AlloCiné
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Votre avis sur Take This Waltz ?
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Je viens de me prendre une sacrée claque en regardant ce film. L'histoire n'a rien d'original à première vue : une femme mariée amoureuse de son mari tombe sous le charme d'un parfait inconnu, et c'est réciproque. Mais la tournure que prend la relation des deux étrangers, qui sont d'ailleurs voisins, est tout simplement magnifique et pleine de bon sens. Madame n'ose pas, est tout de même profondément tentée et fait tout pour voir son "amant", ils se cherchent, se trouvent, s'arrêtent, se disent les mots avec délicatesse et parfois crûment, mais toujours avec sincérité, petit à petit, sans jamais se toucher, jusqu'au jour où... Et petit à petit, encore et encore, la relation perdure... Le résultat de cette rencontre m'a plu, on ne nous ment pas et on ne nous fait pas de sermon sur les valeurs du mariage. L'amour avant tout, sur le coup, qu'il doive durer longtemps ou non. Les coups de foudre même infidèles sont aussi de l'amour. À part ça, l'ambiance chaude et lumineuse est superbe, et Luke Kirby est incroyable.
C'est avec délicatesse inouïe et une grande capacité à dépreindre le trivial que Sarah Polley nous immerge dans les pensées d'une jeune femme émotionnellement perdue.Mariée depuis 5 ans à un homme adorable,Margot éprouve tout de même de l'attirance pour son nouveau voisin,charmeur invétéré qui semble mieux la comprendre.Dès lors,Margot s'interroge.Partir,ne pas partir?Tromper,ne pas tromper?Et qui lui dit que l'herbe est plus verte ailleurs?Si cette romance auteuriste ressemble à tant d'autres,elle sort pourtant du lot grâce à son ton mélancolique,sa douceur générale,et à sa mise en scène éclairée,faite de gros plans sur des visages introspectifs et en proie au doute.Mais tout cela ne serait rien sans la présence de la lumineuse,magnifique,naturelle,torturée et indécise Michelle Williams.J'aime de plus en plus cette actrice à la beauté différente,mélange de vulnérabilité enfantine,et de détermination étonnante,qui nous fait fondre à chacun de ses regards boudeurs ou séducteurs.Seth Rogen et Luke Kirby,quant à eux s'en tirent honorablement.Sarah Polley dit tout lors d'un dernier quart d'heure inventif,quasi exempt de dialogues,qui prouve de façon éloquente à quel point l'usure du couple peut affecter le jugement,et faire oublier l'essentiel.Une vision très féminine et élégante.
Michelle Williams, en bonne habituée des rôles de femmes à la vie sentimentale chaotique (Blue Valentine, Maryline, et bien évidemment Dawson !) continue sur sa lancée avec ce film certainement plus réaliste et commun que les précédents. Elle y joue un rôle de femme vulnérable et en cruel manque de certitude. Cette carence est à la base d'une souffrance certaine chez elle, alors qu'elle n'arrive pas à trouver le bonheur avec sa situation présente. Seth Rogen, qui joue son mari, est touchant de simplicité et d’honnêteté. On tient là un couple dans lequel rien ne va mal, et qui pourtant ne va pas bien, soit une situation très difficile à vivre pour tout le monde. Dès lors, la présence d'un voisin au charme tapageur est une véritable menace, et les moments de séduction entre lui et la sensuelle blonde sont délicieux. Les couleurs et d'une manière générale, la photo du film sont splendides. Difficile de croire qu'on se trouve à Montréal. Le déchirement de Michelle est palpable, avec à son apogée la révélation de la blague de la douche qui, je dois bien l'avouer, a fait couler quelques larmes. C'est de la poésie que l'on voit ici, que l'on savoure de bout en bout et que l'on garde en tête pendant un moment. Un bijou dans cette année 2012.
Le nom de Sarah Polley, la réalisatrice de Take this Waltz ne vous dit rien? Rassurez-vous, rien de bien grave. Oui, s’il s’agit de tourner en rond jusqu’aux tréfonds de l’inutilité, adressez-vous donc à la dame, metteuse en scène de romance à la guimauve passée de date qui illustre ici son imprécision, son manque d’idée et sa futile vision de la vie en couple. Déjà peu adepte de la Romcom américaine, j’espérais entrevoir en un film dit plus sérieux, traitant du mariage, du couple, un mélange audacieux de sentiments humains, de cinéma indépendant et d’idées novatrices quand aux aboutissements d’une relation entre un homme et une femme. Rien de cela ici, si ce n’est des personnages loufoques et franchement désespérants.
