritable emblème de la génération hippie et qui montre la diversité culturelle des Etats-Unis. Wyatt et Billy sont deux motards qui traversent le pays de Los Angeles à La Nouvelle-Orléans avec l’argent reçu d’une vente de drogue. D’Est en Ouest, Denis Hopper et Peter Fonda nous font découvrir des paysages désertiques sur leur chopper. Les musiques des Byrds accentuent le sentiment de liberté. Bien que l’histoire ne soit pas développée et qu’on peut y trouver quelques longueurs, « Easy Rider » est un chef d’œuvre du road movie et un symbole du Nouvel Hollywood.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    694 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 janvier 2013
    Même si le film a un peu vieillit, il reste captivant grâce a ses plans sublimes entre un Scott et un Kubrick, a sa BO géniale pas loin de celle d'un Tarentino et a son jeu d'acteur parfait. Une belle épopée a travers l'Amérique.
    cinono1
    cinono1

    303 abonnés 2 056 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 juillet 2019
    Film manifeste d'une époque, Easy rider vaut aujourd'hui surtout par sa dimension documentaire. Le film est loin d'être passionnant, mais séduit par son rythme nonchalant, ses promenades agrémentés de personnages marginaux. C'est à l'image de l'époque ou il a été tourné, un questionnement sur l'homme et le sens de la vie, la liberté, la civilisation, sur la place qu'on donne aux minorités, aux marginaux. Peter Fonda et Dennis Hooper en étant les nouveaux cow-boys. Easy rider permet aussi de voir une Amérique reculé, arcbouté et le film demeure intéressant par ce pas de coté.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    93 abonnés 1 549 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2018
    Ode à la liberté, "Easy Rider" a suffisamment marqué son époque, et plus largement l'inconscience collective, pour avoir l'honneur d'être sélectionné par le National Film Registry pour figurer sur la très prestigieuse liste des films conservés à la Bibliothèque du Congrès aux Etats-Unis.

    Il faut dire que l'influence de ce film a été grand sur les modes de pensée et de vie de l'époque mais aussi sur la mode : le blouson noir avec le drapeau américain dans le dos de Wyatt, alias Captain America, ou la veste à franges de Billy ont connu un certain succès durant ces années là.

    La culture américaine a donc été durablement marquée par le film de Dennis Hopper. Ce dernier est pleinement investi dans son film : il est au scénario, à la réalisation et endosse même l'un des deux rôles principaux.
    L'autre acteur principal, Peter Fonda, n'est pas moins investi dans le projet puisqu'il endosse aussi la casquette de scénariste et de producteur.
    C'est donc un film que les acteurs principaux portent à bout de bras, dans lequel ils ont investi beaucoup de leur temps, de leur talent et de leur argent et qui véhicule un message de liberté auquel ils semblent croire profondément.

    Et cette démarche sincère se ressent à l'écran. Ils arrivent mieux que quiconque à retranscrire ce sentiment de liberté au travers des longs plans de vastes paysages sublimes traversés par des routes. Ces plans sont accompagnés de musiques qui achèvent d'imprimer le message : freedom is everywhere. Rien que pour ces moments où le réalisateur parvient à capter des purs instants de liberté, le film vaut le coup.

    L'immersion sera d'autant plus totale que l'équipe a recruté de bons acteurs. Mais le meilleur reste Jack Nicholson, alors âgé de 32 ans, qui incarne un jeune avocat accro à la boisson et en quête de liberté. Son personnage est génial, ses répliques sont pleines de philosophie (mon dieu, cette discussion autour d'un feu de camp la nuit sur la liberté et la peur du péquin moyen d'être libre) et son interprétation par Nicholson est talentueuse.

    On aura donc du plaisir à traverser le Sud des Etats-Unis, de Los Angeles jusqu'à la Nouvelle-Orléans, avec ces bikers. On aura aussi du plaisir à voir leur rencontre avec d'autres personnes dont une communauté hippie, typique de ces années.

