Note moyenne
2,9
17 titres de presse
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Brazil
Vinterberg signe son plus beau film. Un film sur le fracas des destins après les déchirures de l'enfance et le manque d'amour reçu, un film aux sourires absents, aussi fort qu'ultra-pessimiste.
Elle
La dureté des images du cinéaste est contrebalancée par les regards purs et les visages innocents de ses acteurs.
Filmsactu
Si le poids des blessures de l'enfance transpire à chaque plan, un destin scellé par un tableau social d'une incroyable dureté, Thomas Vinterberg évite les pièges du pathos et laisse poindre une lueur d'espoir en plaçant son récit sous le signe de la paternité.
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
La Croix
Thomas Vinterberg a construit Submarino sur une trame rigide avec des parties distinctes, parfois juxtaposées de façon déconcertante. La noirceur imprègne tout, mais le cinéaste témoigne d'une empathie réelle pour chacun de ses personnages, tous magnifiquement interprétés.
Le Point
Voir la critique sur lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Si notre tête conteste certains aspects de Submarino, notre corps succombe, preuve de l'indéniable puissance expressive de ce mélodrame et du retour en forme d'un cinéaste que l'on avait un peu oublié.
Marianne
On résiste longtemps à tant de malheur accumulé, et puis on accepte de percevoir dans cette nuit sans étoiles la beauté du désespoir.
Positif
(...) la solide construction du film s'appuie sur des flash-back habiles et masqués (...).
Télérama
Si l'on encaisse sans faiblir tant de sordide, c'est que Vinterberg traite son sujet avec sobriété : peu de mouvements de caméra, une bande-son minimaliste, une lumière épurée aux reflets bruns, presque doux.
Critikat.com
(...) une aspiration à la grâce sans cesse contrariée par un surlignement pataud.
Le Monde
(...) Une chronique intime et sociale, lugubre, plombée dès les premiers plans par un naturalisme d'airain.
Première
C'est en apnée que l'on va suivre (...) la capacité de Vinterberg à saisir la tendresse qui unit les personnages, l'humanité apportée par les deux acteurs principaux (...), qui permettent de continuer à suivre l'histoire en gardant de temps en temps la tête hors de l'eau.
Cahiers du Cinéma
La rédemption finale et l'obtention d'une seconde chance apparaissent comme le seul fait du prince qui, en la circonstance, n'est qu'un petit maître de marionnettes puritain.
Ouest France
(...) Un mélodrame que Thomas Vinterberg, bien loin de la réussite du Festen qui l'a révélé, étire longuement dans la surenchère du misérabilisme.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Plus les années passent, plus Thomas Vinterberg se révèle l'homme d'un seul film. (...) Un pensum sans intérêt au dolorisme pénible.