Quelque part au Canada, sans doute à Toronto, mais peu importe, une femme mariée fait la connaissance, de retour de voyage, de son charmant voisin. Sa vie bascule, toute amoureuse qu’elle tombe du bellâtre d’en face, un sportif tout beau tout rasé, écolo de son état, tireur de pouce-pouce et subtilement niais. Ne voulant pas blesser son mari, rigolo travailleur à domicile et écrivain de livre de recette marginal, la belle tente d’esquiver son problème, jusqu’à plus soif et jusqu’à la rupture. Un film traitant d’adultère, du doute d’autrui, casé bien au chaud, lorsque un coup de foudre inattendu vient semer la zizanie, en somme, un film profondément inutile et pour adepte du pauvre cinéma qui dépeint le couple comme une prison.
Ennuyeux, mais pas que, oui parce qu’aussi soporifique, Take this Waltz parvient tout de même à démontrer que de talentueux comédien tels Michelle Williams peuvent se planter royalement dans des rôles d’académisme de pacotie ou il s’agira de larmoyer deux heures durant en jouant les débiles ou les psychologiquement incernables. La relation entre le mari et la femme tient déjà du labeur, Seth Rogen n’étant d’ailleurs absolument pas fait pour ça, imaginez donc quand la femme, insupportable, tombe amoureuse du voisin, minet peintre et sportif. Bref, un menu sans surprises concocté pour la poubelle.
Finalement, si Sarah Polley tente de donner un peu de rythme à cette romance à l’eau de rose vaseuse en incluant quelques personnages secondaires, Sarah Silverman en tête, elle ne fait qu’alourdir un fardeau déjà insupportablement pesant. Un film rudement ennuyeux, trop peu intéressant. En gros un film à ne pas voir, pour ne pas perdre son temps, pour ne pas s’énerver et pour ne pas s’enquérir de faux aprioris sur son prochain, bien malheureusement décrit ici. 02/20
Quelque part au Canada, sans doute à Toronto, mais peu importe, une femme mariée fait la connaissance, de retour de voyage, de son charmant voisin. Sa vie bascule, toute amoureuse qu’elle tombe du bellâtre d’en face, un sportif tout beau tout rasé, écolo de son état, tireur de pouce-pouce et subtilement niais. Ne voulant pas blesser son mari, rigolo travailleur à domicile et écrivain de livre de recette marginal, la belle tente d’esquiver son problème, jusqu’à plus soif et jusqu’à la rupture. Un film traitant d’adultère, du doute d’autrui, casé bien au chaud, lorsque un coup de foudre inattendu vient semer la zizanie, en somme, un film profondément inutile et pour adepte du pauvre cinéma qui dépeint le couple comme une prison.
Ennuyeux, mais pas que, oui parce qu’aussi soporifique, Take this Waltz parvient tout de même à démontrer que de talentueux comédien tels Michelle Williams peuvent se planter royalement dans des rôles d’académisme de pacotie ou il s’agira de larmoyer deux heures durant en jouant les débiles ou les psychologiquement incernables. La relation entre le mari et la femme tient déjà du labeur, Seth Rogen n’étant d’ailleurs absolument pas fait pour ça, imaginez donc quand la femme, insupportable, tombe amoureuse du voisin, minet peintre et sportif. Bref, un menu sans surprises concocté pour la poubelle.
Finalement, si Sarah Polley tente de donner un peu de rythme à cette romance à l’eau de rose vaseuse en incluant quelques personnages secondaires, Sarah Silverman en tête, elle ne fait qu’alourdir un fardeau déjà insupportablement pesant. Un film rudement ennuyeux, trop peu intéressant. En gros un film à ne pas voir, pour ne pas perdre son temps, pour ne pas s’énerver et pour ne pas s’enquérir de faux aprioris sur son prochain, bien malheureusement décrit ici. 02/20
Que dire ? Ce film est complètement raté. On s'ennuie du début à la fin. L'histoire n'est absolument pas crédible. C'est lent, mou, ennuyeux. A éviter !!!
La photographie est splendide, Michelle Williams est parfaite, mais le film est d'un ennui confondant...
On pourrait croire que ce film est une énième mise en abyme de l’effritement de l’amour traité mille et une fois mais il n’en est rien. Cette deuxième réalisation de Sarah Polley (Actrice et réalisatrice de l’encensé « Away From Her ») nous permet de constater les ravages de la routine sous un éclairage totalement inédit. En effet, à mes yeux, la grande force du film est d’avoir réussi à faire ressentir la tension sexuelle presque insoutenable entre Margot interprétée par Michelle Williams (Blue Valentine, My Week With Marilyn) et Daniel incarné par Luke Kirby (Mambo Italiano que personne n’a évidemment vu même pas moi) et cela sans même qu’il y ait le moindre contact physique.
