Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Impact
par Cédric Delelée
Traversé par des êtres terrifiants, hanté par la mort et le désespoir mais parfois nimbé d'une étrange douceur, "Winter's Bone" est une expérience totalement inédite et s'impose comme le premier grand classique du cinéma américain des années 2000.
La critique complète est disponible sur le site Impact
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) Très beau film de terreur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Marie Sauvion
On en sort le souffle coupé, épaté par la force de l'interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Bruno Icher
La brutalité de son image, associée aux soins délicats avec lequel elle brosse une douloureuse galerie de portraits (...), font de "Winter's Bone" un film extraordinairement moderne, décrivant un monde, le nôtre, qu'on aimerait oublier et qu'il faut bien, de temps en temps, regarder au fond des yeux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
" Winter's Bone " est sans doute ce que le cinéma américain indépendant peut nous offrir de plus beau et de plus fort.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Adrien Gombeaud
Le second film de Debra Granik nous emporte dans des eaux magiques et ambigües.
La critique complète est disponible sur le site Positif
20 Minutes
par Caroline Vié
Grand prix du jury à Sundance, ce film poignant sur une Amérique pauvre a trouvé son public.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Brazil
par Véronique Kientzy
Certains films arrivent sur nos écrans auréolés de récompenses multiples mais déçoivent parfois cruellement le spectateur au final (...) Ce "Winter's Bone" là mérite quant à lui amplement sa récolte de lauriers.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Excessif
par Romain Le Vern
(...) la vraie force de "Winter's Bone" réside dans sa ténuité : sa douce capacité à construire une tragédie sans accentuer les repères, son atmosphère anxiogène mise en valeur par une photographie crépusculaire et un rythme lymphatique.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Filmsactu
par Elodie Leroy
Exploitant ses décors naturels pour créer un climat oppressant, la réalisatrice Debra Granik filme l'Amérique profonde avec un réalisme organique.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Express
par Julien Welter
Réaliste, cru, émouvant, douloureux.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Jean Roy
Impressionnant. Avec une maîtrise confondante, en excellente conteuse, la jeune réalisatrice mène son récit telle une impeccable romancière.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
La cinéaste américaine Debra Granik a tiré un film noir, implacable et émouvant. Sa mise en scène sobre, dénudée jusqu'à l'os, est portée par le jeu formidablement juste de Jennifer Lawrence.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le portrait (...) est effrayant. Malgré tout, le film ne dérape pas dans le pathos et reste digne, à l'image de son personnage principal.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
voir la critique sur lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
C'est dans cette patience opiniâtre et cette croyance dans les forces souterraines de la fiction que se dessinent, soyons-en sûrs, les premiers pas d'une cinéaste à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Danièle Heymann
Sur un air de veille balade country, un conte cruel et fort.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Metro
par Jennifer Lesieur
Le froid, le dénuement, la folie et un brin d'espoir composent cette histoire âpre, si peu spectaculaire qu'on s'étonne encore de son pouvoir d'envoûtement.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
Des couleurs passées et ténébreuses, sur variation de noir permanent, entretiennent le climat de blues d'une chronique aboutie. Avec des interprètes d'une vibrante sensibilité. La bonne réussite du cinéma américain indépendant.
Première
par Thomas Agnelli
Errant dans les parages envoûtants du réalisme magique et de la fable fantastique, le récit est comme hanté par un monstre qu'on ne voit jamais.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par François Forestier
Le film de Debra Granik est du "country noir" (polar rural) absolument terrifiant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Samuel Douhaire
(...) la jeune réalisatrice chronique le quotidien précaire et violent des hillbillies (...), entre le néoréalisme des frères Dardenne et la brutalité de Boorman dans "Délivrance". Peu à peu, le récit initiatique se transforme en conte de fées d'une rare noirceur, à l'atmosphère fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le décor, des forêts aux arbres dénudés par l'hiver, accroît la tenace sensation de désolation et la dimension crépusculaire de ce film oppressant, sobre et soigné.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Le visage doux mais fermé de Jennifer Lawrence (Ree) permet au film de se tenir entre le manichéisme d'un conte et l'âpreté d'un documentaire sur le Midwest.