    Seul bémol, et qui m'a pas mal dérangé, c'est le montage et, plus particulièrement, la façon de passer d'une scène à une autre. L'équipe a choisi de faire un montage un peu épileptique pour passer à une autre scène (et elle l'a fait à 3-4 reprises ça) : on aperçoit la prochaine scène l'instant d'une seconde, on revient au plan où on était l'instant d'une autre seconde, on revoit le plan prochain une seconde, puis on revient au plan une seconde, et on passe enfin au plan suivant.
    Outre que ce ne soit pas très esthétique, c'est agaçant et cela nous sort de l'immersion dans laquelle nous étions. C'est le seul défaut que je lui trouve mais il est assez important. C'est dommage car je n'aurai pas hésité à lui mettre la note maximale autrement.
    DanDan
    DanDan

    84 abonnés 272 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2023
    Un film classique de Dennis Hopper avec celui ci qui joue une sorte de "cheech et chong" mais sur une moto harley. Dennis Hopper dit "Mannnn" comme personne. Peter Fonda est magnifique dans son rôle...et aussi sur sa bike sur la Route 66 à destination de New Orleans...
    L'apparition de Jack Nicholson est brève mais joviale...
    Un film à voir et revoir...
    soulman
    soulman

    87 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 août 2023
    Avec "Zabriskie Point", sûrement le film le plus proche des aspirations d'une partie de la jeunesse américaine de la fin des années 60. Très imparfaite sur un plan technique et au niveau de la narration, "Easy Rider" reste pourtant une œuvre attachante, qui n'évite pas la caricature tout en donnant une image contrastée de la liberté et du désir d'absolu des deux motards. Au-delà de l'interprétation juste mais convenue des deux héros, Jack Nicholson, dans un rôle secondaire, illumine le long-métrage par son magnétisme et l’ambiguïté de son jeu. C'est, avec la magnifique BO, ce que l'on retient avant tout de cet essai de Hopper.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    69 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2015
    Un film singulier, où règne à la fois un souffle de liberté incroyable et un pessimisme désabusé sur une époque et une société. Dennis Hopper filme assez maladroitement ce road-trip super cool, où deux motards qui se laissent vivre vont à la fois découvrir la douceur utopique d'une certaine jeunesse et se heurter à la violence autiste d'une autre partie de la société. Il faut bien avouer qu'il ne se passe pas grand chose, qu'on se laisse porter malgré tout mais sans vraiment se soucier de ce qui arrive. Bref,un mythe qui repose sur pas grand chose et qui vaut peut-être pour son ambiance hippie assez singulière et parfois franchement marrante.
    Szerelem
    Szerelem

    47 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2013
    Tout un symbole de liberté. "Easy rider", c'est une furieuse envie d'enfourcher sa moto pour rouler vers nulle part, les cheveux dans le vent, en écoutant du rock à fond. Mais "Easy Rider", au delà de sa thématique vraiment sympa, c'est aussi un film qui, malheureusement, souffre du poids des années passantes. Car même si la Bande Originale reste somptueuse, même si les interprétations restent remarquables (Jack Nicholson) et même si la réalisation regorge de trouvailles, on s'ennuie à de nombreuses reprises car il manque de rebondissements, et il manque de rythme. Road movie ou non, là n'est pas la question. Parfois, on s'interroge même de l'intérêt de certaines scènes qui auraient pu, à mon avis, être écourtées au profit d'autres scènes à priori plus intéressantes. La scène finale relève clairement la note de ce drame car vraiment surprenante, elle mérite que l'on reste jusqu'au bout!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 15 novembre 2012
    Filme contemplatif très lent comme on n en à plus l'habitude, laissant un arrière goût désagréable. Grand classique
    mais pas grand public.
    ferdinand75
    ferdinand75