Je tire mon chapeau à Sarah Polley pour avoir réussi à illustrer la difficulté à définir la limite où commence l’infidélité. On peut notamment citer la scène subaquatique où les deux adultères (ou pas) s’engagent, tels des dauphins, dans une danse prénuptiale sans jamais se toucher. Par ailleurs, même si on ne peut s’empêcher de penser à la performance de Meg Ryan dans «Quand Harry rencontre Sally», j’ai aussi été bluffé par le jeu de Michelle Williams et Luke Kirby lors de leur «rapport sexuel verbal» dans un bar où Margot, violemment caressée par les mots de Daniel, atteint quasiment l’orgasme.
Les faits que Lou, mari de Margot et écrivain de livres de recettes, ne fait cuire qu’exclusivement du poulet et n’a rien à dire à sa femme lors de leur diner d’anniversaire de mariage, met très bien en lumière la routine qui s’est installée dans leur couple. Leurs jeux enfantins et leur petit concours de «la torture la plus atroce» à infliger à l’autre pour se montrer à quel point ils s’aiment ne sont que des voiles face à la réalité. En effet, le quotidien a rongé leur amour qu’ils pensaient inaltérable. On peut remarquer l’intelligence du scénario de Sarah Polley qui, met un point d’honneur à faire de Margot l’instigatrice de ses rencontres avec Daniel qui, lui, ne fait, pratiquement à aucun moment, de gestes déplacés envers elle.
A vrai dire, je ne vois qu’un point négatif : comment Daniel peut-il se payer un loft alors qu’il gagne sa vie en tirant un pousse-pousse ? Mis à part ça, je note trois très bonnes trouvailles dans ce film. La première est le plan circulaire «lellouchesque» sur la bande originale (dont le film porte le nom) interprété par Leonard Cohen (Take this Waltz). Dans cette scène, on voit défiler la vie du couple de la passion des débuts (allant jusqu’au triolisme) au déprimant plateau-télé. La deuxième bonne surprise est l’ode faite à Toronto : la ville canadienne, sublimée par la photographie de Luc Montpellier est définitivement le personnage principal du film. Et enfin, le troisième éclair de génie du film constitue les scènes où Margot cuisine des muffins, assise sur le sol de la cuisine, désabusée par l’amour qui inexorablement «vieillit ».
Qui aurait cru que Seth Rogen, habitué des productions Apatow (40 ans toujours puceau, En cloque mode d’emploi, SuperGrave…) changerait de registre en passant du comique au mélodrame ? Et pourtant, il l’a fait et bien fait : son incarnation du mari aimant, attentionné et protecteur est criante de vérité. Dans le rôle du nouveau voisin mystérieux chez qui l’herbe est plus verte, Luke Kirby se défend très bien également. Quant à Michelle Williams, elle crève littéralement l’écran avec son jeu tout en fragilité et ingénuité. Vous l’aurez compris, ce film fait, selon moi, partie des musts à voir absolument.
Je tire mon chapeau à Sarah Polley pour avoir réussi à illustrer la difficulté à définir la limite où commence l’infidélité. On peut notamment citer la scène subaquatique où les deux adultères (ou pas) s’engagent, tels des dauphins, dans une danse prénuptiale sans jamais se toucher. Par ailleurs, même si on ne peut s’empêcher de penser à la performance de Meg Ryan dans «Quand Harry rencontre Sally», j’ai aussi été bluffé par le jeu de Michelle Williams et Luke Kirby lors de leur «rapport sexuel verbal» dans un bar où Margot, violemment caressée par les mots de Daniel, atteint quasiment l’orgasme.
Les faits que Lou, mari de Margot et écrivain de livres de recettes, ne fait cuire qu’exclusivement du poulet et n’a rien à dire à sa femme lors de leur diner d’anniversaire de mariage, met très bien en lumière la routine qui s’est installée dans leur couple. Leurs jeux enfantins et leur petit concours de «la torture la plus atroce» à infliger à l’autre pour se montrer à quel point ils s’aiment ne sont que des voiles face à la réalité. En effet, le quotidien a rongé leur amour qu’ils pensaient inaltérable. On peut remarquer l’intelligence du scénario de Sarah Polley qui, met un point d’honneur à faire de Margot l’instigatrice de ses rencontres avec Daniel qui, lui, ne fait, pratiquement à aucun moment, de gestes déplacés envers elle.
