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FaRem
8 647 abonnés
9 528 critiques
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2,0
Publiée le 26 octobre 2017
Premier film de Maxime Motte, coscénariste et dialoguiste du film "Les naufragés" donc on comprend pourquoi on passe une nouvelle fois près du naufrage... Alors qu'on peut penser voir un film sur un jeune garçon adopté qui cherche à en savoir plus sur son père biologique, il s'avère que ce n'est qu'un prétexte pour une comédie autour de "comment faire passer un migrant en Angleterre". Tout le film est construit autour de ça avec des gags en rapport avec les nombreuses tentatives de la famille qui cherche le moyen le plus sûr pour aider Kwabena. C'est d'actualité donc pas forcément une mauvaise idée seulement il n'y a rien derrière... Les scènes souvent insignifiantes s'enchaînent, mais sans rien apporter à l'histoire comme si l'on regardait une succession de sketchs. L'ajout de personnages secondaires déjantés rend l'ensemble plus vivant et parfois agréable, mais malgré ça, ce petit film plein de bon sentiment, de bonnes intentions et humaniste ne m'a pas vraiment emballé et ne me laissera pas un grand souvenir.
Critiques plutôt correctes, sujet sympa, présence de François-Xavier Demaison et d'Isabelle Carré... J'y croyais quand même un peu, à ce « Comment j'ai rencontré mon père ». Mais bon, à croire qu'il faut désespérer du cinéma français pour offrir un titre ne serait-ce que sympa. Non pas que le résultat soit antipathique, les deux comédiens donnant de leur personne et se révélant plutôt à l'aise dans ce registre tragi-comique. Quelques dialogues font sourire, notamment grâce à un Albert Delpy composant avec sa verve habituelle un personnage de grand-père déjanté et légèrement irresponsable. Au moins cela a t-il le mérite d'être court, mais à y regarder de plus près, rien ne fonctionne vraiment dans cette gentille histoire amicalo-fraternelle ni vraiment drôle, ni vraiment émouvante pour la simple raison... que l'on n'y croit pas du tout. Enchaînant les situations invraisemblables que l'on ne se donne même pas la peine de rendre un tant soit crédibles, on finit par ne plus réellement se préoccuper des pérégrinations de ce réfugié et de ses « sauveurs » tant le récit est constamment en pilotage automatique, en plus d'être sans grande saveur et de mal exploiter ses sujets pourtant sensibles (l'adoption, la quête d'identité). Bref, tout en restant assez inoffensive, une œuvre ne tenant clairement pas la route par son scénario dénigrant presque la question des immigrés clandestins par son inconsistance et son optimisme quasi-mal placé. Passable.
Film sans intérêt avec de très mauvais "acteurs" de série B.. Il faut arrêter de prendre des acteurs qui n'en seront jamais. Réalisation : plate et inintéressante, les prises de vue sont affreuses, qui ne dépasse le niveau d'un téléfilm allemand. L'histoire : Sujet non maîtrisé, et traité de façon approximative. En bref j'ai détesté ce film
Très beau film qui traite de sujets sérieux avec légèreté et humour sans tomber dans le patos. A voir avec petits et grands! Bravo (je viens de voir que c'est son premier film!!!)
Un très bon film. François-Xavier Demaison incarne le père adoptif d'un enfant africain . Diouc Koma interprète un migrant qui se cache dans cette famille pour échapper à la police pour aller en Angleterre.
Navet. Bouse. Nanar... voilà comment définir ce "Comment j'ai rencontré mon père". Les 10 premières minutes suffisent à poser le décor : les acteurs sont infects et en rajoutent des caisses (le rôle du vieux m'a tout bonnement donné des envies de meurtres), le scénario est débile et cousu de fil blanc, les dialogues ne sont pas drôles (alors que je présume qu'ils sont censés l'être) et franchement c'est un vrai calvaire. Le genre de films à oublier... au plus vite !
Je ne suis pas indifférent au thème des migrants et j’avais beaucoup aimé des films engagés comme « Welcome » ou « Eden à l’Ouest » sortis en 2009. Néanmoins, le traitement qui en est fait ici est un peu décevant. Ce premier film de Maxime Motte commence bien mais a du mal à tenir la distance, faute de rythme et de scénario. Le casting, excellent, est sous-exploité et en particulier, Isabelle Carré, dont je suis le fan number one. Finalement, sur une relation parent/enfant, j’ai été davantage inspiré par « Demain tout commence » sorti 6 mois plus tôt.
4 554 abonnés
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1,5
Publiée le 4 septembre 2020
Comment j'ai rencontre mon père est par excellence le film politiquement correct, plein de bon sentiments et une fausse rébellion contre les pouvoirs en place. Cela aurait pu être une farce morale, mais la plupart du temps les répliques tombent à plat quand elles ne sont pas franchement grossières. J'ai été trompé dans une histoire qui est aussi tirée par les cheveux. Une si grave préoccupation reçoit un traitement insouciant et passe totalement à côté du sujet...
On y croit pas trop. Scénario trop tiré par les cheveux. Du coup c'est un peu mollasson et provoque l'ennui. Les thèmes de l'identité et de la l'adoption sont intéressants mais là ce n'est pas réussi. J'ai préféré "Holy lola" avec Isabelle Carré également.
Une jolie comédie française. Cela faisait un moment que je n'avais pas vu Isabelle Carré sur grand écran, c'est un plaisir de la retrouver. Le petit est super, le grand-père aussi. De la bonne humeur en boite!
f.x. demaison est mauvais, très mauvais, isabelle carré transparente, de même pour le petit qui cherche désespérément son père biologique, seul le vieux monsieur un peu fou apporte un peu de fraîcheur à cette histoire fade où tantôt l'un cherche un père et l'autre qui l'a, essaie par tous les moyens de l'oublier, vraiment décevant ce film !