    551 abonnés 3 872 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 septembre 2014
    Un film culte à l’origine, référence de toute une génération, le premier film sur la Beat génération et la naissance du mouvement Hippie. Le film est très prémonitoire sur beaucoup de choses, et surtout n’a pas vieillit du tout, aussi bien par sa forme que par son continu. En effet une nouvelle vision en 2014 surprend par la beauté et la qualité de la mise en scène de Hopper. Du prologue jusqu’au dénouement final le film est d’une pureté, et d’un esthétisme très moderne. Les scènes sont toutes très intéressantes et originales. Le prologue au Mexique sur le deal avec les Narcos est très réussi, plein humour, inquiétant, un peu glauque. La revente du package à un riche consommateur au bout d’un piste d’avion est tout à la fois grotesque, surréaliste, mais nous plonge dans un climat de stress, digne d’un bon polar C’est ensuite l’arrivée des motos , qui sont filmées comme des Mustangs dans un western traditionnel. De beaux plans serrés, et les ride sur les routes rappelle les chevauchées à cheval de John Wayne ou Clint Eastwood dans le far West. L’arrivée à la communauté Hippie est superbe, et si riche d’enseignement. Tout est dit on comprend très vite pourquoi ce modèle de vie utopique ne fonctionnera pas : le poids du gourou, l’aveuglement face à la réalité économique, le nivellement par le bas, les petites spectacles ringards. Tout y est, mais aussi la liberté totale bien montrée, la scène de baignade à la rivière , Peter Fonda et les filles nues , insouciants , heureux..L’illusion du jardin d’Eden. Magnifiquement filmé dans un style pré Hamiltonien. Puis la rencontre avec le personnage de Nicholson , formidable, énorme, déjà le Nicholson fou, unique, au regard de diablotin , tel qu’il sera pendant toute sa carrière .Fils de bourgeois qui part s’encanailler , il fumera son premier pétard , scène culte , énorme, la soirée au coin du feu de bois est superbe. Puis la 1ere rencontre avec l’ Amérique profonde traditionnaliste, violente qui fera des dégâts. L’arrivée au Mardis Gras de New Orleans, filmé très subtilement avec la caméra sur l’épaule. On est loin du Mardi gras contemporain défilé commercial, galvaudé. Il n’y a pas le foule qui hurle « show your tits », mais une ambiance bon enfant sauvage, sensuelle, Créole,.. Et la c’est la rencontre avec les deux prostituées, et la prise de LSD. La scène au cimetière est simplement magistrale, époustouflante, c’est surréaliste, psychédélique, pictural, on retrouve la forme de l’arrivée sur Mars de « 2001 « de Kubrick, sorti un an avant. Le trip est violent, sexuel, délirant, planant , comme un vrai trip sous acide, expérimental. Un moment hors du temps, un moment d’ultra liberté, Et puis l’arrivée en Floride , au bord de l’océan, au bout du chemin, : Peter Fonda est triste , il le dit : ils sont passés à côté de leur objectif « they fucked up » . On ne sait ce qu’il veut dire. Quelle était sa quête.? Est-il déçu parce qu’il a trouvé ? Par ce qu’il n’a pas cherché ? Nous ne le saurons jamais car la fin tragique s’approche, sobre, violente , inattendue, L’Amérique traditionnelle reprend le dessus et se venge. C’est beau, c’est sobre et hyper violent, mais sans aucun trémolo. La quête de liberté absolue est sans issue. C’est très noir. C’est pessimiste. C’est aussi le premier Road Movie intégral, qui engendrera une multitude de films et créa un vrai genre de cinéma. C’est un film fondateur, d’un certain cinéma, Il faut aussi se rappeler que le film est réalisé un peu avant l’éclosion complète du mouvement, en 1969 , et qu’il met en lumière l’opposition des deux Amériques , qui se juxtaposent , car les années 60 , c’est aussi Nixon et des traditionnalistes très puissant . Les ancêtres du « Tea party » étaient bien là, et n’appréciaient pas du tout ces jeunes en quête de liberté. Cette violence latente est présente et amènera le final tragique. Le scénario est parfaitement bien construit Une ode à la liberté, mais toute en nuance, il anticipe l’évolution et la déliquescence du mouvement hippie. Les acteurs sont très bons : Peter Fonda, en ange rêveur et mélancolique tient le meilleur rôle de sa carrière., Une bande son excellente tout en country, et en Folk protest songs.
    Roub E.
    Roub E.

    957 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2017
    Un film culte pour toute une génération mais qui aujourd'hui parle moins. Parce qu'il était totalement dans l'air du temps de l'époque il ne peut avoir le même impact aujourd'hui. Easy Rider est une ode à la liberté, au refus du conformisme et à la vie. Bénéficiant d'une bande sont géniale et d'acteurs impliqués (j'aurais été curieux de voir qu'elle était "l'ambiance" sur le tournage, Easy Rider est un film intéressant mais qui n'aura pas chez moi le statut de film culte qu'il a acquis il y a des années.
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