A vrai dire, je ne vois qu’un point négatif : comment Daniel peut-il se payer un loft alors qu’il gagne sa vie en tirant un pousse-pousse ? Mis à part ça, je note trois très bonnes trouvailles dans ce film. La première est le plan circulaire «lellouchesque» sur la bande originale (dont le film porte le nom) interprété par Leonard Cohen (Take this Waltz). Dans cette scène, on voit défiler la vie du couple de la passion des débuts (allant jusqu’au triolisme) au déprimant plateau-télé. La deuxième bonne surprise est l’ode faite à Toronto : la ville canadienne, sublimée par la photographie de Luc Montpellier est définitivement le personnage principal du film. Et enfin, le troisième éclair de génie du film constitue les scènes où Margot cuisine des muffins, assise sur le sol de la cuisine, désabusée par l’amour qui inexorablement «vieillit ».
Qui aurait cru que Seth Rogen, habitué des productions Apatow (40 ans toujours puceau, En cloque mode d’emploi, SuperGrave…) changerait de registre en passant du comique au mélodrame ? Et pourtant, il l’a fait et bien fait : son incarnation du mari aimant, attentionné et protecteur est criante de vérité. Dans le rôle du nouveau voisin mystérieux chez qui l’herbe est plus verte, Luke Kirby se défend très bien également. Quant à Michelle Williams, elle crève littéralement l’écran avec son jeu tout en fragilité et ingénuité. Vous l’aurez compris, ce film fait, selon moi, partie des musts à voir absolument.
Ne vous fiez pas à cette affreuse affiche digne d'une vulgaire comédie romantique lambda comme il en sort des centaines chaque années, ici nous avons un film qui parle d'amour mais avec une vision très juste et réaliste .
On est plongé dans la vie de Margot qui rencontre un jour Daniel, mais étant mariée Margot prend vite ses distances car elle sent qu'elle commence a éprouver quelque chose pour Daniel .
Peu à peu leur histoire se complique et Margot se sent partagée entre deux amours .
Avec des acteurs comme Seth Rogen, Michelle Williams (la fausse Marilyn Monroe) et Luke Kirby le film s'offre des interprétations rempli de justesse qui font alors ressortir des émotions et des sentiments profonds et touchants .
Ça parle d'amour sans sombrer une seul seconde dans le ridicule, dans le larmoyant ou l'histoire Américaine banal, deja car le film est Canadien mais surtout car le film joue la carte du sérieux sans trop en faire .
Une histoire sérieuse parfois douce et drôle, parfois triste et émouvante, on se retrouve dans une véritable histoire d'amour, tragique et bouleversante .
Coupé d'une belle photographie lumineuse et d'une bande son vraiment cool on a aussi quelques scènes symboliques comme celle du manège qui se coupe brusquement comme pour refléter l'amour qui disparait du jour au lendemain sans de réel raison .
Néanmoins petit coup de gueule sans vouloir jouer ma "Christine Boutin" mais est ce vraiment utile de montrer autant de fois l’actrice à poil ?
Alors oui la scène des douches dans la piscine a une symbolique assez intéressante mais il y avait moyen de la tourner sans montrer de nu .
Take This Waltz est donc un beau film, émouvant, simple et sincère, l'amour tel qu'il est réellement .
On est plongé dans la vie de Margot qui rencontre un jour Daniel, mais étant mariée Margot prend vite ses distances car elle sent qu'elle commence a éprouver quelque chose pour Daniel .
Peu à peu leur histoire se complique et Margot se sent partagée entre deux amours .
Avec des acteurs comme Seth Rogen, Michelle Williams (la fausse Marilyn Monroe) et Luke Kirby le film s'offre des interprétations rempli de justesse qui font alors ressortir des émotions et des sentiments profonds et touchants .
Ça parle d'amour sans sombrer une seul seconde dans le ridicule, dans le larmoyant ou l'histoire Américaine banal, deja car le film est Canadien mais surtout car le film joue la carte du sérieux sans trop en faire .
Une histoire sérieuse parfois douce et drôle, parfois triste et émouvante, on se retrouve dans une véritable histoire d'amour, tragique et bouleversante .
Coupé d'une belle photographie lumineuse et d'une bande son vraiment cool on a aussi quelques scènes symboliques comme celle du manège qui se coupe brusquement comme pour refléter l'amour qui disparait du jour au lendemain sans de réel raison .
Néanmoins petit coup de gueule sans vouloir jouer ma "Christine Boutin" mais est ce vraiment utile de montrer autant de fois l’actrice à poil ?