Critikat.com
par Clément Graminiès
Prenez un soupçon de "Delivrance" de John Boorman, ajoutez une pincée de "Rosetta" des frères Dardenne, confiez le tout à une filiale de production du cinéma américain estampillée Sundance, et vous obtenez "Winter's Bone", second long-métrage de Debra Granik, "film indé" comme on s'en méfie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Impact
Traversé par des êtres terrifiants, hanté par la mort et le désespoir mais parfois nimbé d'une étrange douceur, "Winter's Bone" est une expérience totalement inédite et s'impose comme le premier grand classique du cinéma américain des années 2000.
Le Monde
(...) Très beau film de terreur.
Le Parisien
On en sort le souffle coupé, épaté par la force de l'interprétation.
Libération
La brutalité de son image, associée aux soins délicats avec lequel elle brosse une douloureuse galerie de portraits (...), font de "Winter's Bone" un film extraordinairement moderne, décrivant un monde, le nôtre, qu'on aimerait oublier et qu'il faut bien, de temps en temps, regarder au fond des yeux.
Paris Match
" Winter's Bone " est sans doute ce que le cinéma américain indépendant peut nous offrir de plus beau et de plus fort.
Positif
Le second film de Debra Granik nous emporte dans des eaux magiques et ambigües.
20 Minutes
Grand prix du jury à Sundance, ce film poignant sur une Amérique pauvre a trouvé son public.
Brazil
Certains films arrivent sur nos écrans auréolés de récompenses multiples mais déçoivent parfois cruellement le spectateur au final (...) Ce "Winter's Bone" là mérite quant à lui amplement sa récolte de lauriers.
Excessif
(...) la vraie force de "Winter's Bone" réside dans sa ténuité : sa douce capacité à construire une tragédie sans accentuer les repères, son atmosphère anxiogène mise en valeur par une photographie crépusculaire et un rythme lymphatique.
Filmsactu
Exploitant ses décors naturels pour créer un climat oppressant, la réalisatrice Debra Granik filme l'Amérique profonde avec un réalisme organique.
L'Express
Réaliste, cru, émouvant, douloureux.
L'Humanité
Impressionnant. Avec une maîtrise confondante, en excellente conteuse, la jeune réalisatrice mène son récit telle une impeccable romancière.
Le Figaroscope
La cinéaste américaine Debra Granik a tiré un film noir, implacable et émouvant. Sa mise en scène sobre, dénudée jusqu'à l'os, est portée par le jeu formidablement juste de Jennifer Lawrence.
Le Journal du Dimanche
Le portrait (...) est effrayant. Malgré tout, le film ne dérape pas dans le pathos et reste digne, à l'image de son personnage principal.
Le Point
voir la critique sur lepoint.fr
Les Inrockuptibles
C'est dans cette patience opiniâtre et cette croyance dans les forces souterraines de la fiction que se dessinent, soyons-en sûrs, les premiers pas d'une cinéaste à suivre.
Marianne
Sur un air de veille balade country, un conte cruel et fort.
Metro
Le froid, le dénuement, la folie et un brin d'espoir composent cette histoire âpre, si peu spectaculaire qu'on s'étonne encore de son pouvoir d'envoûtement.
Ouest France
Des couleurs passées et ténébreuses, sur variation de noir permanent, entretiennent le climat de blues d'une chronique aboutie. Avec des interprètes d'une vibrante sensibilité. La bonne réussite du cinéma américain indépendant.
Première
Errant dans les parages envoûtants du réalisme magique et de la fable fantastique, le récit est comme hanté par un monstre qu'on ne voit jamais.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Le film de Debra Granik est du "country noir" (polar rural) absolument terrifiant.
Télérama
(...) la jeune réalisatrice chronique le quotidien précaire et violent des hillbillies (...), entre le néoréalisme des frères Dardenne et la brutalité de Boorman dans "Délivrance". Peu à peu, le récit initiatique se transforme en conte de fées d'une rare noirceur, à l'atmosphère fantastique.
La Croix
Le décor, des forêts aux arbres dénudés par l'hiver, accroît la tenace sensation de désolation et la dimension crépusculaire de ce film oppressant, sobre et soigné.
Cahiers du Cinéma
Le visage doux mais fermé de Jennifer Lawrence (Ree) permet au film de se tenir entre le manichéisme d'un conte et l'âpreté d'un documentaire sur le Midwest.
Critikat.com
Prenez un soupçon de "Delivrance" de John Boorman, ajoutez une pincée de "Rosetta" des frères Dardenne, confiez le tout à une filiale de production du cinéma américain estampillée Sundance, et vous obtenez "Winter's Bone", second long-métrage de Debra Granik, "film indé" comme on s'en méfie.