Alors oui la scène des douches dans la piscine a une symbolique assez intéressante mais il y avait moyen de la tourner sans montrer de nu .
Take This Waltz est donc un beau film, émouvant, simple et sincère, l'amour tel qu'il est réellement .
Joli film mais assez bancal. Les comédien attachants ne sont jamais jugés et offrent une réflexion sur la condition amoureuse...suivre une forme de routine du quotidien ou "combler le vide" inhérente à toute vie. Le film semble prôner un retour à la simplicité. Michelle Williams apporte beaucoup dans le rôle d'une femme tourmenté prête à aller au bout de ses désirs. Le plan final est très beau. A noter la très belle lumière qui enrobe tout le film.
BeatJunky
Un film romantique qui change et qui se laisse suivre agréablement même s'il est parfois difficile de capter le fond de la pensée de Michelle Williams, qui livre une superbe interprétation et très juste. Elle est mystérieuse, troublante, et surtout très touchante. Le scénario est intéressant et plutôt original pour une rom-com. Malgré un manque de rythme qui pourrait déplaire à beaucoup, j'ai trouvé que le film est passé assez vite puisqu'on s'attache aux personnages, principalement au couple que forme Seth Rogen et Michelle Williams. La mise en scène contribue également à rendre le film encore plus beau.
Bref, tout ça en fait un film à conseiller si vous êtes tenté par un film de cette catégorie.
Bref, tout ça en fait un film à conseiller si vous êtes tenté par un film de cette catégorie.
Récemment vu à la télé, ce film est une jolie surprise. Sarah Polley revisite avec une grande délicatesse le thème archi rebattu du triangle amoureux. Margot (Michelle Williams) se laissera t-elle entrainer dans la valse amoureuse proposée par Daniel (Luke Kirby), et si oui que restera t-il après? Les personnages sont tous les trois d'une grande humanité, veulent s'épargner et leur histoire ne peut qu'évoluer lentement entre résistance un jour puis lacher prise un autre, etc... La déclaration d'amour (physique) de Daniel est une jolie scène. Michelle Williams est bien craquante ,Seth Rogen, le gentil mari d'une belle sobriété. Ce film indie aurait mérité une sortie en salles. Ames non sensibles s'abstenir !
Quelques longueurs et un film qui peine à démarrer réellement. Pas un mauvais film mais loin d'être un bon.
Vous savez ce que je déteste ? Des films sur des hommes irréalistes du genre trop beau pour être vrai. Les femmes veulent toujours avoir des relations avec eux et nous les gars qui ne sommes pas parfaits ne pouvons tout simplement pas rivaliser. Je fais bien sûr référence au type de gars terreux : vous savez c'est un artiste ! Il vit dans un immense studio ouvert n'est pas dérangé par les possessions matérielles conduit un pousse-pousse pour gagner sa vie et il peut voir dans notre âme. Beaucoup mieux que votre mari actuel qui cuisine du poulet pour gagner sa vie et n'apprécie pas lorsque vous essayez de le séduire dans la cuisine. Ce nouveau mec nage avec vous tard dans la nuit il vous explique en détail comment il vous ferait l'amour, il est compréhensif, réfléchi et cela l'aide aussi d'avoir un corps chaud. Malheureusement l'héroïne de ce film est une épave émotionnelle et ne sait pas ce qu'elle veut ni comment l'obtenir. Interprété par Michelle Williams il est tentant de suggérer qu'elle a besoin d'un séjour dans un sanatorium plutôt que de traîner en ville dans des montages soigneusement construits du film. Les développements des personnages ici est plus mince que la racine des cheveux de mon père. Je suppose que nous sommes censés être charmés par les ébats juvéniles de cet adulte sans avoir besoin d'explication. Eh bien je ne l'étais pas et je m'ennuyais au-delà de toute mesure. Lorsque la seule personne que l'on peut raconter dans un film est un alcoolique vous savez que quelque chose s'est mal passé quelque part. En référence au titre non merci. J'ai soudainement décidé que j'étais plutôt un fan de Tango...
Ho, la, la...beaucoup de complications inutiles pour faire "original". Au final, des personnages chiants qui semblent même parfois abrutis au lieu d'être intenses et intéressants. Bref, on nous fait de l'esbrouffe en essayant de faire croire que seuls les "plus malins" comprendront...
On rajoute là-dessus que tout et tout le monde est moche : et on a perdu du temps.
On rajoute là-dessus que tout et tout le monde est moche : et on a perdu du temps.
excellent film sur le désir avec de fabuleux acteurs.
J'ai beaucoup aimé.
J'ai beaucoup aimé.
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